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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 18:28
« Ne devais-tu pas avoir pitié de ton compagnon, comme moi-même j'avais eu pitié de toi ? » (Ste Faustine)

Par Sainte Faustine Kowalska

(1905-1938), religieuse .Petit Journal, § 1570 (trad. Eds. Parole et dialogue 2002, p. 521)

 

« Ne devais-tu pas avoir pitié de ton compagnon, comme moi-même j'avais eu pitié de toi ? »


Ô Dieu de grande miséricorde, Bonté infinie, voilà qu'aujourd'hui l'humanité tout entière appelle de l'abîme de sa misère ta miséricorde, ta pitié, ô Dieu ; et elle appelle avec la voix puissante de la misère. Dieu bienveillant, ne rejette pas les prières des exilés de cette terre.

Ô Seigneur, Bonté inconcevable, tu connais à fond notre misère et tu sais que nous ne pourrions pas de nos propres forces nous élever jusqu'à toi.

C'est pourquoi, nous t'en supplions, devance-nous de ta grâce et augmente sans cesse en nous ta miséricorde, afin que nous accomplissions fidèlement ta sainte volonté durant toute notre vie, ainsi qu'à l'heure de notre mort.

Que la toute-puissance de ta miséricorde nous abrite des attaques des ennemis de notre salut, afin que nous attendions avec confiance, comme tes enfants, ta venue dernière, dont le jour est connu de toi seul.

Et nous, nous attendons à recevoir tout ce qui nous est promis par Jésus, malgré toute notre misère, car Jésus est notre espérance ; par son cœur miséricordieux nous passons comme par les portes ouvertes du ciel.

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