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17 avril 2015 5 17 /04 /avril /2015 09:38
Vendredi 17 AVRIL 2015:  Éléments de méditation :

Première lettre de saint Jean 5,4-10.

Mes bien-aimés, quiconque est né de Dieu, vainc le monde ; et la victoire qui a vaincu le monde, c'est notre foi.
Qui est celui qui est vainqueur du monde, sinon celui qui croit que Jésus est le Fils de Dieu ?
C'est ce même Jésus-Christ qui est venu par l'eau et par le sang, non avec l'eau seulement, mais avec l'eau et avec le sang. Et c'est l'Esprit qui rend témoignage, parce que l'Esprit est la vérité.
Car il y en a trois qui rendent témoignage dans le ciel : le Père, le Verbe et l'Esprit ; et ces trois sont un.
Et il y en a trois qui rendent témoignage sur la terre : l'Esprit, l'eau et le sang ; et ces trois sont d'accord.
Si nous recevons le témoignage des hommes, le témoignage de Dieu est plus grand ; et c'est bien là le témoignage de Dieu, qui a rendu témoignage à son Fils.
Celui qui croit au Fils de Dieu a ce témoignage de Dieu en lui-même ; celui qui ne croit pas Dieu, le fait menteur, puisqu'il n'a pas cru au témoignage que Dieu a rendu à son Fils.


Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 20,19-31.

En ce temps-là, le soir de ce même jour, le premier de la semaine, les portes de la maison, où se trouvaient les disciples, étant fermées par crainte des Juifs, Jésus vint et se tint au milieu d'eux disant : "La Paix soit avec vous !"
Ayant ainsi parlé, il leur montra ses mains et son côté. Les disciples furent remplis de joie en voyant le Seigneur.
Il leur dit une seconde fois : "Paix avec vous !" Comme mon Père m'a envoyé, moi aussi je vous envoie."
Après ces paroles, il souffla sur eux et leur dit : "Recevez l'Esprit-Saint."
"Ceux à qui vous remettrez les péchés, ils leur seront remis ; et ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus."
Mais Thomas, l'un des douze, celui qu'on appelle Didyme, n'était pas avec eux lorsque Jésus vint.
Les autres disciples lui dirent donc : "Nous avons vu le Seigneur." Mais il leur dit : "Si je ne vois dans ses mains la marque des clous, et si je ne mets mon doigt à la place des clous et ma main dans son côté, je ne croirai point."
Huit jours après, les disciples étant encore dans le même lieu, et Thomas avec eux, Jésus vint, les portes étant fermées, et se tenant au milieu d'eux, il leur dit : "Paix avec vous !"
Puis il dit à Thomas : "Mets ici ton doigt, et regarde mes mains ; approche aussi ta main, et mets-la dans mon côté ; et ne sois plus incrédule, mais croyant."
Thomas lui répondit : "Mon Seigneur, et mon Dieu !"
Jésus lui dit : "Parce que tu m'as vu, Thomas, tu as cru. Heureux ceux qui n'ont pas vu et qui ont cru."
Jésus a fait encore en présence de ses disciples beaucoup d'autres miracles qui ne sont pas écrits dans ce livre.
Mais ceux-ci ont été écrits, afin que vous croyiez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et qu'en croyant vous ayez la vie en son nom.

Vendredi 17 AVRIL 2015:  Éléments de méditation :

Par Saint François de Sales (1567-1622), évêque de Genève et docteur de l'Église .Premier sermon pour la Pentecôte (rev.)

« Il répandit sur eux son souffle et il leur dit : ' Recevez l'Esprit Saint ' »


Seigneur Jésus Christ, faites encore que de nous ne soit fait « qu'un cœur et qu'une âme » (Ac 4,32), car alors il y aura « une grande tranquillité » (Mc 4,39).

Mes chers auditeurs, je vous exhorte à l'amitié et à la bienveillance entre vous, et à la paix entre tous ; car si nous avions la charité entre nous, nous aurions la paix et nous aurions le Saint Esprit.

Il faut se rendre dévot et prier Dieu, car les apôtres étaient persévérants dans la prière.

Si nous nous mettons à faire des prières ferventes, le Saint Esprit viendra en nous et dira :

-« La paix soit avec vous !

C'est moi ; n'ayez pas peur » (cf Mc 6,50).

Que devons-nous demander à Dieu, mes frères ? Tout ce qui est pour son honneur et le salut de vos âmes, et en un mot l'assistance du Saint Esprit :

-« Envoie ton Esprit et tout sera créé » (Ps 103,30) : la paix et la tranquillité.


Il faut demander cette paix, afin que l'Esprit de paix vienne sur nous.

Il nous faut aussi rendre grâces à Dieu de tous ses bienfaits, si nous voulons qu'il nous donne des victoires qui sont commencement de paix ; et pour obtenir le Saint Esprit, il faut remercier Dieu le Père de ce qu'il l'a envoyé d'abord sur notre chef Jésus Christ, notre Seigneur, son Fils - car « nous recevons tout de sa plénitude » (cf Jn 1,16) - et de ce qu'il l'a envoyé sur ses apôtres pour nous le communiquer par leurs mains.

Il nous faut remercier le Fils : en tant que Dieu, il envoie l'Esprit sur ceux qui s'y disposent.

Mais surtout, il faut le remercier de ce qu'en tant qu'homme il nous a mérité la grâce de recevoir ce divin Esprit.


Comment Jésus Christ a-t-il mérité la venue du Saint Esprit ? Lorsque « en inclinant la tête il remit l'esprit » (Jn 19,30) ; car en donnant son dernier soupir et son esprit au Père, il mérita que le Père envoie son Esprit sur son corps mystique.


Vendredi 17 AVRIL 2015:  Éléments de méditation :

Rosa Mystica, « N-D de Montichiari »

« Le Seigneur m'envoie pour promouvoir une plus efficace piété mariale »

Le 24 novembre 1946, Pierina Gilli, alors infirmière à Montichiari, diocèse de Brescia, en Italie, voit une très belle dame. Elle est vêtue de couleur violette et porte un voile blanc. Elle est transparente. Elle ne dit rien. Pierina est éblouie et s'interroge (…).

Le 17 avril 1966, la Vierge lui apparaît encore et lui dit: - Mon divin Fils, tout Amour, m'envoie pour rendre cette source miraculeuse, comme signe de purification et de pénitence. (…) Le 1er juin 1947, la dame apparaît de nouveau (…) et prononce ces trois mots: Prière, sacrifice, pénitence.

Lors d’une autre apparition (13 juillet 1947), Marie précise: « Je suis la Mère de Jésus et la Mère de vous tous. Le Seigneur m'envoie pour promouvoir une plus efficace piété mariale dans les Instituts et Congrégations religieux (...). Je promets à tous ceux qui m'honoreront, protection, renouveau de vocations, moins d'apostasie (…) ».

L'évêque reste réservé, mais le pèlerinage demeure, discret et fervent, soutenu par ceux qui ont trouvé grâce en ce lieu. Pierina fut présentée à S.S. Pie XII, à l'audience du 9 août 1951. (…) Le pape posa la main sur elle: - Courage ma fille, cherchez à mieux correspondre à une si grande et si merveilleuse grâce.

Vendredi 17 AVRIL 2015:  Éléments de méditation :

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 6,1-15.

En ce temps-là, Jésus passa de l’autre côté de la mer de Galilée, le lac de Tibériade.
Une grande foule le suivait, parce qu’elle avait vu les signes qu’il accomplissait sur les malades.
Jésus gravit la montagne, et là, il était assis avec ses disciples.
Or, la Pâque, la fête des Juifs, était proche.
Jésus leva les yeux et vit qu’une foule nombreuse venait à lui. Il dit à Philippe : « Où pourrions-nous acheter du pain pour qu’ils aient à manger ? »
Il disait cela pour le mettre à l’épreuve, car il savait bien, lui, ce qu’il allait faire.
Philippe lui répondit : « Le salaire de deux cents journées ne suffirait pas pour que chacun reçoive un peu de pain. »
Un de ses disciples, André, le frère de Simon-Pierre, lui dit :
« Il y a là un jeune garçon qui a cinq pains d’orge et deux poissons, mais qu’est-ce que cela pour tant de monde ! »
Jésus dit : « Faites asseoir les gens. » Il y avait beaucoup d’herbe à cet endroit. Ils s’assirent donc, au nombre d’environ cinq mille hommes.
Alors Jésus prit les pains et, après avoir rendu grâce, il les distribua aux convives ; il leur donna aussi du poisson, autant qu’ils en voulaient.
Quand ils eurent mangé à leur faim, il dit à ses disciples : « Rassemblez les morceaux en surplus, pour que rien ne se perde. »
Ils les rassemblèrent, et ils remplirent douze paniers avec les morceaux des cinq pains d’orge, restés en surplus pour ceux qui prenaient cette nourriture.
À la vue du signe que Jésus avait accompli, les gens disaient : « C’est vraiment lui le Prophète annoncé, celui qui vient dans le monde. »
Mais Jésus savait qu’ils allaient venir l’enlever pour faire de lui leur roi ; alors de nouveau il se retira dans la montagne, lui seul.

Vendredi 17 AVRIL 2015:  Éléments de méditation :

Par Saint Augustin (354-430), évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l'Église .Sermons sur l'évangile de Jean, n°24, 1.6.7 ; CCL 36, 244 (trad. Delhougne, Les Pères commentent, p. 272)

« A la vue du signe que Jésus avait accompli, les gens disaient : ' C'est vraiment lui le grand Prophète, celui qui vient dans le monde ' »


Gouverner l'univers est en vérité un miracle plus grand que de rassasier cinq mille hommes avec cinq pains.

Personne toutefois ne s'en étonne, alors que l'on s'extasie devant un miracle de moindre importance parce qu'il sort de l'ordinaire.

Qui, en effet, nourrit aujourd'hui encore l'univers sinon celui qui, avec quelques grains, crée les moissons ?

Le Christ a donc fait ce que Dieu fait.

Usant de son pouvoir de multiplier les moissons a partir de quelques grains, il a multiplié cinq pains dans ses mains.

Car la puissance se trouvait entre les mains du Christ, et ces cinq pains étaient comme des semences que le Créateur de la terre multipliait sans même les confier à la terre.


Cette œuvre a donc été placée sous nos sens pour élever notre esprit...

Il nous est ainsi devenu possible d'admirer « le Dieu invisible en considérant ses œuvres visibles » (Rm 1,20).

Après avoir été éveillés à la foi et purifiés par elle, nous pouvons même désirer voir sans les yeux du corps l'Etre invisible que nous connaissons à partir du visible...

En effet, Jésus a fait ce miracle pour qu'il soit vu de ceux qui se trouvaient là, et ils l'ont mis par écrit pour que nous en ayons connaissance.

Ce que les yeux ont fait pour eux, la foi le fait pour nous.

Aussi bien, nous reconnaissons en notre âme ce que nos yeux n'ont pas pu voir et nous avons reçu un plus bel éloge, puisque c'est de nous qu'il a été dit :

-« Heureux ceux qui croient sans avoir vu » (Jn 20,29).

Vendredi 17 AVRIL 2015:  Éléments de méditation :

Neuvaine pour la France :Méditation du Père Vincent SAUER

Posté le 16 avril 2015

FRANCE ET SAINTE ENFANCE

Quand le Seigneur veut sauver la France ou quand Il a un message important à lui donner pour lui rappeler sa vocation, Il passe souvent par un enfant : pendant la guerre de 100 ans, Il suscite en Lorraine une petite fille au cœur pur : Jeanne d’Arc ; quand, au XIXème siècle, la France croit que le Salut vient par la science et que le Ciel n’existe pas, Il envoie sa Maman dans un village des Pyrénées auprès d’une fillette sans instruction : Bernadette ; alors que la France est de nouveau en grand danger en 1947, Notre Dame vient visiter la Touraine pour demander à 4 fillettes de prier pour la France et promettre du bonheur dans les familles.

Depuis la nuit de Noël (et même 9 mois avant !) le Salut vient par un enfant. C’est pourquoi un jour, dans l’Evangile, Jésus a placé un petit enfant au milieu de ses apôtres et a déclaré : « Amen, je vous le dis : si vous ne changez pas pour devenir comme les enfants, vous n’entrerez pas dans le Royaume des Cieux. »

Aujourd’hui, cette déclaration de Notre Seigneur doit retentir dans le cœur des français ! Aujourd’hui, c’est au milieu des français que Dieu place un petit enfant !

C’est bien de prier pour la France. Mais cette prière n’aura guère d’effet si les français ne changent pas pour devenir comme des enfants ! Et quand je dis les français, ce ne sont pas les français en général : c’est moi, c’est toi, c’est chacun d’entre nous. Si nous voulons que la France soit de nouveau fidèle à sa vocation de Fille aînée de l’Eglise, c’est tout simple : il nous faut redevenir comme des enfants ! Comme Jeanne, Bernadette, Jacqueline et les autres ! Des enfants au cœur pur et innocent, des enfants au cœur simple et obéissant, des enfants au cœur doux et humble ! Comme cette petite fille irakienne de 10 ans, Maryam de Qaraqosh, dont le témoignage lumineux de simplicité et d’innocence a fait le tour des ondes : « Dieu nous aime tous, pas seulement moi, mais Dieu aime tout le monde ». Et en parlant des membres de l’Etat Islamique qui ont chassé les chrétiens de Qaraqosh : « Je ne leur veux aucun mal. Je souhaite que Dieu leur pardonne. » Et quand le journaliste lui pose la question : « Toi aussi tu leur pardonnes ? » La réponse ne se fait pas attendre : « Oui ! »

Ce n’est pas par une violence plus grande que Jésus a vaincu le mal sur la croix, c’est par la puissance de la sainte enfance ! « Père, entre tes mains, je remets mon esprit » : voilà une parole sortie tout droit du cœur d’un enfant qui s’adresse à son Père qui est aussi notre Père !

Si nous voulons que quelque chose change en France, il faut certainement prier, mais il faut aussi que nous nous convertissions : « Si vous ne changez pas pour devenir comme les enfants, vous n’entrerez pas dans le Royaume des Cieux. »

Il y a une autre Maryam dont le témoignage est lumineux de simplicité et d’innocence, une Maryam bien plus vivante que vous et moi et que la petite Maryam de Qaraqosh puisqu’elle est entrée dans la Vie le 26 août 1878 et qu’elle va être canonisée par le Pape François le 17 mai prochain : Maryam de Bethléem. Dans une vision du 26 mai 1873, Jésus lui disait : « La France est le centre de mon Cœur. » Et Maryam rappelait à un prêtre quelques années plus tard que la France « a fait trop de bien dans les missions pour que Dieu l’abandonne. » Dieu ne nous abandonnera pas ! Notre cher pays est dans son Cœur ! Que craignons-nous ? Si nous avons peur et manquons d’espérance, alors c’est que nous avons perdu notre cœur d’enfant, que nous ne faisons pas confiance à notre Père et que nous ne sommes pas assez petits pour qu’Il puisse faire son œuvre en nous, en France

Un jour Maryam de Bethléem entendit Jésus lui dire : « Oui, Je ferai mes délices dans le sein de la France ; elle sera encore la reine de tous les royaumes. Mais avant, il faut que la France soit tout à fait rien, que Je sois à la tête des armées, afin que toutes les nations disent entre elles, de génération en génération : « Vraiment, c’est le Très-Haut qui est à la tête de la France. » Toutes les nations le crieront d’une même bouche, d’une même voix, sur le même ton, même les impies. » D’abord l’épreuve, ensuite la victoire et les suites du triomphe : voilà la pédagogie de Dieu. D’abord la croix, ensuite la résurrection.

En France, nous vivons le temps de l’épreuve. Mais ne craignons rien. Dieu est notre Père. Nous sommes ses enfants. Soyons bien petits. Si nous voulons être grands, soyons petits. Si nous voulons que la France se relève et montre le chemin du Ciel aux autres nations, soyons des enfants, purs et innocents, simples et obéissants, doux et humbles. Comme l’Enfant que Dieu met au milieu de nous, en France : connaissez-vous l’Enfant Jésus de Beaune ? Voilà l’Enfant que Jésus a mis au milieu du Royaume de sa Mère, la France. Voilà le trésor qui pourra aider les français à changer pour devenir comme des enfants, comme l’Enfant Jésus. Allons le prier, ce saint Enfant ! Allons dans son sanctuaire à Beaune, devant sa statue miraculeuse, si nous le pouvons ! Allons le contempler et l’adorer pour qu’il nous apprenne à être des enfants, des petits-bien-petits !

Oui, prions l’Enfant Jésus pour qu’il nous redonne ou nous garde notre cœur d’enfant ! Prions-le avec les mots-mêmes de sa Mère, Reine de France : Ecce ! Fiat ! Magnificat !

Ecce : Me voici, Enfant Jésus, pour que tu fasses de moi un enfant !

Fiat : Qu’il soit fait en moi selon ta Parole !

Magnificat : Mon âme exalte le Seigneur, car Il élève les humbles ! Amen !

Et la France se relèvera.

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Père Vincent SAUER

Le Père Vincent SAUER est né en 1975. Il a été ordonné prêtre pour le diocèse de Dijon en 2005. Actuellement, il est curé de la Paroisse d’Is-sur-Tille/Grancey-le-Château et responsable de la Pastorale des Jeunes du Diocèse de Dijon.

Vendredi 17 AVRIL 2015:  Éléments de méditation :

La Méditation du Père Lazarus-Mariam :

"THE STILL POINT."

It may seem in the meditations we jump from one thing to the other ,

And then back again !

And so we belong to neither one thing or the other ,

But actually it is not really like that.

In the still point of it all ,

In this heart of our life ,

There is neither East or West ,

Oriental or Byzantine.

There is no leaping from point to point ,

The movement of life ,

Gods inner life ,

This stills all separations and divisions.

This ever evolving core and source of all life ,

Draws everything in to its very heart ,

And makes all one whole , complete unity ;

And so in the silence and solitude of our speaking silence all we are ever doing is living and

writing about a different aspect of the same still point.

What the eye does not see ,

The heart instinctively realises ,

Everything is one in the "One" who is "I am."

So there is no point to move to and from ; just an eternal moment of truth.

Outside of this still point nothing exists ,

The past is gone ,

Te end is more important than the beginning ,

The end is the point that we begin from.

The universe and all that we see ,

It does not exist separate from the still point ,

It only exists because it is held in the love; that is the communication of Divine life

That is the still point of it all.

At this still point no one comes ,

And no one leaves ,

Beyond time and the space of the human body ,

Beyond sin , suffering , and death we already live eternally in the still point of it all.

Man does not live in isolation from the still point of it all ,

He is made for the Glory of God,

He is made to intimately come to know , love , experience ,and enter in to Gods life ,

And so become the still point of it all.

Father Lazarus-Mariam

Vendredi 17 AVRIL 2015:  Éléments de méditation :
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Published by Eglise Syriaque-Orthodoxe Antiochienne - dans Famille

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