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27 mai 2016 5 27 /05 /mai /2016 05:47
'Obedience is the complete renunciation of one's own soul, demonstrated, however, by actions. More exactly, it is the death of the senses in a living soul. Obedience is a freely chosen death, a life without cares, danger without fears, unshakable trust in God, no fear of death. It is a voyage without perils, a journey in your sleep. Obedience is the burial of the will and the resurrection of humility. Obedience is to give up one's own judgment but to do it with wise consultation. It is very costly, beginning to die to the will and the senses. To continue dying is hard but not indefinitely so. In the end all aversion stops and absolute peace takes command.' ( St. John Climacus)

'Obedience is the complete renunciation of one's own soul, demonstrated, however, by actions. More exactly, it is the death of the senses in a living soul. Obedience is a freely chosen death, a life without cares, danger without fears, unshakable trust in God, no fear of death. It is a voyage without perils, a journey in your sleep. Obedience is the burial of the will and the resurrection of humility. Obedience is to give up one's own judgment but to do it with wise consultation. It is very costly, beginning to die to the will and the senses. To continue dying is hard but not indefinitely so. In the end all aversion stops and absolute peace takes command.' ( St. John Climacus)

Chers amis. Aloho m'barekh.

Nous partons pour Lourdes dans un instant afin de donner la Ste Messe aux quelques fidèles de cette région (Relais paroissial "Mar Gregorios de Parumala").

Nous nous trouverons donc, pour la "Fête des mères" aux pieds de la "Maman céleste" pour recommander à son intercession et sa protection toutes nos Mamans de la terre . Nous recommanderont particulièrement à la Mère de Miséricorde toutes celles,défuntes, qui ont été rappelées à la "Maison du Père" pour reposer dans le Christ Ressuscité . 

Les fidèles et amis de Midi-Pyrénées peuvent donc nous rejoindre:

*Soit Samedi soir (Prévoir 21 euros pour participer aux frais de location de la maison)

*soit Dimanche matin pour la Messe à 10h 30

Comme d'habitude, la Messe sera suivie d'un repas fraternel et de la réception des fidèles.

Voici l'adresse:

28 Route de PAU

65000 LOURDES

Pendant ce temps, au Monastère de Brévilly,alors que nous célébrerons le deuxième dimanche après la Pentecôte, Père Isaac, Père Albert, Frère Augustin et Soeur Marie-André entoureront , accompagneront de leur zèle ceux de nos fidèles qui rejoindront la Normandie pour la mémoire mensuelle du 29 à St Michel.

Je ne viendrai pas à vous à travers ce courrier pendant les trois jours de Pèlerinage.

Veuillez m'en excuser.

Lundi 30 je visiterai des fidèles du Tarn et nous serons de retour le soir à Jauldes avant de repartir dès le lendemain matin.

Tout au cours de ce périple pastoral, vous ne quittez pas notre coeur sacerdital et nous vous emportons dans nos prières, espérant pour nous aussi les vôtres si précieuses.

Ainsi s'achèvera, par ce pèlerinage à Lourdes, ma tournée pastorale mensuelle des paroisses et "relais paroissiaux" de la "facade atlantique" de notre pays.

Mardi, sur le retour, je visiterai quelques fidèles de Vendée . 

Bonne fête à toutes les Mamans ! 

Votre fidèlement en Christ . Aloho m'barekh (Dieu vous bénisse) !

+Mor Philipose-Mariam

Deuxième lettre de saint Paul Apôtre à Timothée 4,1-8.

Mon bien-aimé : je t'adjure devant Dieu et le Christ Jésus, qui doit juger les vivants et les morts, par son avènement et son royaume : 
prêche la parole, insiste à temps et à contretemps, reprends, censure, exhorte, avec une entière patience et souci d'instruction. 
Car un temps viendra où les hommes ne supporteront pas la saine doctrine, mais au gré de leurs désirs se donneront une foule de maîtres, l'oreille leur démangeant, 
et ils détourneront l'oreille de la vérité pour se tourner vers les fables. 
Pour toi, sois sobre en toutes choses, endure la souffrance, fais œuvre de prédicateur de l'Evangile, remplis pleinement ton ministère. 
Quant à moi, je suis déjà offert en sacrifice, et le moment de mon départ approche. 
J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi : 
désormais m'est réservée la couronne de la justice, que m'accordera en ce jour-là le Seigneur, le juste Juge, et non seulement à moi, mais à tous ceux qui auront chéri son apparition. 
 


Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 5,13-19.

En ce temps-là, Jésus dit à ses disciples : Vous êtes le sel de la terre. Si le sel s'affadit, avec quoi lui rendra-t-on sa saveur ? Il n'est plus bon qu'à être jeté dehors et foulé aux pieds par les hommes. 
Vous êtes la lumière du monde : une ville située au sommet d'une montagne ne peut être cachée. 
Et on n'allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau, mais sur le chandelier, et elle éclaire tous ceux qui sont dans la maison. 
Qu'ainsi votre lumière brille devant les hommes, afin que, voyant vos bonnes œuvres, ils glorifient votre Père qui est dans les cieux. 
Ne pensez pas que je sois venu abolir la Loi ou les Prophètes ; je ne suis pas venu abolir, mais parfaire. 
Car, je vous le dis en vérité, jusqu'à ce que passent le ciel et la terre, un seul iota ou un seul trait de la Loi ne passera, que tout ne soit accompli. 
Celui donc qui aura violé un de ces moindres commandements et appris aux hommes à faire de même sera tenu pour le moindre dans le royaume des cieux ; mais celui qui les aura pratiqués et enseignés sera tenu pour grand dans le royaume des cieux. 
 




Par Saint Jérôme

(347-420), prêtre, traducteur de la Bible, docteur de l'Église 
Homélie sur les Evangiles (Catena Aurea) 

 

Suivre les commandements

 

Le Seigneur flétrit ici la conduite des Pharisiens qui, n'ayant que du mépris pour les commandements de Dieu, leur substituaient leurs propres traditions, et il leur apprend que l'enseignement qu'ils donnent au peuple perd tout son prix, s'ils détruisent le plus petit commandement de la loi. 
C'est que la science du maître, ne fût-il esclave que d'une faute légère, le fait descendre de la place élevée qu'il occupait ; c'est qu'il ne sert de rien d'enseigner la justice si on la détruit en même temps par la moindre faute ; c'est qu'on n'est souverainement heureux qu'en traduisant dans sa conduite les enseignements que l'on donne aux autres. 

 

 

« Si vraiment nous aimons, nous sommes dans la vérité ; mais il faut aimer vraiment, pas seulement dire, crier qu'on aime.
Aimons en vérité, allons jusqu'aux actes.
Comme le dit saint Jacques, ce n'est pas aimer que de dire à son frère qui a froid :

« Va et chauffe-toi bien » (Jc 9, 15-16) sans lui donner de quoi se chauffer. Aimons en vérité, réellement.


Si nous aimons vraiment, même si notre cœur nous fait des reproches sur d'autres points, l'amour nous justifiera, car l'amour couvre la multitude des péchés.


Dieu donne à qui donne, se donne à qui se donne, pardonne à qui pardonne. Bienheureux les miséricordieux, ils obtiendront miséricorde !

Un cœur ouvert à la misère du prochain est ouvert à la miséricorde de Dieu. La miséricorde triomphe du jugement.


Toujours le cœur ouvert !


Aussi ne jugeons jamais pour condamner.

Nous ne savons pas le fond du problème et l'intention qui conduit la main. Dieu seul peut juger le dedans. »

P. Monier s.j., Saint Jean. Jésus écouté et regardé avec le cœur (Troisième partie, Jésus est la Vérité), Les éditions du Cerf, Paris, 1982.

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A nous qui voguons sur une mer aujourd'hui très agitée par la tempête des passion, je propose ce matin cette belle 

PRIERE DES MARINS:

Seigneur,


Accordez-moi des mers démontées, 
plutôt qu'une vie de facilité,

Le dur et fou labeur
d'une vie d'efforts,

L'aventure, une vie qui a du sens,
car la sécurité du port n'est pas pour moi,
en tout cas pas pour longtemps.

Que j'entende Votre conseil:

-"Va au large" 

et 

"Jette les filets"

Que celui qui a peur reste sur le quai,
à nous pointer du doigt alors que nous nous élançons vers l'inconnu,

Vers le vaste horizon,
où celui qui a du courage peut devenir une légende.

Amen.

 

SAINT BÈDE LE VÉNÉRABLE  
Confesseur et Docteur  de l'Église
(673-735)

           Saint Bède naquit en Écosse, au bourg appelé aujourd'hui  Girvan. À l'âge de sept ans, il fut donné au célèbre moine anglais saint  Benoît Biscop, pour être élevé et instruit selon l'usage bénédictin.  Son nom, en anglo-saxon, signifie prière, et qualifie bien toute la vie  de cet homme de Dieu, si vénéré de ses contemporains qu'il en reçut le  surnom de Vénérable, que la postérité lui a conservé.

        À sa grande piété s'ajouta une science extraordinaire. À  dix-neuf ans, il avait parcouru le cercle de toutes les sciences  religieuses et humaines : latin, grec, poésie, sciences exactes,  mélodies grégoriennes, liturgie sacrée, Écriture Sainte surtout, rien ne  lui fut étranger. Mais la pensée de Dieu présidait à tous ses travaux :  " Ô bon Jésus, s'écriait-il, vous avez daigné m'abreuver des ondes  suaves de la science, accordez-moi surtout d'atteindre jusqu'à Vous,  source de toute sagesse. "

        D'élève passé maître, il eut jusqu'à 600 disciples et plus à  instruire ; ce n'est pas un petit éloge que de citer seulement saint  Boniface, Alcuin, comme des élèves par lesquels sa science rayonna  jusqu'en France et en Allemagne. Étudier, écrire était sa vie ; mais  l'étude ne desséchait point son cœur tendre et pieux ; il rédigeait tous  ses immenses écrits de sa propre main : les principaux monuments de sa  science sont ses vastes commentaires sur l'Écriture Sainte et son  Histoire ecclésiastique d'Angleterre.

        Le Saint eut à porter longtemps la lourde Croix de la  jalousie et fut même accusé d'hérésie : ainsi Dieu perfectionne ses  Saints et les maintient dans l'humilité. Il n'avait que soixante-deux  ans quand il se sentit pris d'une extrême faiblesse. Jusqu'à la fin, son  esprit fut appliqué à l'étude et son cœur à la prière ; tourné vers le  Lieu saint, il expira en chantant : Gloria Patri et Filio et Spiritui  Sancto.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950.

Venerable Bede, the Church Historian
Commemorated on May 27

Saint Bede was a church historian who recorded the history of Christianity in England up to his own time. He was probably born around 673 in Northumbria. We do not know exactly where he was born, but it is likely that it was somewhere near Jarrow.

When he was seven, Bede was sent to St Benedict Biscop (January 12) at the monastery of St Peter at Wearmouth to be educated and raised. Then he was sent to the new monastery of St Paul founded at Jarrow in 682, where he remained until his death. There he was guided by the abbot St Ceolfrith (September 25), who succeeded St Benedict in 690, ruling both Wearmouth and Jarrow.

There is an incident in the anonymous Life of Ceolfrith which may refer to the young Bede. A plague swept through Ceolfrith’s monastery in 686, taking most of the monks who sang in the choir for the church services. Only the abbot and a young boy raised and educated by him remained. This young boy “is now a priest of the same monastery and commends the abbot’s admirable deeds both verbally and in writing to all who desire to learn them.”

Grieved by this catastrophe, Ceolfrith decided that they should sing the Psalms without antiphons, except at Matins and Vespers. After a week of this, he went back to chanting the antiphons in their proper place. With the help of the boy and the surviving monks, the services were performed with difficulty until other monks could be brought in and trained to sing.

St Bede was ordained as a deacon when he was nineteen, and to the holy priesthood at the age of thirty by St John of Beverley (May 7), the holy Bishop of Hexham (687), and later (705) of York. Bede had a great love for the church services, and believed that since the angels were present with the monks during the services, that he should also be there. “What if they do not find me among the brethren when they assemble? Will they not say, ‘Where is Bede?’

Bede began as a pupil of St Benedict Biscop, who had been a monk of the famous monastery at Lerins, and had founded monasteries himself. St Benedict had brought many books with him to England from Lerins and from other European monasteries. This library enabled Bede to write his own books, which include biblical commentary, ecclesiastical history, and hagiography.

Bede was not an objective historian. He is squarely on the Roman side in the debate with Celtic Christianity, for example. He was, however, fair and thorough. His books, derived from “ancient documents, from the traditions of our ancestors, and from my own personal knowledge” (Book V, 24) give us great insight into the religious and secular life of early Britain. To read St Bede is to enter a world shaped by spiritual traditions very similar to those cherished by Orthodox Christians. These saints engage in the same heroic asceticism shown by saints in the East, and their holiness fills us with love and admiration. Christians were expected to fast on Wednesdays and Fridays, and there was a forty day Nativity Fast (Book IV, 30).

St Bede became ill in 735. For about two weeks before Pascha, he was weak and had trouble breathing, but experienced little pain. He remained cheerful and gave daily lessons to his students, then spent the rest of the day singing Psalms and giving thanks to God. He would often quote the words of St Ambrose, “I have not lived in such a way that I am ashamed to live among you, and I do not fear to die, for God is gracious” (Paulinus, Life of Saint Ambrose, Ch. 45).

In addition to giving daily lessons and chanting the Psalms, St Bede was also working on an Anglo-Saxon translation of the Gospel of St John, and also a book of extracts from the writings of St Isidore of Seville (April 4). On the Tuesday before the Feast of the Lord’s Ascension, the saint’s breathing became more labored, and his feet began to swell. “Learn quickly,” he told those who were taking dictation from him, “for I do not know how long I can continue. The Lord may call me in a short while.”

After a sleepless night, St Bede continued his dictation on Wednesday morning. At the Third Hour, there was a procession with the relics of the saints in the monastery, and the brethren went to attend this service, leaving a monk named Wilbert with Bede. The monk reminded him that there remained one more chapter to be written in the book which he was dictating. Wilbert was reluctant to disturb the dying Bede, however. St Bede said, “It is no trouble. Take your pen and write quickly.”

At the Ninth Hour, Bede paused and told Wilbert that he had some items in his chest, such as pepper, incense, and linen. He asked the monk to bring the priests of the monastery so that he could distribute these items to them. When they arrived, he spoke to each of them in turn, requesting them to pray for him and to remember him in the services. Then he said, “The time of my departure is at hand, and my soul longs to see Christ my King in His beauty.”

That evening, Wilbert said to him, “Dear Master, there is one sentence left unfinished.”

Bede said, “Very well, write it down.”

Then the young monk said, “It is finished now.”

St Bede replied, “You have spoken truly, it is well finished.” Then he asked Wilbert to raise his head so that he could see the church where he used to pray. After chanting, “Glory to the Father, and to the Son, and to the Holy Spirit” to its ending, St Bede fell asleep in the Lord Whom he had loved.

Although St Bede reposed on May 25, the eve of the Ascension, he is commemorated on the 27th, since the Feast of St Augustine of Canterbury is appointed for the 26th. His body was first buried in the south porch of the monastery church, then later transferred to a place near the altar. Today his holy relics lie in Durham Cathedral, in the Galilee chapel. St Bede is the only Englishman mentioned by Dante in the DIVINE COMEDY (Paradiso).



 

Certains célèbrent aussi aujourd'hui

Saint Augustin de Cantorbéry est un évêque

(+604)

 

 

Augustin était un romain, moine bénédictin sur le Mont Cœllius, il fut chargé par le pape Grégoire le Grand d’évangéliser les Anglo-Saxons. En effet les îles Britanniques avaient été évangélisées mais leurs populations étaient celtes, et ces dernières ne voulaient pas du tout transmettre leur foi à leurs envahisseurs anglo-saxons.

 

 Augustin rencontra à Arles, Berthe, la femme du roi du Kent, qui était parente de Clovis et chrétienne. En 597 Augustin fut alors consacré archevêque et primat de l’Eglise d’Angleterre puis il partit dans le pays avec 40 moines. Il s’installa dans le Kent, convertit le roi Ethelbert qui lui donna Cantorbéry.
Augustin y installa son siège et une grande bibliothèque de manuscrits romains. La christianisation des Anglo-Saxons fut un succès,  par contre il ne réussit pas à rallier l’Eglise celte, les deux peuples restèrent séparés.
AUGUSTIN 27 MAI
 

 BONNE FETE AUX BEDES , AUX AUGUSTIN (La pluspart des Augustins sont sous le patronnage du "Grand St Augustin, l'Evêque d'Hyponne)

 

 

Notre confiance envers la miséricorde de Marie sera inébranlable et universelle

 

Inébranlable, malgré nos misères et nos fautes ; elle est en effet une mère de miséricorde, mater misericordiæ, qui n'a pas à s'occuper de justice, mais qui a été choisie pour exercer avant tout la compassion, la bonté, la condescendance : sachant que nous sommes exposés aux attaques de la concupiscence, du monde et du démon, elle a pitié de nous qui ne cessons pas d'être ses enfants, même quand nous sommes tombés dans le péché. Aussi, dès que nous manifestons la moindre bonne volonté, le désir de revenir à Dieu, elle nous accueille avec bonté ; et souvent même, c'est elle qui, prévenant ces bons mouvements, nous obtiendra les grâces qui les exciteront dans notre âme (…).

Universelle, c'est-à-dire, s'étendant à toutes les grâces dont nous avons besoin, grâces de conversion, d'avancement spirituel, de persévérance finale, grâces de préservation au milieu des dangers, des angoisses, des difficultés les plus graves qui puissent se présenter. (…) Comme nous avons constamment besoin de grâce pour vaincre nos ennemis et progresser, c'est souvent qu'il faut nous adresser à celle qui est si bien appelée Notre Dame du perpétuel secours.

 

 
Adolphe Tanquerey
Dans Précis de Théologie Ascétique et Mystique, 10e édition, Desclée et Cie, 1928, 1ère partie, chap. II, par. 163 à 169, pp. 113-119
 

Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin  Mary/ 
  maliath taibootho/ full of grace/ 
  moran a'amekh  - the Lord is with thee/ 
  mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ 
  
wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/  and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ 
  O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ 
  yoldath aloho/  Mother of God/ 
  saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ 
  nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ 
  Amîn 

Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

 

 

 En mai soyez Missionnaire de Marie, Mère de Miséricorde,

abonnez vos amis à la "Newsletter", aidez le Monastère Syriaque

et ses missions,

venez en Pèlerinage !...

 

 

Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin  Mary/ 
  maliath taibootho/ full of grace/ 
  moran a'amekh  - the Lord is with thee/ 
  mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ 
  
wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/  and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ 
  O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ 
  yoldath aloho/  Mother of God/ 
  saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ 
  nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ 
  Amîn 

Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

 

 

 En mai soyez Missionnaire de Marie, Mère de Miséricorde, abonnez vos amis à la "Newsletter", aidez le Monastère Syriaque et ses missions, venez en Pèlerinage !...

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Toujours aucune nouvelle d'eux....Nous espérons...

 

 

 

N'oublions-pas de prier pour les évêques, prêtres et

 

fidèles chrétiens détenus par les "islamistes"

 

ou terroristesen tous genres !

 

Prions sans relâche pour que le

 

Seigneur les soutienne. Prions pour leur libération ...

 

 

 

 

 

 

Let us not forget the bishops, priests and faithful

 

Christians held by "Islamists" or terrorists of all

 

kinds! Pray tirelessly for the Lord to sustain them.

 

Pray for their release ...

 

The Lord came to send fire upon the earth (cf. Lk. 12:49), and through participation in this fire He makes divine not just the human substance which He assumed for our sake, but every person who is found worthy of communion with Him. (St. Gregory Palamas)
 

PRIERE POUR LES ENNEMIS:

O Seigneur Jésus-Christ, Qui nous avez ordonné d'aimer nos ennemis, et ceux qui nous diffament et nous blessent, de prier pour eux et de leur pardonner;

Vous qui Vous-même prâtes pour ceux qui vous crucifièrent: accordez-nous, nous Vous en prions, l'esprit de réconciliation chrétienne et d'humilité, afin que nous puissions pardonner du fond du cœur toute blessure et être réconciliés avec nos ennemis.

A nous qui ne sommes pas exempt de malice, accordez-nous de vaincre la malignité et les offenses des autres avec une humilité chrétienne et un amour véritable pour notre prochain.

Nous Vous supplions encore, ô Seigneur, d'accorder à nos ennemis, la paix véritable et le pardon des péchés; ne les laissez pas quitter cette vie sans adhérer à la vraie foi et se  convertir sincèrement.

Oui, Seigneur,  aidez-nous à rendre le bien pour le mal, de rester à l'abri des tentations du Malin, et de tous les périls qui nous menacent, tant par l'action des ennemis visibles que des invisibles.

Amîn!

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 11,11-25.

Après son arrivée au milieu des acclamations de la foule, Jésus entra à Jérusalem, dans le Temple. Il parcourut du regard toutes choses et, comme c’était déjà le soir, il sortit pour aller à Béthanie avec les Douze.
Le lendemain, quand ils quittèrent Béthanie, il eut faim. 
Voyant de loin un figuier qui avait des feuilles, il alla voir s’il y trouverait quelque chose ; mais, en s’approchant, il ne trouva que des feuilles, car ce n’était pas la saison des figues. 
Alors il dit au figuier : « Que jamais plus personne ne mange de tes fruits ! » Et ses disciples avaient bien entendu. 
Ils arrivèrent à Jérusalem. Entré dans le Temple, Jésus se mit à expulser ceux qui vendaient et ceux qui achetaient dans le Temple. Il renversa les comptoirs des changeurs et les sièges des marchands de colombes, 
et il ne laissait personne transporter quoi que ce soit à travers le Temple. 
Il enseignait, et il déclarait aux gens : « L’Écriture ne dit-elle pas : Ma maison sera appelée maison de prière pour toutes les nations ? Or vous, vous en avez fait une caverne de bandits. » 
Apprenant cela, les grands prêtres et les scribes cherchaient comment le faire périr. En effet, ils avaient peur de lui, car toute la foule était frappée par son enseignement. 
Et quand le soir tomba, Jésus et ses disciples s’en allèrent hors de la ville. 
Le lendemain matin, en passant, ils virent le figuier qui était desséché jusqu’aux racines. 
Pierre, se rappelant ce qui s’était passé, dit à Jésus : « Rabbi, regarde : le figuier que tu as maudit est desséché. » 
Alors Jésus, prenant la parole, leur dit : « Ayez foi en Dieu. 
Amen, je vous le dis : quiconque dira à cette montagne : “Enlève-toi de là, et va te jeter dans la mer”, s’il ne doute pas dans son cœur, mais s’il croit que ce qu’il dit arrivera, cela lui sera accordé ! 
C’est pourquoi, je vous le dis : tout ce que vous demandez dans la prière, croyez que vous l’avez obtenu, et cela vous sera accordé. 
Et quand vous vous tenez en prière, si vous avez quelque chose contre quelqu’un, pardonnez, afin que votre Père qui est aux cieux vous pardonne aussi vos fautes. » 
 




Par Saint Jérôme

(347-420), prêtre, traducteur de la Bible, docteur de l'Église 
Homélies sur l'évangile de Marc, n°9 (trad. Marc commenté, DDB 1986, p. 87s) 

 

« Ne faites pas de la maison de mon Père une maison de trafic » (Jn 2,16)

 

      « Alors Jésus entra dans le Temple et se mit à expulser ceux qui vendaient et ceux qui achetaient. »

Certains s'étonnent de la résurrection de Lazare (Jn 11,44), ils sont stupéfaits que le fils d'une veuve soit ressuscité (Lc 7,15), d'autres sont frappés par d'autres miracles.

Sans aucun doute, il est admirable de rendre la vie à un corps mort.

Pour ma part, je suis davantage frappé par l'évènement présent.

Cet homme, fils de charpentier, un pauvre sans demeure, sans gîte où se reposer, sans armée, qui n'était ni chef ni juge — quel pouvoir l'a autorisé à... chasser une foule si nombreuse alors qu'il était seul ?

Personne n'a protesté, personne n'a osé opposer de résistance, car personne n'a osé s'opposer au Fils qui réparait l'injure faite à son Père... 

      « Il se mit à chasser ceux qui vendaient et achetaient dans le Temple. »

Si cela a été possible chez les juifs, pourquoi cela ne l'est-il pas à plus forte raison chez nous ?

Si cela arrive dans le cadre de la Loi, pourquoi n'en est-il pas de même à plus forte raison dans l'Évangile ?...

Le Christ, un pauvre, chasse les acheteurs et les vendeurs, qui sont riches.

Celui qui vend est jeté au même titre que celui qui achète.

Que personne ne dise :

« Moi, j'offre tout ce que je possède, je fais des offrandes aux prêtres, comme Dieu l'a ordonné ».

Dans un passage de Matthieu, nous lisons ceci :

« Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement » (Mt 10,8).

La grâce de Dieu ne se vend pas, elle se donne.

 

 

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Programme des prochaines semaines au Monastère Syriaque de la Bienheureuse Vierge Marie, Mère de Miséricorde:

"A person who, knowing what faults he has committed, willingly and with due thankfulness endures the trials painfully inflicted on him as a consequence of these faults, is not exiled from grace or from his state of virtue; for he submits willingly and pays off his debts by accepting the trials. In this way, while remaining in a state of grace and virtue, he pays tribute not only with his enforced sufferings, which have arisen out of the impassioned side of his nature, but also with his mental assent to these sufferings, accepting them as his due on account of his former offenses. Through true worship, by which I mean a humble disposition, he offers to God the correction of his offenses." (St. Maximos the Confessor (The Philokalia Vol. 2; Faber and Faber pg. 285))

Program in the coming weeks

Syriac Monastery of the Blessed Virgin Mary, Mother of Mercy:

 

Lundi 4 JANVIER 2016 / ELÉMENTS POUR MÉDITER, RÉFLÉCHIR, PRIER ET MIEUX AGIR:
 

 

Au Monastère Syriaque de

CHANDAI-BREVILLY (61) :

(Messe tous les dimanches et en

semaine à 10h30.

Petits Pèlerinages sur Semaine

tous les 22 et 29 du mois)

 

 

 

 

 

*Dimanche 5 Juin:

 

 Pèlerinage mensuel à N-D de Miséricorde

'You have the power to incline either upwards or downwards: choose what is superior and you will bring what is inferior into subjection.' (St. Thalassios the Libyan)

Mère de Miséricorde, priez pour nous, secourez-nous!

et aux Saints du Kerala.

 

 

St Abraham Koorilose Bava,priez pour nous!

10h30, Messe suivie  du repas fraternel,

possibilité de recontrer un prêtre (Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)

 

St Gregorios de Parumala, priez pour nous !

 

ATTENTION,

en raison du Mariage du Sous-diacre Andres,

pour le 5 JUIN, le ramassage des fidèles sur

 

*Paris: le Samedi 4 sera retardé à 17 h au lieu de R.D.V habituel

 

  

* Sunday, June 5:
  monthly pilgrimage to N-D Mercy and Saints Kerala.
10:30 am Mass followed by a fraternal meal and reception of the faithful.

 

 

 

 

Pèlerinage à Notre-Dame de Miséricorde

 

au Monastère Syriaque 

 

Tous les 1ers Weekend du mois

 

(Ramassage des fidèles de région parisienne chaque samedi précédent le 1er dimanche du mois à 15h )

===

Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,


Brévilly

61300 CHANDAI.

Tel: 02.33.24.79.58

ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonées)

Adresse courriels: asstradsyrfr@laposte.net


 

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Note:

l'Eglise Syro-Orthodoxe- Francophone est une Eglise

Orthodoxe-Orientale

 

Le Monastère Syriaque est un Centre de Prières pour l'unité

des Eglises Apostoliques, l'unanimité du Témoignage Chrétien

et la paix du monde.

¤ Permanence pastorale en diverses région de France pour : Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)…

Pour les services pastoraux rendus au Monastère comme l'accueil 

des fidèles pour de courts séjours ou des retraites spirituelles , 

nous n'exigeons aucun fixe.

Les offrandes sont libres et non 

obligatoires

Toute offrande fait cependant l'objet d'une 

déduction de votre revenu imposable à raison de 66°/° de votre 

revenu). Libeller tous C B à l'ordre suivant " Métropolie E S O F 

 

Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin  Mary/    maliath taibootho/ full of grace/    moran a'amekh  - the Lord is with thee/    mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/    wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/  and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/    O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/    yoldath aloho/  Mother of God/    saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/    nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./    Amîn   Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/ maliath taibootho/ full of grace/ moran a'amekh - the Lord is with thee/ mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/ and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ yoldath aloho/ Mother of God/ saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ Amîn Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

jésus marie joseph

LA PRIÈRE C'EST LE CRI DU CŒUR MONTANT VERS DIEU. 
ELLE NE S'APPREND PAS DANS DES MANUELS. ELLE DOIT 
JAILLIR TOUT NATURELLEMENT D'UN CŒUR QUI ATTEND LE 
SECOURS DIVIN, AVEC ASSURANCE.

JÉSUS A MIS LUI-MÊME EN ÉVIDENCE LA VALEUR DE LA PRIÈRE : 
« TOUT CE QUE VOUS DEMANDEREZ, AVEC FOI, PAR LA PRIÈRE, 
VOUS LE RECEVREZ »

(St MATTHIEU 12 : 22).

 

 CONSEILS DU STARETS AMBROISE A PROPOS DE "LA PRIERE DU COEUR"

"Tu me décris dans ta dernière lettre comment une pensée t'a forcé à prier Dieu qu'Il fasse descendre ton esprit dans ton coeur.

Mais chez aucun des Saints Pères nous ne voyons que l'un d'eux ait jamais prié ainsi.

Il vaut mieux prier humblement :

" Ô Seigneur, aie pitié de moi comme Tu le sais, Toi".

Nous avons reçu du Seigneur le commandement de prier :

Notre Père !

Que Votre volonté soit faite !

Mais chez toi on voit partout transparaître, même dans la prière, que tu veux que tout se fasse absolument selon ta volonté, ou selon la suggestion de l'ennemi.

Que le Seigneur nous protège de tout mal, en particulier de la fourberie de l'ennemi dont le signe manifeste est la confusion désordonnée, la pensée de vaine gloire, avec ce qui s'ensuit :

*pensées froides ou

*désirs du monde, ou encore

*colère et irritation."

(1er mars 1869)

 

Prière pour les époux dans la tourmente:

See original image

”Seigneur Jésus Christ, Vous qui au Paradis, avec le Père et l’Esprit, avez formé le couple de l’homme et de la femme et qui, après qu’il se fût divisé, le réconciliâtes à Cana de Galilée, jettez un regard sur les époux, Vos serviteurs N…et N…, nos frères bien aimés.

Vous qui par la mort avez vaincu la mort, ne permetez pas que chez eux triomphent la division et la mort.

Renouvelle en tes serviteurs la grâce de l’amour conjugal; renouvelle en eux la grâce du saint baptême; accordez-leur un esprit de repentir et de prompte réconciliation, afin qu’ils ne soient pas privés de Votre Corps précieux et de Votre Sang très pur. Nous vous le demandons en nous recommandant aux prières de Vos saints ancêtres Joachim et Anne, de Votre Mère très pure, des Saints de notre Tradition Syriaque et de tous Vos saints.

Car Vous êtes Le le Dieu de miséricorde, plein d’amour pour les hommes et nous Vous rendons gloire avec Votre Père éternel et Votre Esprit très saint, bon et vivifiant, maintenant et toujours et dans les siècles des siècles: Amîn!”

EN VRAC...ELEMENTS EPARS POUR VOTRE

 

REFLEXION PERSONNELLE ET...ALIMENTER

 

VOTRE PRIERE...

 

 

 

 

 

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Dans une tribune publiée ce lundi 13 mai dans le journal Le Monde, une médaille Fields et sept prix Nobel français dénoncent les coupes budgétaires prévues pour la recherche, qui s'apparentent pour eux à «un suicide scientifique et industriel».

 

256 millions d'euros. C'est la coupe budgétaire annoncée par le gouvernement dans le budget de la recherche. Une décision qui a suscité la colère d'éminents chercheurs, qu'ils expriment dans une tribune publiée dans le journal Le Monde. Des scientifiques aussi prestigieux que Françoise Barré-Sinoussi (Prix Nobel de physiologie ou médecine), Claude Cohen-Tannoudji (Prix Nobel de physique), Albert Fert (Prix Nobel de physique), Serge Haroche (Prix Nobel de physique), Jules Hoffmann (Prix Nobel de physiologie)...

En effet, le mercredi 18 mai a été présenté en commission des finances de l'Assemblée nationale un décret annulant 256 millions d'euros de crédits sur la mission «recherche et enseignement supérieur». Les économies réalisées devraient en grande partie servir à financer des mesures liées à l'emploi et à l'allocation pour les demandeurs d'asile. 

Dans leur tribune, les chercheurs dénoncent un véritable «suicide scientifique et industriel» : «Ce que l'on détruit brutalement, d'un simple trait de plume budgétaire, ne se reconstruit pas en un jour», déplorent les chercheurs et les signataires d'ajouter : «Les organismes nationaux de recherche vont devoir arrêter des opérations en cours et notamment limiter les embauches de chercheurs et de personnels techniques.»

Dans un contexte de concurrence internationale et de risque de décrochage, cette mesure serait désastreuse selon les signataires de la tribune. Ils rappellent que de l'autre côté de l'Atlantique, c'est une politique inverse qui a été choisie, puisque «le gouvernement américain vient de décider de doubler son effort dans le domaine des recherches sur l'énergie».

Enfin, cette décision budgétaire «n'incitera pas non plus la jeunesse à se tourner vers les métiers de la recherche scientifique et de la Recherche & Développement en général», argumentent encore les chercheurs

SOURCE

 

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Humour

Savez-vous pourquoi le Paradis c’est vraiment le paradis ?

Parce qu’au Paradis, vous êtes accueilli par un Anglais, c’est un Français qui fait la nourriture, c’est un Italien qui met de l’ambiance et c’est un Allemand qui coordonne le tout.

Maintenant, savez-vous pourquoi l’Enfer c’est horrible ?

Parce qu’en Enfer, vous êtes accueilli par un Français, c’est un Anglais qui fait la nourriture, c’est un Allemand qui met de l’ambiance et c’est un Italien qui coordonne le tout.

 

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Chaldean Patriarch Criticized for Opposition to Assyrian Military Forces


Assyrian International News Agency
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Chaldean Patriarch Criticized for Opposition to Assyrian Military Forces

Assyrian Confederation of Europe
2016-05-26 15:51 GMT

 

Patriarch Louis Raphael I Sako.(AINA) -- The Assyrian Confederation of Europe is concerned by recent statements made by Mar Louis Sako, Patriarch of the Chaldean Catholic Church, concerning Assyrian security forces in Iraq.

In a widely quoted interview with the Vatican Radio on May 20th, Patriarch Sako stated his opposition to the existence of an Assyrian military force in the Nineveh Plain.

There is broad agreement between Assyrian organizations in Iraq and the diaspora that Assyrians must actively participate in the military campaign to liberate the Nineveh plain and secure the area after the liberation. The Nineveh Plain Protection Units (NPU), which is tasked with that mandate, is officially recognized and supported by the Iraqi government, in direct contradiction to the Patriarch's claims.

The importance of Assyrian-led forces was made abundantly clear when the Kurdish Peshmerga disarmed (AINA 2014-08-14) and then abandoned the Assyrians of the Nineveh Plain to genocide at the hands of ISIS. Patriarch Sako's urging of the United States to support the Peshmerga instead of Assyrian forces is a clear illustration of how utterly at odds his ideas are with the real needs of Assyrians in Iraq.

Assyrian-led military participation is essential if displaced Assyrians are to return to Nineveh, as Patriarch Sako claims that he wishes them to.

We find Mar Sako's description of the Assyrians participating in the liberation and defense of Nineveh, many of whom are Chaldean Catholics, as "simple people in desperate need of a salary" particularly distasteful. The NPU is a legitimate military expression of the desire of Assyrians to fight for their homeland. It is not a "sectarian militia", as Patriarch Sako alleges, and aims to fight alongside other legitimate forces and contribute to the survival of a multi-ethnic Iraq. The NPU has already participated successfully in battles against ISIS and is set to play an increasingly important role in the Nineveh Plain.

Patriarch Sako has on several occasions expressed a desire to separate religion from state in Iraq. It is therefore embarrassingly inconsistent of him to continue to interfere in the political affairs of his people. We urge Patriarch Sako not to confuse his role as a religious figure with that of a political leader, just as political and secular leaders refrain from passing comment on theology or ecclesiastical affairs.

 

The Assyrian Confederation of Europe, which is made up of national federations supported by tens of thousands of Assyrians, including Assyrians from the Chaldean church, calls upon the international community to support the Nineveh Plain Protection Units with arms, training and other resources and to disregard political statements made by religious figures within our nation, as they are not democratically elected by the people and do not represent the Assyrian people politically.

 

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Ensemble avec Marie réunit des chrétiens et des musulmans, autour de la figure commune de la Vierge Marie.

If we were not passionately inclined to money or to vainglory, then we would not fear death or poverty. We would not know enmity or hatred, and we would not suffer from the sorrows of ourselves or others. (St. John Chrysostom, To those at Enemity, 3.19)

 

Après le succès des rassemblement ayant eu lieu cette année à Créteil, Lyon et Bruxelles, une rencontre aura lieu le samedi 28 mai à la Grande Mosquée de Paris. C’est la première fois qu’une telle rencontre se tiendra dans un lieu de culte musulman. Les participants seront accueillis, entre autres, par Mgr Bruno Lefèvre-Pontalis, vicaire général de l’archidiocèse de Paris, en charge des relations avec l’islam.

Aleteia : Monseigneur, quel message souhaitez-vous faire passer samedi ?
Mgr Bruno Lefèvre-Pontalis : Le but des rencontres Ensemble avec Marie qui ont déjà eu lieu deux fois à Longpont est vraiment de promouvoir entre chrétiens et musulmans un meilleur « vivre-ensemble » autour de la figure de la Vierge Marie. C’est une collaboration, une découverte, une prière autour de la Sainte Vierge, vue non seulement comme un point commun entre les deux traditions mais qui peut aussi être un pont. Même si elle n’est pas située de la même manière dans la Bible et le Coran, ce dernier en parle.

Quels sont les points de rapprochement possibles ?
Les organisateurs de ces rencontres mettent en parallèle les deux récits de l’Annonciation, entre le Coran et l’Évangile de saint Luc. Il est vrai que Marie est Mère de Jésus et Vierge dans les deux textes. Certaines personnes un peu critiques avancent que ce n’est pas du tout la Marie de l’Évangile, mais le Coran est compliqué…

Par les temps qui courent n’est-il pas plus important de mettre en avant ce qui rapproche davantage que ce qui divise ?
De fait, dans certains pays musulmans – je pense à Éphèse, en Turquie, au Liban ou en Afrique –, ou même en France, des sanctuaires mariaux tenus par les chrétiens sont des lieux de pèlerinage également pour les musulmans. Ils viennent de manière étonnante et je pense, sans être un exégète pointilleux, que Marie peut permettre de faire une démarche commune. Les musulmans disent la Vierge Marie et c’est intéressant. Elle est certainement un modèle de foi et un pont qui favorise le dialogue, les connaissances… et même la prière ! C’est incroyable que les musulmans acceptent de prier Marie, de passer par elle. Nous catholiques d’ailleurs ne prions pas Marie : nous lui demandons de prier pour nous. C’est ce modèle de foi, de prière, vecteur de dialogue que nous mettons en avant. Nous sommes dans une période où la cohésion sociale est difficile et il faut utiliser tous les chemins de dialogue et de connaissance mutuelle, de rencontre de l’autre en vérité pour dépasser les peurs et les ignorances. Et Marie est un point commun privilégié.

Quel regard le diocèse de Paris porte-t-il sur ces rassemblements ?
Je veux montrer par ma présence que le cardinal-archevêque soutient cette action. Le cardinal Vingt-Trois connaît les dirigeants et responsables musulmans mais ces relations restent compliquées. Un délégué épiscopal le représente, le père Nicolas Bremond d’Ars, qui participera d’ailleurs à cette table ronde. Ces rassemblements sont de petites gouttes d’eau, nous avançons millimètre par millimètre. Mais c’est une petite passerelle importante.

Quels sont les objectifs de ces rencontres ?
Favoriser la connaissance mutuelle, le dialogue et la prière, et s’appuyer sur quelque chose que l’on a en commun. Ces événements sont plus gratuits que ce que l’on pourrait penser. Le but n’est pas de construire quelque chose en vue d’un éventuel rassemblement mais de créer un dialogue et de faire tomber les craintes. Nous pouvons ainsi montrer davantage ce qui peut rassembler, dans la ligne de Jean Paul II – repris par Benoît XVI puis par le pape François –, que ce qui divise, sans renier les énormes différences.

Sont-elles si énormes et insurmontables que cela ? On voit que dans certains pays, tel le Liban, chrétiens et musulmans parviennent à s’entendre relativement bien sans se soucier de ces différences théologiques qui les dépassent.
Oui, elles les dépassent. Allah veut dire Dieu en arabe mais la conception de Dieu dans l’islam n’est pas tout à fait la même que nous. Dieu ne s’est pas fait homme pour les musulmans et cela change beaucoup de choses. Mais pour eux Jésus est le Messie dans le sens où « messie » veut dire « consacré », « l’Oint » de Dieu. Jésus est choisi par Dieu pour eux comme pour nous, mais pour l’islam Il n’est qu’un prophète, le dernier avant Mahomet. Le danger est que l’on mette derrière les mêmes mots des réalités différentes. Partons d’abord de ce qui est commun et sortons de la peur et de l’ignorance. Il est d’ailleurs souvent plus facile de parler avec un musulman ouvert, religieux et croyant qu’avec un athée.

Peut-on prier entre chrétiens et musulmans ?
Ces rencontres sont très originales ! La première fois que j’en ai entendu parler, je me demandais comment cela était possible… On ne peut malheureusement pas aller théologiquement très loin. Mais ce qui nous rassemble est toujours positif. À Assise avec Jean Paul II et Benoît XVI, les croyants ne priaient pas ensemble. Ils priaient au même moment mais il n’y avait pas de prière commune. À Longpont, il y avait une prière commune à Marie à la fin. Ce samedi 28 mai, ce ne sera cependant pas une prière mais une table ronde.

Que peut apporter le Liban à la France sur le dialogue islamo-chrétien ?
Le Liban est un témoignage fort ! Aujourd’hui, malgré les tensions, le dialogue existe toujours. Ce pays est un témoignage de coexistence pacifique depuis des siècles malgré tout et cette démarche de faire du 25 mars une fête nationale est pour nous tous un très bel exemple. Ils savent ce qu’ils font là bas. De nombreuses familles musulmanes dont les enfants ont été éduqués dans des écoles religieuses catholiques connaissent et respectent l’Église. En France, rendre la fête de l’Annonciation journée nationale fériée et chômée en France est impossible mais pourquoi pas nous inspirer du Liban dans la mesure du possible.

Quelles relations le diocèse de Paris entretient-il avec les autorités musulmanes d’Île-de-France ?
Depuis deux ans, le père Nicolas Bremond d’Ars a repris les dossiers avec cette mission d’avoir des contacts avec les responsables musulmans de Paris. Mais il est difficile d’avoir des contacts avec les responsables musulmans. Nous nous connaissons de vue, nous participons aux rencontres interreligieuses, bien souvent à l’initiative de paroisses. L’islam est très morcelé en France. Le dialogue est compliqué car il n’y a pas un mais desreprésentants.

Mais y croyez-vous quand même ?
Je crois au dialogue. J’y crois parce qu’il est incontournable. Dieu Lui-même est dialogue. On ne peut pas ne pas dialoguer. Le Pape rappelait dernièrement que la coexistence entre chrétiens et musulmans est possible. L’actualité de ces dernières années rend les choses plus difficiles mais ce n’est pas pour autant qu’il faut baisser les bras. Sans présager de la politique des années à venir, les musulmans seront toujours en France. On ne peut pas ne pas favoriser des points de connaissance mutuelle, de dialogue et de respect.

Propos recueillis par Mathilde Rambaud

Table-ronde « Chrétiens et musulmans ensemble avec Marie »
Samedi 28 mai 2016 de 15 h 30 à 17 h 30
Grande Mosquée de Paris
Entrée libre

 

Accueil par Djelloul Bouzidi, grand mufti de la mosquée de Paris, et Mgr Bruno Lefèvre-Pontalis, vicaire général de l’archidiocèse de Paris. 
Interventions de Dalil Boubakeur (recteur de la Grande Mosquée de Paris), du père Nicolas de Bremond d’Ars (délégué diocésain du service pour les relations avec les musulmans), de Mgr Michel Dubost (évêque d’Évry, président du Conseil pour les relations interreligieuses) et de Djelloul Seddiki (Directeur de l’Institut de Théologie El Ghazali).

(Source: Aleteia)

 

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Et si l'euro 2016 de football organisé en France, qui commence le 10 juin, était perturbé par les mouvements sociaux ? C'est la crainte de plus de la moitié des Français, révèle le baromètre mensuel Odoxa-MCI pour « le Parisien » - « Aujourd'hui en France » et France Info.

Selon l'enquête, 56 % des sondés le redoutent.

La faute au gouvernement
 
François Hollande a beau marteler, comme hier matin, que la situation sociale et les blocages sont dus à une « stratégie portée par une minorité », une majorité des sondés estiment pourtant le contraire : 61 % jugent que si la situation continue de se dégrader jusqu'à affecter l'organisation de la compétition sportive, ce sera la faute du gouvernement qui a pris « de gros risques en voulant passer en force sur la loi Travail ».
Seules 37 % des personnes interrogées évoquent « l'irresponsabilité des syndicats radicaux, FO, CGT... ». Pour deux Français sur trois, le gouvernement, qui reste inflexible, gère mal la loi Travail et la contestation qu'elle engendre. Faut-il y voir un appel à changer de stratégie alors que, le 13 juin, le texte de loi arrive au Sénat ?

Pas de cadeaux à gauche

En tout cas, les sympathisants de gauche ne sont pas les moins remontés. Là aussi, ils sont 61 % à pointer du doigt le gouvernement. Les sympathisants de la droite, eux, sont partagés : 51 % sont convaincus de la responsabilité des syndicats. Quant aux proches du FN, ils sont huit sur dix (77 %) à ne jeter la pierre qu'au gouvernement.
 

Catastrophe économique

 

Ils sont unanimes à penser que « de tels blocages seraient synonymes d'une vraie catastrophe économique pour notre pays », analyse Gaël Sliman. Nombreux sont ceux à estimer qu'un Euro 2016 perturbé nuirait à l'image de la France (71 %), au tourisme (70 %), aux investissements en France (63 %) et, plus généralement, à la croissance (58 %).

(...)

QUESTION DU JOUR. Grèves, blocages : va-t-on vers une paralysie du pays ?

 

SOURCE

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Lectionnaire (Acordé au Calendrier de l'Eglise Orthodoxe Malankare ) pour le 29 Mai:

Deuxième dimanche après la Pentecôte

·         Saint Qurbana

·          

o    Actes 4: 23 à 31 :

·         23 Lorsque Pierre et Jean eurent été relâchés, ils se rendirent auprès des leurs et rapportèrent tout ce que les grands prêtres et les anciens leur avaient dit.

·         24 Après avoir écouté, tous, d’un même cœur, élevèrent leur voix vers Dieu en disant : « Maître, toi, tu as fait le ciel et la terre et la mer et tout ce qu’ils renferment.

·         25 Par l’Esprit Saint, tu as mis dans la bouche de notre père David, ton serviteur, les paroles que voici : Pourquoi ce tumulte des nations, ce vain murmure des peuples ?

·         26 Les rois de la terre se sont dressés, les chefs se sont ligués entre eux contre le Seigneur et contre son Christ ?

·         27 Et c’est vrai : dans cette ville, Hérode et Ponce Pilate, avec les nations et le peuple d’Israël, se sont ligués contre Jésus, ton Saint, ton Serviteur, le Christ à qui tu as donné l’onction ;

·         28 ils ont fait tout ce que tu avais décidé d’avance dans ta puissance et selon ton dessein.

·         29 Et maintenant, Seigneur, sois attentif à leurs menaces : donne à ceux qui te servent de dire ta parole avec une totale assurance.

·         30 Étends donc ta main pour que se produisent guérisons, signes et prodiges, par le nom de Jésus, ton Saint, ton Serviteur. »

·         31 Quand ils eurent fini de prier, le lieu où ils étaient réunis se mit à trembler, ils furent tous remplis du Saint-Esprit et ils disaient la parole de Dieu avec assurance.

o     

o    Ephésiens 2: 11-22 :

·         11 Vous qui autrefois étiez païens, traités de « non-circoncis » par ceux qui se disent circoncis à cause d’une opération pratiquée dans la chair, souvenez-vous donc

·         12 qu’en ce temps-là vous n’aviez pas le Christ, vous n’aviez pas droit de cité avec Israël, vous étiez étrangers aux alliances et à la promesse, vous n’aviez pas d’espérance et, dans le monde, vous étiez sans Dieu.

·         13 Mais maintenant, dans le Christ Jésus, vous qui autrefois étiez loin, vous êtes devenus proches par le sang du Christ.

·         14 C’est lui, le Christ, qui est notre paix : des deux, le Juif et le païen, il a fait une seule réalité ; par sa chair crucifiée, il a détruit ce qui les séparait, le mur de la haine ;

·         15 il a supprimé les prescriptions juridiques de la loi de Moïse. Ainsi, à partir des deux, le Juif et le païen, il a voulu créer en lui un seul Homme nouveau en faisant la paix,

·         16 et réconcilier avec Dieu les uns et les autres en un seul corps par le moyen de la croix ; en sa personne, il a tué la haine.

·         17 Il est venu annoncer la bonne nouvelle de la paix, la paix pour vous qui étiez loin, la paix pour ceux qui étaient proches.

·         18 Par lui, en effet, les uns et les autres, nous avons, dans un seul Esprit, accès auprès du Père.

·         19 Ainsi donc, vous n’êtes plus des étrangers ni des gens de passage, vous êtes concitoyens des saints, vous êtes membres de la famille de Dieu,

·         20 car vous avez été intégrés dans la construction qui a pour fondations les Apôtres et les prophètes ; et la pierre angulaire, c’est le Christ Jésus lui-même.

·         21 En lui, toute la construction s’élève harmonieusement pour devenir un temple saint dans le Seigneur.

·         22 En lui, vous êtes, vous aussi, les éléments d’une même construction pour devenir une demeure de Dieu par l’Esprit Saint.

o     

o    Saint Matthieu 10: 5 – 16 :

·         05 Ces douze, Jésus les envoya en mission avec les instructions suivantes : « Ne prenez pas le chemin qui mène vers les nations païennes et n’entrez dans aucune ville des Samaritains.

·         06 Allez plutôt vers les brebis perdues de la maison d’Israël.

·         07 Sur votre route, proclamez que le royaume des Cieux est tout proche.

·         08 Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux, expulsez les démons. Vous avez reçu gratuitement : donnez gratuitement.

·         09 Ne vous procurez ni or ni argent, ni monnaie de cuivre à mettre dans vos ceintures,

·         10 ni sac pour la route, ni tunique de rechange, ni sandales, ni bâton. L’ouvrier, en effet, mérite sa nourriture.

·         11 Dans chaque ville ou village où vous entrerez, informez-vous pour savoir qui est digne de vous accueillir, et restez là jusqu’à votre départ.

·         12 En entrant dans la maison, saluez ceux qui l’habitent.

·         13 Si cette maison en est digne, que votre paix vienne sur elle. Si elle n’en est pas digne, que votre paix retourne vers vous.

·         14 Si l’on ne vous accueille pas et si l’on n’écoute pas vos paroles, sortez de cette maison ou de cette ville, et secouez la poussière de vos pieds.

·         15 Amen, je vous le dis : au jour du Jugement, le pays de Sodome et de Gomorrhe sera traité moins sévèrement que cette ville.

·         16 « Voici que moi, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme les serpents, et candides comme les colombes.

 

'If the serpent, the devil, bites someone secretly, he infects that person with the venom of sin. And if the one who has been bitten keeps silence and does not do penance, and does not want to confess his wound. . . then his brother and his master, who have the word [of absolution] that will cure him, cannot very well assist him.' St. Jerome

'If the serpent, the devil, bites someone secretly, he infects that person with the venom of sin. And if the one who has been bitten keeps silence and does not do penance, and does not want to confess his wound. . . then his brother and his master, who have the word [of absolution] that will cure him, cannot very well assist him.' St. Jerome

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