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9 mai 2016 1 09 /05 /mai /2016 20:59
“Prayer is food for the soul. Do not starve the soul, it is better to let the body go hungry. Do not judge anyone, forgive everyone. Consider yourself worse than everyone in the world and you will be saved. As much as possible, be more quiet.” (St. Joseph of Optina: Living Without Hypocrisy: Spiritual Counsels of the Holy Elders of Optina)

“Prayer is food for the soul. Do not starve the soul, it is better to let the body go hungry. Do not judge anyone, forgive everyone. Consider yourself worse than everyone in the world and you will be saved. As much as possible, be more quiet.” (St. Joseph of Optina: Living Without Hypocrisy: Spiritual Counsels of the Holy Elders of Optina)

Livre de l'Ecclésiastique 44,16-17.22-23.45,3.7.15.

Voici le grand pontife, qui pendant sa vie, fut agréable à Dieu, 
et, au temps de la colère est devenu la réconciliation des hommes : il ne s'en est pas trouvé de semblable à lui dans l'observance de la loi du Très-Haut. 
C'est pourquoi il a juré de le faire croître dans son peuple.  
Le Seigneur a béni en lui toutes le nations, et a confirmé en lui son Alliance.
Il eut égard à lui dans ses bénédictions, il lui a continué sa miséricorde, et il trouva grâce devant le Seigneur.
Par sa parole, il a fait cesser des prodiges. Il l'a glorifié devant les rois, il lui a donné un commandement devant son peuple et il lui a montré sa gloire.
Il a établi avec lui une alliance éternelle, et lui a donné le sacerdoce suprême.
Il l'a rendu heureux dans la gloire, pour exercer le sacerdoce, louer son nom et lui offrir un encens d'agréable odeur.
 


Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 25,14-23.

En ce temps-là, Jésus dit à ses disciples cette parabole : Partant pour un voyage, un homme appela ses serviteurs et leur remit ses biens. 
A l'un il donna cinq talents, à un autre deux, à un autre un, à chacun selon sa capacité, et il partit en voyage. Aussitôt, 
celui qui avait reçu les cinq talents s'en alla les faire valoir, et il en gagna cinq autres. 
De la même manière, celui qui avait reçu les deux, en gagna lui aussi deux autres.
Mais celui qui en avait reçu un s'en alla faire un trou en terre, et il y cacha l'argent de son maître. 
Longtemps après, le maître de ces serviteurs revient et leur fait rendre compte. 
S'avançant, celui qui avait reçu les cinq talents en présenta cinq autres, en disant : " Maître, vous m'aviez remis cinq talents ; voici cinq autres talents que j'ai gagnés. " 
Son maître lui dit : " Bien, serviteur bon et fidèle ; en peu tu as été fidèle, je te préposerai à beaucoup ; entre dans la joie de ton maître. " 
S'avançant aussi, celui qui avait reçu les deux talents dit : " Maître, vous m'aviez remis deux talents ; voici deux autres talents que j'ai gagnés. "
Son maître lui dit : " Bien, serviteur bon et fidèle, en peu tu as été fidèle, je te préposerai à beaucoup ; entre dans la joie de ton maître. " 
 




Par St Grégoire de Nazianze

(330-390), évêque et docteur de l'Église 
Homélie sur les Evangiles (Catena Aurea) 

 

De la fidélité à la joie du maître

 

La lecture de cet Évangile doit nous faire sérieusement réfléchir sur cette vérité : que ceux qui ont reçu en ce monde des grâces plus abondantes seront l'objet d'un jugement plus sévère, car plus on reçoit, plus est grand le compte que l'on devra rendre.

Il faut donc s'humilier profondément des dons que l'on a reçus, en considérant que l'on devra être jugé d'autant plus sévèrement sur l'usage qu'on en aura fait. 

Le serviteur fidèle [...] entre parfaitement dans la joie de son maître, lorsque Dieu l'appelle dans l'éternelle patrie, pour l'associer aux chœurs des anges et le remplir d'une joie intérieure, pure et sans mélange d'aucune de ces douleurs qui sont causées par la corruption de la chair. 

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« Au cours de nos méditations nous devrions toujours demander à Jésus :

« Fais de moi un saint, selon ton propre cœur, doux et humble. »

« Apprenez de moi... »

a-t-il insisté.

C'est dans l'esprit dans lequel il l'a dit lui-même que nous devons l'exprimer.

Maintenant nous le connaissons mieux au travers de nos leçons et méditations d’Évangile, mais l'avons-nous compris dans son humilité ?

Est-ce que son humilité nous concerne ?

Nous attire-t-elle ? »

Bse Mère Teresa (1910-1997), Jésus Celui qu'on invoque (Quatrième mois n°26), Traduit de l'anglais par Françoise Champenois-Laroche, Nouvelle Cité, Paris, 1988.

Bse Mère Teresa,méditation,saint,humilité,humble,école,coeur,Jésus

 

 

 

 

Sainte Solange, qui êtes-vous ?


(Vierge et martyre/† v. 878)

 

Solange naquit aux environs de Bourges, au lieu-dit Villemont, à deux kilomètres du bourg de Saint-Martin-du-Crot. Instruite par ses parents dans la loi du Seigneur, elle donna dès les premières années de son existence les marques d'une rare piété et, à l'âge de sept ans, consacra sa virginité au Seigneur, l'époux des vierges. Dieu la combla de telles faveurs que, selon une antique et vénérable tradition, elle guérissait les malades et chassait les démons par sa seule présence. Occupée à garder les moutons de son père dans un pré du voisinage, elle occupait son temps à prier son divin maître et à s'entretenir familièrement avec lui.

Un jour, l'un des fils du comte de Bourges, peut-être Bernard, comte de Bourges et d'Auvergne, rencontra la jeune bergère Solange et fut séduit par sa grande beauté. Par des avances et des promesses d'abord, par des menaces ensuite, il s'efforça d'obtenir qu'elle consente à devenir son épouse. Mais, fidèle à son vœu, elle repoussa ce projet. N'avait-elle pas décidé de n'aimer que le Christ ? Alors le jeune homme, dans un élan de furie, l'enleva de force, la mit sur sa monture et l'entraîna avec lui dans une course folle. Mais la jeune fille, qui avait moins peur de mourir que d'être infidèle à son Seigneur, se déroba à son ravisseur et se laissa tomber à terre, au bord d'un ruisseau. C'est alors que, dans sa rage, le séducteur tira son épée de son fourreau et trancha la tête de la jeune bergère. Elle subit ce martyre à la fin du IXe siècle, un 10 mai (peut-être le 10 mai 878...).

La légende rapporte que la tête de Solange, bien que séparée du reste du corps, invoqua encore trois fois le saint Nom de Jésus. Toujours selon la légende, Solange, décapitée, prit sa tête dans ses mains et la porta jusqu'à l'église Saint-Martin. Elle fut donc ensevelie en l'église Saint-Martin du village de Saint-Martin-du-Crot. Mais par la suite, une nouvelle église fut édifiée à la place de l'ancienne, placée sous le vocable de Solange, et le bourg lui-même prit le nom de la sainte martyre : Sainte-Solange (c'est la seule commune de France à porter ce nom). Le Seigneur confirma par de nombreux miracles l'héroïcité des vertus de sa servante et son tombeau n'a jamais cessé d'être honoré par les fidèles du Berry qui vénèrent sainte Solange comme leur patronne spéciale.

SOLANGE 10 MAI

 

 

Saint Gordien
 
 
Martyr à Rome (✝ 362)
 
ou Gordan et saint Epimaque (250)
Tous deux martyrs à Rome à des dates différentes, mais célébrés ensemble parce qu'ils furent ensevelis au même endroit.
 
À Rome, sur la voie Latine, vers 303, saint Gordan, martyr, qui fut enterré dans la crypte où les reliques de saint Épimaque avaient été transportées peu auparavant.
 
Martyrologe romain
 
 
Saints Epimaque et Alexandre
 
martyrs d’Alexandrie (✝ 250)
 
Durant la persécution de l'empereur Dèce, ils furent éprouvés dans leur fermeté et leur constance dans la foi. Martyrisés, couverts de chaux vive, ils donnèrent ainsi le témoignage suprême de leur amour pour le Christ.
 
Fêté aussi le 31 octobre, Saint Épimaque de Péluse (Basse-Egypte) est un des 'Pères du désert' qui voulut imiter le Prophète Elie et Jean le Précurseur. Durant la grande persécution, alors que beaucoup de chrétiens se réfugiaient au désert, il s'en vint à Alexandrie pour confesser sa foi en Jésus-Christ.
 
Commémoraison des saints martyrs d’Alexandrie, Épimaque et Alexandre. En 250, sous l’empereur Dèce, après un long temps passé dans les chaînes et divers sortes de supplices, ils furent enfin livrés aux flammes pour la foi du Christ. Avec eux subirent le martyre les saintes Ammonarion, vierge, Mercurie, une vieille femme, Denyse, mère de famille, et une autre femme: après les tortures infligées à Ammonarion, le juge, honteux de se voir vaincu par des femmes et craignant que, s’il exerçait sur les autres des cruautés inouïes, il ne fût contraint de céder à leur inébranlable fermeté, les fit aussitôt décapiter.
 
Martyrologe romain
 
BONNE FETE AUX SOLANGE, AVEC UNE PENSEE PARTICULIERE POUR SOLANGE R notre paroissienne de Jauldes, malade.Merci à tous ses frères de la paroisse de Charente d'avoir une pensée pour elle désormais dans l'impossibilité de se déplacer pour les Liturgies.Si vous ne l'avez pas, demandez moi son N) de Tel. Un coup de fil fait toujours plaisir, surtout quand on est isolé.Que ceux qui le peuvent la visitent. Merci.

 

 

Dans les moments importants de votre vie, venez ici, au moins avec le cœur…

 

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Les responsables orthodoxes des Églises d’Albanie, de Géorgie, de Roumanie, de Russie, de Serbie, d’Italie et de Malte sont venues prier avec la délégation pontificale dans la Sainte Maison de Lorette, en Italie. L’événement a eu lieu le 5 mars 2016 ; il marque la reconnaissance officielle de la plus ancienne relique mariale – la maison de Marie à Nazareth emportées par les croisés au XIIIe s. – de la part du monde orthodoxe.

Il est en effet définitivement assuré que la Maison de la Vierge Marie à Nazareth, où a été annoncée la naissance du Christ, a été transférée en 1294 à Lorette.

Le 2 septembre 2007, le pape Benoît XVI invitait notamment à l’angélus, sur l’esplanade de Montorso, à Lorette, en présence de quelque 500.000 jeunes, à entrer dans l’esprit de cette Maison: « (…) Dans les moments les plus importants de votre vie, venez ici, au moins avec le cœur, pour vous recueillir spirituellement entre les murs de la Sainte Maison. Priez la Vierge Marie, afin qu’elle vous obtienne la lumière et la force de l’Esprit Saint, pour répondre pleinement et généreusement à la voix de Dieu. Vous deviendrez alors ses témoins authentiques, porteurs non pas d’un Evangile abstrait mais incarné dans votre vie. »

 
Orthodoxes et catholiques dans la maison de Marie, à Lorette
Zenit.org 9/3/16

 

 

Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin  Mary/ 
  maliath taibootho/ full of grace/ 
  moran a'amekh  - the Lord is with thee/ 
  mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ 
  
wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/  and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ 
  O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ 
  yoldath aloho/  Mother of God/ 
  saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ 
  nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ 
  Amîn 

Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

 

 

 En mai soyez Missionnaire de Marie, Mère de Miséricorde, abonnez vos amis à la "Newsletter", aidez le Monastère Syriaque et ses missions, venez en Pèlerinage !...

 

 

St. Aho the ascetic (+524)


 

St. Aho was born around 419 A.D. in the city of Rish'aino (Ras ul-'ayn now), which is to the south and east of Nisibis in present day Syria near Hassekeh, his father's name was 'Ubadyo, Aho was one of his three children. At the age of twelve became the disciple of a local monk, and the Lord bestowed wisdom on the child and he was enlightened and became wiser than all the other children in the instruction.

Around 439, Rish-'aino comes under Persian siege. The great army went up and they came to Nusaybin and the Romans retreated before them. They chased after them unto Harran. When the Persians returned, he commanded Nabon the Commander, that they should go out and capture and bind all of them. They began to flee across the Euphrates river. All the residents migrated to the West. The remainder were captured by the Persians. They pillaged and burned all their villages.

During this time. 'Ubadyo father of Aho came to him and said “My son, behold, our residents wait outside the gate of the city. Behold, your mother, and your brothers are with them. Rise, we shall go to them. “He agreed and went with him. When they came to the camp they sat until many people gathered, without number. They came to the bridge to the west of the city. When they crossed over the bridge of Euphrates they trampled each other much. About 200 people died, men, women, and children. When the Blessed Aho saw this, he returned to the city. His father, mother, and brothers went on their way. When they came to an inn of that day they sought and did not find him. They thought an accident happened to him. They mourned and wept. They gave up looking for him and went on their way.

They arrived at the city of 'Akka ('Aku) on the Mediterranean Coast.. His father died on the way but his brothers, because they knew how to fish, were fishing there, because the city was built by the sea. When they learned the city and the region, they took for themselves wives from there. They bought for them a boat for cargo. They were sailing to every place that they desired on the sea. Their mother sat with them in mourning because of the Blessed One.

Mor Aho is captured 
Mor Aho returned to Rish'aino, he thought to himself that he might follow the life of an Anchorite, when he was thinking on this, met another young man about his age and he told him about his desire. They both decided to become Anchorite monks, and both decided to go to Nusaybin (Nisibis). When they were traveling on the road, behold there was a unit of a troop of Persians leading many captives. They caught the youths and bound them. They arrived at Nusaybin where they gathered all the captive. They were in number about 7000 souls. They were taken to the east of the city. Nabon the commander went with them and all the troop with him. The captives passed in front of them. Although Nabon was a pagan he was a compassionate man. He ordered the youth, the males and females, little boys and girls only, to be taken and released to their land. When they reviewed, they chose about 3000 souls and they released the remainder and returned them. They were led down to Persia and showed to the King. The King commanded that they should take one third of them for him and two thirds for the commander and the soldiers with him. They cast lots in accordance with the grace of the Messiah, who in every time helps those who do his will.

Mor Aho was given to a Christian soldier Michael to serve as a slave or indentured servant. Michael discovers that Aho is a Christian and they make a pact to serve together in the military, so Michael takes Aho to the King, (who most likely was Yazdagrid II). Michael tells the King that Aho is his nephew on his mother’s side, and he convinced the King to make Aho a soldier that he may become one like him and given him a salary. The King saw in the Blessed One a countenance like the countenance of an angel. He favored him and ordered his master-chief. He gave him a horse and a mule and weapons that soldiers use and gave to him much silver. He registered him like one of the soldiers.

Aho and Michael leave the military 
Mor Michael and Mor Aho served in the Persian army for 18 years. In around 458 A.D. They decided to follow Lord's steps when one day they stood in prayer until midnight according to their custom. While sackcloth and ashes was underneath them they were singing and saying, “O Lord show us the way to go towards you. O Lord we lift up ourselves.” (Ps.1:1) When they said this they fell into a deep sleep. The two Blessed Ones dreamed one dream. They saw a man of a beautiful appearance standing over them. His countenance was illuminated like the sun. He was wearing glorious clothing and standing over them. He said to them, “My brothers, rise, ascend at once together to the region to the west, for there the Lord prepares for us a place that we might dwell in it.” When they awoke from their sleep, those Blessed Ones related one to another what they saw. They rejoiced greatly for they realized that the Lord prepared before them his way. Very early in the morning they put their things on their mounts, everything they owned.

Miracles and Monks 
They traveled to Nisibis, the place of Mor Aho’s capture. They entered the village of Teldoros [Tel-Darius (Dara)]. When they arrived at an inn on the way, they saw a certain village that was called Teldoros. They turned to the house in it. Now there was a master of the village, a certain man, a believer called Theodoros. When he saw them from afar he said to his master chief, “Behold, I see upon the road two solders. Take them to our dwelling.” When the master chief went out to their way he took them in and welcomed them and gave them water and washed their feet. He gave them bread and straw and fodder for their mounts. He was thus accustomed to do this for all travelers of the road.

Now Theodoros had a son, a deaf mute from his mother’s womb who was called Heworo. When the boy saw the master chief carrying implements and useful things for the two, he signed to his father in three fingers. He indicated to him there were three. Because the child saw three, the father was astonished at him and did not know what he was saying to him. When it was evening he made for them a dinner and he served and sat as they were eating. He gave drink to only those two. The boy signed to give to the other one. But his father thought he was mocking. His father became angry and said to the servant to take him out. But these Blessed Ones let him stay. He was silent and did not sign again.

After the dinner a little while Theodoros left the Blessed Ones and went to his bed. But the child, Hewaro remained with them while he slept. When they rose in prayer they said to each other this is the time for the name of the Christ (Messiah) to be praised by us for this child. They prostrated and they prayed and their tears ran before God, before they finished their prayer the child Heworo awoke and rose from his bed and ran to the feet of the Blessed Ones and he began kissing them. When the Blessed One saw him they fended him off. But that one began speaking with them in a straight tongue. When they heard his speaking, they rejoiced greatly and they praised God and asked him when they said to him, “How did your tongue get straight?”

But that one said to them that, “There was a man with you in the evening and he took me by the hand and gave to me a cup of cold water. When I drank he said to me, “Rise, go now near these ones.” When I came near you my tongue was straightened.”

When they miracle was known, the fame of Aho and Michael spread throughout the region and Theodoros offers to build them a monastery about a mile east of Tel-Darius in the village named Kasar. In Kasar St. Aho and Michael create a monastic community. Mor Aho and Mor Michael had a dam built for fish, vineyards planted, and many kinds of trees. About 20 monks joined the two saints in the monastery. Later, Mor Aho and Mor Michael are offered a nearby vineyard in the village of Zamorto (Kfar Zamoro is the name of the ruin today). In Zamorto, St. Aho casts a demon out of a man called Hobel.

Discovery of his long-lost family 
The Blessed One, Mor Michael, after he remained with community five years, he returned to the region of Nineveh and built for him there a monastery. He built a pillar in it and sat upon it until his departure around 463 A.D. It is also about the same time that Aho takes a trip to Jerusalem for a year and a half. On his return he decides to follow the Mediterranean coast. At 'Akka he boards a ship which turns out to be owned by his brothers. After they question each other about their family history, final proof is given to the brothers. It is a birthmark or a mark from an injury on his shoulder.

He departs from the vessel in Antioch. His brothers cannot persuade him to return to 'Akka with them and meet his mother. He quotes scripture to them from Matthew 17:20, “Unless a man forsakes his father, mother and brothers he cannot be a disciple.”

When Mor Aho’s mother learns of this event after the brothers return she travels to Antioch, catches a caravan to Nisibis. The determined mother finds Mor Aho near his monastery. She suffers from heat exhaustion and her son gives her a drink of water. He takes her to the monastery knowing it is his mother but not revealing himself to her. When he finally reveals himself to his mother, she is speechless for an hour, weeping and crying for joy. Then she scolds him for causing her so much grief. Mor Aho out of guilt and devotion stays by her side for nine years until her death (474 A.D).

More Monasteries and Conversions 
About this time Theodoros dies also, but not until after he builds another monastery for Mor Aho in Tur'abdin. He names the monastery the White Monastery after Hewaro the son of Theodoros. An additional donor to the monastery is Demetrius, who owned the fortress of Tur'abdin. He had a mausoleum built for himself but with enough room so that when Theodoros died, he was buried in it also.

After the death of his mother and Theodoros, Mor Aho leaves his community again and travels to a village called Hadas. Here he is invited by a childless woman, Dorsela, to be her guest. The servant girl of the woman tells the husband upon his return and makes it sound as if Mor Aho is up to no good. He has Mor Aho thrown in prison. Only after the girl confesses due to a dream, does the husband, named Maximus, rush to the prison and release Mor Aho begging him his forgiveness. Mor Aho confronts the girl and casts a demon out of her called Legion. The demon curses Mor Aho upon his leaving the girl and the region. Mor Aho blesses the girl and announces that she will have twins.

Mor Aho continues his journey and arrives in Athens where he stays for five year which must have been about the year 480 A.D. He continues his journey to Constantinople and lands a job helping the warden of the Church which contains the True Cross. After four years he convinces the warden to take a tiny silver of the True Cross and leave with him.

Mor Aho returns to Hadas apparently without the warden for he is not mentioned again in the story. Dorsela and Maximus are now the parents of seven children. They give their oldest son, Rumanos, to Mor Aho as a disciple. Mor Aho remained in the village two years.

Mor Aho then ventures into Armenia near the village of Ause where he encounters pagans who are celebrating under a giant tree. in whom they believe there is a god. Mor Aho observes the carnal activities and weeps and prays for them. He is discovered and two men bring him to the feast. Mor Aho fears for his life and prays to God. A tornado rips up the tree and casts it in the river about a mile away. The people are furious at Mor Aho for ruining their party. They want to kill him because he tells them that the God of Jesus Christ is his god. Others Christian missionaries had tried to convert them before he is told. They demand that the tree be brought back and their gods with it. Another storm comes and blows all the animals in the river. Two hours of darkness inhabits the land. The pagans relent and are converted to the faith of Mor Aho.

Mor Aho has a church built and sends for the Bishop of Miletene. Bishop Koriokos of Miletene comes and they baptize many people and ordain many priests and deacons. A monastery is built Mor Aho resides there for 22 years. According to the periods of time identified in the story, this takes place about the year 508 A.D.

The Death of Aho 
The blessed St. Aho put on years and it seemed to him that he was sick unto death. When the villagers heard, they all gathered around him weeping much. When the Blessed One saw them he quieted them and comforted their heart and said to them, “My brothers this is the end of every man.” But those ones were very sad about his departure. They wept and they said, “O Father of Peace and Mercies, where shall we go to find you and who shall be a leader for us like you? Stretch to your right hand and confirm your sons and daughters while we are standing. Give to us peace and go in peace, merciful peace. Then go to the region of pleasures. We remain here tormenting ourselves. O Good Shepherd where will you go. Your flock is left without a shepherd. You saved us from the mad wolves that would have torn us apart.”

When the Blessed One heard all this suffering he rose and sat on his bed and opened his mouth and spoke with them and said unto them, “Since you offended me in the time of my death I know that the Messiah has called me to not leave you. He stretched out his hand and signed them with the Cross. He committed them to the Messiah and said to them, “O Messiah you labored from my youth to my old age. He shall guide you in all purity and holiness.” He turned and kneeled in prayer and prayed thus, he said,

“O Lord God, mighty and holy, give to your servant in this hour the petition that I ask from you. 
May every region or house or village be reminded of your name and the name of your servant. 
May there not be a single house from among them with sickness, nor paralysis, nor weariness from evil, nor difficult diseases. 
Also do not make barren its houses. Give them times of peace and seasons of blessings. Make them fervent in abundant exaltations and continual bounty. 
Make them fervent in all goodness and in every place where they perform vigil or intercession. 
In your name and in the name of your servant may there not be hail, nor blight, nor locust, nor plague.”

He turned to them and said, “My moment arrives.”

When he said these things they thought to themselves that it was not the end. But he gave his soul to the Creator for eternal sleep. His face was illuminated like the sun. But those ones when they saw that he died they were weeping violently and they made a great lamentation without end. The women were mourning for him like the Hebrews mourned for Aaron. All the region gathered and they made a great procession and service for three days. They embalmed him in Maroon. They wrapped him in pure silk and expensive incense. They buried him in a grave of the monastery. Every man began to lament for him. Two disciples remained and they wept much. All the people gathered and they lamented about the death of the Blessed One.The days of the life of the Blessed One were 105 and his departure from this world was in the month of January 25th. 524 A.D. May the Lord enlarge his remembrance!. Amen..

 

 

Today in the Bysantine Tradition:

 

Tropaire, t. 3 
Saint apôtre Simon, * intercède auprès du Dieu de miséricorde, * pour qu'il accorde à nos âmes le pardon de nos péchés.

Kondakion, t. 2 
Tous ensemble, par des hymnes louons * comme bienheureux l'apôtre Simon, * lui qui dans l'âme des fidèles déposa * sans faille la doctrine de la sagesse; * car devant le trône de gloire à présent * il exulte avec les Anges incorporels, * sans cesse intercédant en faveur de nous tous.

Ikos 
Tous ensemble, acclamons à présent * la mémoire de l'Apôtre comme jour de salut; * disons-la bienheureuse, en notre foi, * car elle fait briller sur l'univers * la lumière d'un soleil dissipant * toute brume sous l'éclat de ses rayons * pour éclairer les fidèles célébrant * et glorifiant sa mémoire avec amour. * Nous-mêmes, accourons de tout cœur * et chantons-le, car il se tient auprès du Christ, * sans cesse intercédant en faveur de nous tous.

Exapostilaire (t. 3) 
Apôtre du Christ compatissant, * toi qui as vu le Seigneur de tes yeux, * demande-lui la paix pour le monde, * la victoire pour le peuple chrétien, * pour nous-mêmes la rémission de nos péchés * et le salut pour tous ceux qui t'acclament comme son disciple, saint apôtre Simon. 

http://calendrier.egliseorthodoxe.com/sts/stsmai/mai10.html

 

Apostle Simon Zelotes and St Isidora the Fool of Tabenna

 

May 10

Simon was one of the Twelve. He was born in Cana of Galilee; some accounts say that he was the bridegroom at the wedding at Cana, where the Lord Jesus performed his first sign (John ch. 2). After receiving the Holy Spirit at Pentecost, he preached the Gospel in Africa; he was privileged to die by crucifixion, like his Lord.

 

 

Isidora was a nun in a monastery in Egypt, and pretended madness and mental weakness in order to hide her virtues and her ascetic life. She did the dirtiest jobs, lived on scraps from the nuns' tables, and was despised by her sisters.

 

 An angel appeared to the ascetic Pitirim and revealed Isidora's true sanctity to him. He came to the monastery and, seeing Isidora, prostrated himself before her, at which she prostrated before him.

 

When the sisters told him that she was mad, he answered "It is you who are mad: she is greater before God than either you or me. I only beg God to give me also that which is destined for her at the dreadful Judgement." At this, the sisters' eyes were opened, and they began to treat Isidora with honour. But she, to avoid being honoured by anyone, fled the monastery and was not heard from again.

(Sources:Ancient Faith Radio/ http://ancientfaith.com/ )

Aujourd'hui il y a 1112 jours qu'ils ont été enlevés et nous n'avons toujours pas eu de nouvelles d'eux....Nous espérons...

 

 

 

N'oublions-pas de prier pour les évêques, prêtres et

 

fidèles chrétiens détenus par les "islamistes"

 

ou terroristesen tous genres !

 

Prions sans relâche pour que le

 

Seigneur les soutienne. Prions pour leur libération ...

 

 

 

 

 

Let us not forget the bishops, priests and faithful

 

Christians held by "Islamists" or terrorists of all

 

kinds! Pray tirelessly for the Lord to sustain them.

 

Pray for their release ...

 

The Lord came to send fire upon the earth (cf. Lk. 12:49), and through participation in this fire He makes divine not just the human substance which He assumed for our sake, but every person who is found worthy of communion with Him. (St. Gregory Palamas)
 
 

Aujourd'hui il y a 1111 jours qu'ils ont été enlevés et nous n'avons toujours pas eu de nouvelles d'eux....Nous espérons...

 

 

N'oublions-pas de prier pour les évêques, prêtres et

 

fidèles chrétiens détenus par les "islamistes"

 

ou terroristesen tous genres !

 

Prions sans relâche pour que le

 

Seigneur les soutienne. Prions pour leur libération ...

 

 

 

 

 

Let us not forget the bishops, priests and faithful

 

Christians held by "Islamists" or terrorists of all

 

kinds! Pray tirelessly for the Lord to sustain them.

 

Pray for their release ...

 

The Lord came to send fire upon the earth (cf. Lk. 12:49), and through participation in this fire He makes divine not just the human substance which He assumed for our sake, but every person who is found worthy of communion with Him. (St. Gregory Palamas)
 
 

POUR CONSERVER OU RETROUVER LA PAIX INTERIEURE

Comment garder la paix intérieure ?

Celui qui commence à se consacrer à l'hésychia* doit passer le jour et la nuit voué à cinq oeuvres par lesquelles il sert Dieu:


1) Dans la prière, c'est-à-dire le souvenir du Seigneur Jésus Christ  ("Seigneur Jésus Christ, Fils de Dieu, aie pitié de moi pêcheur") continuellement introduit dans le coeur sans nulle pensée et imagination étrangères. La prière se découvre dans la pure humilité, à l'intérieur de sa chambre, à travers les jeûnes et les veilles. 

2) Dans la psalmodie*

3) Dans la lecture du Psautier sacré, de l'Apôtre (lettres de Paul), et des Saints Evangiles, des écrits des saints Pères théophores*, et particulièrement des chapitres sur la prière, la sobriété et la vigilance.

3) Quant aux autres enseignements divin de l'Esprit, dans le souvenir des péchés qui met le coeur en peine, dans la méditation du Jugement de Dieu, ou de la mort, ou dans la réjouissance et d'autres sujets semblables.

4) Et dans le petit travail des mains, pour museler l'acédie*.

Puis de nouveau se remettre à la prière quand bien même la chose serait dure, jusqu'à ce que l'intelligence s'habitue à rejeter aisément sa propre agitation en étant tout entière occupée du Seigneur Jésus Christ, par le souvenir constant, par continuellement tendu vers le trésor intérieur - lieu secret du coeur - et par un enracinement profond.

*Hésychia: tranquillité,  silence, repos, douceur, paix de l'âme, paix intérieure.
*Psalmodie: chant des Psaumes
*Théophore: porteur de Dieu.
*Acédie: perte de goût pour la prière, dégout des choses spirituelle, lassitude.

 

 

En chemin avec les Pères

par Calliste et Ignace Xanthopouloi Celui qui commence à se consacrer à l' hésychia* doit passer le jour et la nuit voué à cinq oeuvres par lesquelles il sert Dieu: 1) Dans la prière, c'est-...

En chemin avec les Pères

http://sagesse-patristique.blogspot.fr/2016/03/comment-garder-la-paix-interieure_30.html

PRIERE DES FAMILLES:

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Ô Jésus très aimant, qui,
par Vos ineffables vertus
et exemples de vie domestique,
avez consacré la Famille choisie
pour Vous sur la terre,
jetez un regard de Miséricorde
sur notre famille et daignez recevoir l’offrande que nous Vous faisons de nous- même et consacrer les membres de cette famille qui,
prosternée à vos pieds,
Vous supplie de lui être propice.
Souvenez-Vous que ce foyer
Vous appartient, comme
s'étant voué et consacré à Vous
pour Vous honorer d'un culte particulier.
Protégez notre famille dans Votre Bonté,
délivrez notre foyer de tous périls,
secourrez notre communauté de vie dans toutes ses nécessités,
accordez à notre famille la force de persévérer
toujours dans l'imitation de Votre Sainte-Famille,
afin que, fidèlement attachée à Votre Amour
tout le temps de sa vie mortelle,
elle puisse enfin chanter
Vos éternelles louanges dans les Cieux.
Ô Marie, très douce Mère,
nous implorons Votre protection,
bien persuadés que Votre Divin
et unique Fils exaucera Vos prières.
Et Vous aussi,
très glorieux Patriarche Saint-Joseph,
unissez l'appui de votre paternel patronage à la douce intercession de notre Mère miséricordieuse qui, avec vous,
remettra nos voeux entre les mains du Christ- Jésus notre Divin Rédempteur et Médiateur, Lui qui, étant Dieu, vit et règne avec le Père, dans l’unité du St Esprit pour les siècles des siècles .Amîn.
Jésus, Marie, Joseph,
éclairez-nous,
secourez-nous,
conduisez- nous au Christ Sauveur !
Amîn.

 

Programme des prochaines semaines au Monastère Syriaque de la Bienheureuse Vierge Marie, Mère de Miséricorde:

"A person who, knowing what faults he has committed, willingly and with due thankfulness endures the trials painfully inflicted on him as a consequence of these faults, is not exiled from grace or from his state of virtue; for he submits willingly and pays off his debts by accepting the trials. In this way, while remaining in a state of grace and virtue, he pays tribute not only with his enforced sufferings, which have arisen out of the impassioned side of his nature, but also with his mental assent to these sufferings, accepting them as his due on account of his former offenses. Through true worship, by which I mean a humble disposition, he offers to God the correction of his offenses." (St. Maximos the Confessor (The Philokalia Vol. 2; Faber and Faber pg. 285))

 

Program in the coming weeks

Syriac Monastery of the Blessed Virgin Mary, Mother of Mercy:

 

Lundi 4 JANVIER 2016 / ELÉMENTS POUR MÉDITER, RÉFLÉCHIR, PRIER ET MIEUX AGIR:
 

 

Au Monastère Syriaque de

CHANDAI-BREVILLY (61) :

(Messe tous les dimanches et en

semaine à 10h30.

Petits Pèlerinages sur Semaine

tous les 22 et 29 du mois)

 

*TOUS AU MONASTERE SYRIAQUE POUR LE DIMANCHE DE LA PENTECÔTE !...

There is a higher level of thanksgiving: to give thanks over little. If we give thanks over a few things, God will make us rulers over many things. Perhaps, among the advantages of thanks giving are the continuity of the blessings and its increase, as one of the Fathers said, “Not a gift without increase, except that without thanksgiving”. (H.H Pope Shenouda )

 

le 15 MAI, Dimanche de Pentecôte:

9h,Baptème de Costanzo.

10h30, Messe de la Pentecôte suivie du repas fraternel,possibilité de recontrer un prêtre (Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)

 

Pour Pentecôte, ramassage des fidèles sur

*Nantes le Vendredi 13 à 9h, étape à l'Abbaye N-D de Port Salut

*Paris: le Samedi 14 à 15h au lieu de R.D.V habituel

 

 

 

 

*Dimanche 1er Juin:

 Pèlerinage mensuel à N-D de Miséricorde et aux Saints du Kerala. 

10h30, Messe suivie d'un repas fraternel et de la réception des fidèles.

 

* Sunday, MAY 1:
  monthly pilgrimage to N-D Mercy and Saints Kerala.
10:30 am Mass followed by a fraternal meal and reception of the faithful.

 

 

'You have the power to incline either upwards or downwards: choose what is superior and you will bring what is inferior into subjection.' (St. Thalassios the Libyan)

 

Pèlerinage à Notre-Dame de Miséricorde

 

au Monastère Syriaque 

 

Tous les 1ers Weekend du mois

 

(Ramassage des fidèles de région parisienne chaque samedi précédent le 1er dimanche du mois à 15h )

===

Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,


Brévilly

61300 CHANDAI.

Tel: 02.33.24.79.58

ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonées)

Adresse courriels: asstradsyrfr@laposte.net


 

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Note:

l'Eglise Syro-Orthodoxe- Francophone est une Eglise

Orthodoxe-Orientale

 

Le Monastère Syriaque est un Centre de Prières pour l'unité

des Eglises Apostoliques, l'unanimité du Témoignage Chrétien

et la paix du monde.

¤ Permanence pastorale en diverses région de France pour : Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)…

Pour les services pastoraux rendus au Monastère comme l'accueil 

des fidèles pour de courts séjours ou des retraites spirituelles , 

nous n'exigeons aucun fixe.

Les offrandes sont libres et non 

obligatoires

Toute offrande fait cependant l'objet d'une 

déduction de votre revenu imposable à raison de 66°/° de votre 

revenu). Libeller tous C B à l'ordre suivant " Métropolie E S O F 

Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin  Mary/    maliath taibootho/ full of grace/    moran a'amekh  - the Lord is with thee/    mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/    wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/  and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/    O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/    yoldath aloho/  Mother of God/    saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/    nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./    Amîn   Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/ maliath taibootho/ full of grace/ moran a'amekh - the Lord is with thee/ mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/ and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ yoldath aloho/ Mother of God/ saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ Amîn Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

Jesus Christ can not remain hidden, it is placed on the immeasurable heights of divinity, and offered to the admiration of mankind by the wonderful works he operates. (St Hilary of Poitiers)

« Il est monté sur la hauteur et a capturé des prisonniers ; il a comblé de dons les hommes. »

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Aujourd’hui, nous accompagnons Notre Seigneur vers la montagne pour Son Ascension. Nous pourrions être perdus et ne savoir que dire. Notre Seigneur a essayé de nous préparer à ce moment. Il nous a enseigné que nous devrions être heureux pour Lui car Il retourne au Père (cf. Jean 14:28). Et de fait cette solennité doit avoir le caractère de cette joie simple du Fils qui retourne au Père. De nouveau Notre Seigneur nous invite à nous réjouir parce que, par Son retour au Père, Il va nous accorder l’Esprit-Saint. S’Il ne part pas, l’Esprit ne pourra venir. Il en résulte qui est préférable pour nous qu’Il s’en aille. (Jean 16:7)

Cependant, tout comme les disciples avant nous, nous échouons à retenir tout ce qu’Il a dit. Matthieu nous dit que les disciples L’ont accompagné jusqu’à la montagne où s’est déroulée l’Ascension : « ils adorèrent, mais eurent des doutes »(Matthieu 28:17)Nous apprenons de Luc que leurs esprits étaient toujours centrés sur les réalités terrestres, qu’ils se préoccupaient de la restauration du royaume d’Israël (cf. Actes 1:6).

Alors comment approcher ce mystère ? Quelles doivent être notre disposition d’esprit et nos paroles ? Peut-être que deux histoires tirées de l’Ancien Testament peuvent nous servir d’illustration et d’instruction pour ce mystère de l’Ascension.

D’abord, nous avons l’épisode de Jacob avec l’ange (Genèse 32:25-32). La Genèse dit simplement de cet événement mystérieux : « un homme lutta avec lui jusqu’à l’aube. » Qui que puisse être ce personnage, Jacob comprend qu’il vient du ciel et qu’il pourrait conférer une bénédiction. Et donc Jacob le tient fermement et exige : « je ne te laisserai pas partir que tu ne m’aies béni. » C’est ainsi que Jacob a reçu une bénédiction divine et est devenu Israël, le patriarche d’une nouvelle nation.

Comme Jacob après la rencontre, toutes les analogies sont boiteuses (NDT : le texte de la Genèse dit que Jacob a été blessé à la hanche lors de cette nuit de lutte et en est resté boiteux). Nous ne retenons pas de force Notre Seigneur comme Jacob l’a fait avec l’ange. Juste après Sa Résurrection, Jésus n’a-t-il pas rabroué Marie-Madeleine pour avoir fait précisément cette erreur ? (cf Jean 20:17) Mais si nous ne nous agrippons pas de façon littérale à Notre Seigneur pour le retenir, nous devons cependant imiter l’insistance de Jacob. Jacob possède une confiance et une ténacité qui conviennent parfaitement à la fête de l’Ascension. Il affiche l’assurance que quiconque monte au ciel dispense des dons sur nous ici bas : « Il s’est élevé... il a donné des dons aux hommes » (Ephésiens 4:8)

En raison de son insistance, Jacob a reçu un nouveau nom, une nouvelle vie, un nouveau but. Ainsi donc, nos ultimes paroles adressées à Jésus ne devraient pas être un questionnement sur l’instauration par Lui d’un royaume terrestre ou sur tout autre préoccupation de ce monde. Nous devrions plutôt Lui demander de nous bénir. C’est pour cela qu’Il remonte vers le Père. Alors puissions-nous être avides de recevoir une bénédiction – que l’Unique effectuant son Ascension nous gratifie d’une nouvelle vie et d’un nouveau but par le don de l’Esprit.

Dans la seconde histoire tirée de l’Ancien Testament, nous avons les prophètes Elie et Elisée (2Rois 2:1-14). Quand son mentor et maître est près d’être enlevé au ciel, Elisée le suit de Bethel jusqu’à Jéricho, jusqu’au Jourdain. Le départ imminent d’Elie semble déjà connu. Les foules demandent à Elisée : « sais-tu qu’aujourd’hui le Seigneur va t’enlever ton maître ? » Il donne cette réponse laconique : « Oui, je sais. Soyez tranquilles. » Alors, quand est venu pour Elie le moment d’être enlevé au ciel, Elisée supplie : « puissé-je recevoir une double part de ton esprit. »

Pourquoi une double part ? La même part n’aurait-elle pas été plus que suffisante ? C’est une étrange requête et on a beaucoup glosé là-dessus. Pour aujourd’hui, nous n’avons besoin de considérer que l’audace de la requête. Elisée ne se contente pas de demander... il ne demande pas seulement la même chose... ni même un petit peu plus ! Il demande une double part de cet esprit qui a fait d’Elie un si grand témoin de l’alliance.

Cette audace devrait être également la nôtre comme nous accompagnons Notre Seigneur vers son Ascension : donne-moi une double part de ton Esprit. Pourquoi être timide à demander ce qu’il brûle de nous accorder – et en abondance – alors qu’il monte précisément en vue de le faire ? Cette audace devrait caractériser nos neuf prochains jours, alors que nous prions pour obtenir le don de l’Esprit promis. Cette audace élargit nos cœurs pour recevoir ce qu’Il brûle de nous donner.

Il est maintenant monté pour répandre ses dons sur nous. Il nous a commandé d’attendre le pouvoir venu d’en-haut. Alors que nous nous préparons pour la Pentecôte et le don de l’Esprit-Saint, puissions-nous prier avec l’insistance de Jacob et l’audace d’Elisée. Viens, Esprit-Saint.

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(Le père Paul Scalia est un prêtre de l'Eglise Romaine-catholique du diocèse d’Arlington (Virginie). Il est délégué de l’évêque pour le clergé.

 

Source : https://www.thecatholicthing.org/20...)

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LE SCHEMA DE L'ICONE DE LA PENTECOTE

Cette fête a pris au 2è siècle en grec le nom de Pentecôte, ce qui signifie cinquante. Elle célèbre la Descente de l'Esprit Saint sur les apôtres réunis en prière dans la chambre haute (Actes 2 : 1-41), survenue le jour de la fête juive des Semaines qui a lieu cinquante jours après la Pâque en remerciement pour la moisson ( Nombres 28 : 26 et Exode 23 : 16).
Comme en témoignent les Actes des Apôtres, la descente de l'Esprit Saint sur les apôtres est une irruption puissante : " Et comme s'écoulait le jour de la Pentecôte, ils étaient tous réunis ensemble. Et tout-à-coup, vint du ciel un bruit comme d'un violent coup de vent, qui remplit toute la maison où ils étaient assis. Et ils virent apparaître des langues comme de feu, qui se partageaient, et il s'en posa une sur chacun d'entre eux. Et tous furent remplis de l'Esprit Saint, et ils se mirent à parler en d'autres langues, selon ce que l'Esprit leur donnait de prononcer, " (Actes 2 : 1-4).
Le schéma de l'icône de la Pentecôte, représenté ci-dessus d'après l'icône prototype du 17è siècle, sur l'iconostase du Monastère Stavronikita au Mont Athos, illustre cette venue des langues de feu sur les douze apôtres qui symbolisent l'Eglise.
Le cadre de la fête est la maison où se tenaient les apôtres à cet instant. Ils sont assis sur un exèdre, un banc de bois à haut dossier, en forme de demi-cercle, déjà utilisé dans l'antiquité pour les enseignements dans les écoles de philosophie. Mais ici, la place du Maître reste vide.
De chaque côté du creux central, sont assis en deux groupes les douze apôtre :
En haut, les apôtres Pierre bénissant et Paul tenant le livre de ses écrits.
Puis les quatre évangélistes tenant le saint Livre : Matthieu et Lue à la droite, Jean et Marc à la gauche. 
Puis, en allant vers nous : à la droite : les apôtres Simon, Barthélémy et Philippe ou Jude ; et à la gauche : André, Jacques et Thomas.
Tous ceux qui ne tiennent pas l'Evangile tiennent le rouleau, symbolisant ce qui est écrit pour eux dans la loi et les prophètes.(1) En bas au centre de l'exèdre s'ouvre une cavité noire, où se dresse en buste le prophète Joël portant les douze rouleaux, car il prophétisa la descente de l'Esprit Saint. (2)
Remarquons qu'il est légèrement plus grand que les apôtres. Dans certaines icônes, c'est un empereur, représentant de l'oecouménè, c'est à dire du monde chrétien. Ce personnage suggère donc l'imminence de la formation de l'Eglise
Sur les apôtres ainsi assemblés, l'irruption soudaine de l'Esprit se manifeste iconographiquement de trois façons :
1 . Des cieux figurés par l'arc-de-cercle gris bleu en haut de l'icône sortent douze canaux conduisant des langues de feu qui viennent se poser au-dessus de la tête de chacun des apôtres. Remarquons que dans notre icône, les apôtres ne sont pas auréolés. Dans beaucoup d'icônes russes (3), ils le sont, et la langue de feu vient jusque dans l'auréole.
2. Un voile rouge est artistiquement pendu sur le haut du bâtiment où se trouvaient les apôtres, et qu'on figure, comme toujours, de l'extérieur pour montrer que le bâtiment n'enferme pas
3. Les apôtres manifestent une parfaite unité et un grand dynamisme. Par la perspective inversée, ils nous apparaissent tous égaux : on a en effet représenté légèrement plus grands ceux qui sont en haut, que ceux qui sont proches de nous. Donc ce qui est loin vient vers nous et ce qui est proche s'efface légèrement. Les apôtres sont à la fois avec nous, car ce demi-cercle s'ouvre vers nous, et en Dieu qui est au-delà de tout.(4)
Enfin, mais cela peut se dire de chaque icône, tous les éléments représentés resplendissent de la lumière incréée des énergies divines. L'exèdre, particulièrement fait l'objet d'un fin travail de lumières d'or (assist). Cet exèdre est pour nous le signe que l'Eglise qui naît à cet instant de l'Esprit Saint, est parfaitement unie.
Quand un seul apôtre, Pierre, prit la parole et s'adressa à tous les habitants de Jérusalem qui entouraient les apôtres, les soixante-dix et sans doute la Mère de Dieu, il ne parlait pas de lui-même, mais selon ce que lui inspirait l'Esprit. Notons que la Mère de Dieu n'est pas représentée, bien que les Actes signalent sa présence dans les réunions de prière des apôtres (Actes 1 : 14). En effet, elle est celle qui a enfanté le Verbe dans le silence (5). Ce jour-là furent baptisées " environ trois mille âmes " (Actes 2 : 41).
Après la Pentecôte, " les apôtres parcouraient la terre et parlaient au peuple du Seigneur et du Royaume des Cieux, mais leurs âmes languissaient et aspiraient à voir le Seigneur. Aussi ne craignaient-ils pas la mort, mais allaient avec joie à sa rencontre ; et s'ils désiraient vivre sur terre, c'était uniquement par amour pour Ies hommes. " (Starets Silouane, 20è s.)

Source : http://www.orthodoxa.org// Article d'Elisabeth Hériard

 

LA TORTURE, OFFENSE FAITE À DIEU

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(Le prêtre Michael Lapsley est le directeur de l’Institut pour la guérison des mémoires au Cap en Afrique du Sud.)

Sa méditation…

« Nous, chrétiens, nous sommes les disciples de Jésus, celui qui a été torturé. Et, à ce titre, nous ne pouvons rester neutres face à la torture. Nous affirmons, en effet, que tous les êtres humains ont été créés à l’image et à la ressemblance de Dieu. C’est pourquoi, torturer un être humain constitue une offense faite à Dieu en même temps qu’un déni de notre humanité commune. La torture dégrade profondément autant la victime que son bourreau. Elle est inacceptable et ne peut être tolérée.

Le silence

[…] Les gens sont torturés en cachette et les bourreaux, aux pratiques de plus en plus sophistiquées, s’efforcent de ne laisser aucune trace qui pourrait servir de preuve. On dit aux victimes qu’elles peuvent crier tant qu’elles veulent parce que de toute façon personne ne les entend, et que si elles sont libérées personne ne les croira. Celles qui, déjà, n’ont pas le droit à la parole, sont les plus vulnérables face à la torture, comme les détenus, les prisonniers politiques, les réfugiés, les sans-papiers et les minorités ethniques et sexuelles.

Les chrétiens

Aujourd’hui encore, la torture reste une pratique très répandue dans de nombreuses zones de conflit à travers le monde, et l’ACAT joue un rôle important en orientant les projecteurs vers ces actes inhumains. Nous, chrétiens, adorons le Dieu qui donne la Vie. Il est écrit dans l’évangile de Jean, chap. 10 verset 10 : ‘Je suis venu pour que vous ayez la vie et la vie en abondance’. C’est la leçon de l’histoire de la Résurrection. Chaque fois que des êtres humains sont victimes de violences, les chrétiens doivent être à l’avant-garde.

Guérison

À l’Institut pour la guérison des mémoires, nous disons que chacun a une histoire à raconter et que chaque histoire a besoin d’une écoute. Nous offrons des espaces sacrés où les gens peuvent raconter leur histoire en toute sécurité au sein d’un groupe de parole. […] Ceux qui ont survécu à la torture mettent quelquefois des dizaines d’années avant de pouvoir se délivrer du fardeau qui pèse sur eux […]

La peine de mort

[…] Dans une perspective chrétienne, les définitions légalistes ne suffisent pas. Tout ce qui déshumanise et viole l’intégrité d’une personne, que ce soit sur le plan physique, émotionnel ou spirituel, peut, d’un point de vue moral, être considéré comme une forme de torture. […] Naturellement, la peine de mort elle-même est une forme de torture. En attendant le jour de son exécution, le prisonnier meurt des milliers de fois. Heureusement, dans les pays de l’Union européenne et en France, la peine de mort n’existe plus, ce qui n’est pas le cas dans e nombreuses autres régions du monde. […]

Pâques

Souvenons-nous que nous sommes le peuple de Pâques ; le Vendredi saint n’est pas une fin. Le message chrétien nous incite à espérer que, malgré la torture, l’oppression et les exécutions, qui sont des offenses à Dieu, les forces de guérison, qui sont des forces de vie, finiront par triompher. Il nous appartient d’y contribuer »

(Courrier de l’ACAT, mars-avril 2014, « Spirituel »)

Evangile orthodoxe

PRIERE POUR CEUX QUI SONT TORTURES:

 

Seigneur Jésus Christ notre Dieu, Toi le seul innocent, Tu acceptas de monter librement sur la Croix dans ta miséricorde et ta compassion pour tous les humains.

Tu supportas avec patience, et en priant pour le pardon de ceux qui te tourmentaient, la torture de l’âme et du corps.

Ta Mère toute pure et tes saints martyrs de tous les âges et de tout lieu portèrent à leur tour chacun sa croix et te glorifièrent en elle.

Nous t’invoquons pour ceux qui en notre temps subissent selon leur conscience les supplices de toutes sortes : arrête la main de ceux qui les frappent ; mets Toi-même un terme à l’injustice qu’ils subissent ; ne permet pas qu’ils soient éprouvés au-delà de leurs forces ; garde-les dans la fidélité et la dignité ; épargne-leur la souffrance supplémentaire d’éprouver la haine et le ressentiment à l’égard de leurs tortionnaires ; révèle-toi à eux, ô Torturé et Ressuscité ; inspire-leur ton amour compatissant pour les humains humiliés, Toi qui veux sauver encore ceux à qui leurs actes barbares et inhumains promettent l’enfer.

Car ce qui fut infligé au plus petit des torturés, c’est à toi, ô Dieu devenu Homme, qu’on l’infligeait ! Et les tortionnaires crucifient en eux-mêmes le sceau de ton image sainte : ô Verbe et Fils unique de Dieu, convertis-les, pardonne-leur et sauve-les !

En nous enfin qui osons malgré nos propres péchés te prier, renouvelle la grâce de ton Esprit très saint et très bon, l’esprit d’humilité, l’esprit de non jugement, l’esprit d’audace et de force, l’esprit de repentir et de pardon.

Donne-nous de glorifier ta divine présence en tout humain défiguré, et, de l’abîme de l’agonie, ta sainte Résurrection ; au jour de l’épreuve, soumis à notre tour, et pour la vraie foi, aux supplices de l’âme et du corps, donne-nous de ne pas défaillir et de ne jamais te renier, ô Dieu de tendresse et de consolation, Père et Fils et saint Esprit, Dieu unique glorifié dans les siècles des siècles : Amen !

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EN VRAC...ELEMENTS EPARS POUR VOTRE

 

REFLEXION PERSONNELLE ET...ALIMENTER

 

VOTRE PRIERE...

 

 

 

 

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Une idée vieille de plus de 50 ans connaît aujourd’hui un étonnant regain : l’allocation universelle (AU). À première vue, ce revenu de base accordé automatiquement et que chacun viendrait compléter avec les revenus qu’il gagne par ailleurs, a tout pour séduire un libéral. Surtout comme alternative à un État-providence invasif, obèse, injuste et potentiellement en faillite.

D’abord, cette Allocation Universelle bénéficierait à tous : pauvre ou riche, jeune ou vieux, malade ou bien portant, travailleur ou demandeur d’emploi. On ne dualise plus la société, comme se plaît à le faire la gauche depuis Marx, entre défavorisés et favorisés, « exploités » et « exploiteurs ». Ensuite, cette AU serait inconditionnelle : vous la recevez quelle que soit la situation dans laquelle vous vous trouvez.

Dès lors, l’État n’est plus en mesure de la conditionner à la réalisation de démarches et à l’adoption d’un comportement déterminé. En clair, l’État ne s’immisce plus dans vos choix existentiels. Le bonheur est une affaire privée. Là encore, une idée fort libérale qui date de Benjamin Constant :« prions l’autorité de rester dans ses limites ; qu’elle se borne à être juste.Nous nous chargerons d’être heureux ». Enfin, et c’est là le plus beau, l’AU permettrait de réduire tant le montant des dépenses publiques que la taille de l’État.

D’une part, elle se substituerait aux différentes allocations existantes qui seraient supprimées (allocations chômage, familiales, d’insertion, logement, etc.). D’autre part, elle ne nécessiterait plus une administration pléthorique : comme les aides seraient accordées automatiquement, inconditionnellement et universellement, plus besoin de traiter de longs dossiers.

L’allocation universelle prisonnière de sa logique

À l’énoncé de ces belles idées, mon cœur libéral se remplit d’allégresse. À l’analyse, cependant, il apparaît que l’AU, loin d’être une réelle alternative au système qu’elle dénonce, reste prisonnière de sa logique.

On peut d’abord questionner le caractère universel : pourquoi aider des gens qui s’assument eux-mêmes ? Pourquoi verser une AU à Albert Frère ? Pourquoi d’ailleurs une AU versée à toutes les personnes, riches ou non riches, qui sont des contributeurs nets du pays ? Au nom de l’égalité redistributive.

Mais est-il judicieux de transformer en allocataire, même symboliquement, une personne financièrement autonome ? Quoi que vous fassiez, que vous travaillez ou pas, vous avez droit à une allocation. Si un tel système était mis en place, les gens s’habitueraient rapidement au fait que c’est l’État qui finance leurs besoins de base. En moins d’une génération, cette situation de dépendance structurelle à l’État semblerait naturelle à tout citoyen.

En réalité, fondamentalement, il y aurait ceux qui financent leur AU (et celle des autres) et ceux qui en sont bénéficiaires. Invoquer ce caractère universel, n’est-ce pas une manière de brouiller les cartes pour légitimer ce système sous le prétexte fallacieux que nous en aurions tous besoin ?

L’AU empêche, a-t-on dit, l’État de s’immiscer dans les choix existentiels des citoyens et le force à les traiter en adultes. Fort bien. Chacun a évidemment le droit de mener la vie qu’il entend. Mais, on oublie généralement de préciser une condition importante : pour autant qu’il finance ses choix avec SON argent. Supposons que vous donniez de l’argent à un ami en difficulté. Vous apprenez que, moins de 48 heures après avoir reçu cet argent, il a acheté une voiture de sport, un écran géant, etc.

Mise en cause du principe de réciprocité

Ne seriez-vous pas courroucé ? Probablement. Si vous l’avez aidé, c’est pour le dépanner. Pas pour qu’il se divertisse avec votre argent. De la même façon, si l’État vous aide, c’est pour que vous soulagiez vos besoins vitaux et pour que, dans la mesure du possible, vous redeveniez financièrement indépendant. À ce titre, la répression des fraudes sociales, les politiques de contrôle et de remise au travail des chômeurssont parfaitement légitimes.

Entendons-nous bien : je n’affirme pas que les gens, en recevant une AU, la dilapideront nécessairement en futilités. Je dis juste que, si on reçoit l’argent d’autrui (de la collectivité), il est normal que cet autrui exige que vous en fassiez un usage raisonnable sans que cela soit perçu comme une immixtion intolérable dans vos choix. Il est légitime, dans une société qui, comme la nôtre, en a les moyens, d’accorder un revenu de subsistance à tous ceux qui en ont besoin.
Mais, au nom même de cette solidarité, il faut que ses bénéficiaires mettent tout en œuvre pour retrouver une situation qui leur permette, eux aussi, de contribuer activement à cette solidarité. Or, le caractère inconditionnel de l’AU remet en cause ce nécessaire principe de réciprocité.

Oui, mais l’AU, nous disent ses partisans, se justifie au nom de la liberté« réelle ». En effet, il ne suffit pas de consacrer formellement nos libertés. Pour garantir leur effectivité, il faut encore qu’elles soient financées par l’État.
Cette distinction, d’origine marxiste, entre liberté formelle et liberté réelle procède en réalité d’une confusion entre deux notions distinctes :liberté et capacité. J’ai la liberté de partir cet été avec ma famille à Bora Bora (personne ne nous arrêtera à la frontière) mais je n’en ai pas la capacité (les moyens financiers). Encore une fois, il est normal pour l’État d’assurer la subsistance aux personnes nécessiteuses. Pas de financer leurs choix.

Impôt supplémentaire

Au niveau du financement, il faut vraiment n’avoir aucune expérience de la chose publique pour s’imaginer un instant qu’il serait miraculeusement réglé par un jeu de vases communicants. Comment croire qu’on puisse trouver un gouvernement qui parvienne (voire qui accepte) de supprimer toutes les allocations existantes pour les remplacer par une allocation unique ? Le mieux qu’on puisse atteindre, après d’homériques négociations avec les syndicats, ce sera un léger réaménagement de la Sécurité sociale.

En clair, en sus de toutes les allocations existantes qui, en dépit des belles promesses, resteront en place pour la plupart d’entre elles, on consacrera une allocation supplémentaire mais d’un montant qui, plus que probablement, excédera largement ce qui aura été économisé de l’autre côté. 

Par ailleurs, pense-t-on vraiment que le PIB actuel restera inchangé une fois l’AU adoptée ? Rien n’est moins sûr. Ne fût-ce que parce que plusieurs personnes actives préféreront, comme le préconisent les partisans de l’AU, consacrer quelques heures autrefois productives au profit de l’économie sociale.

En assurant les besoins de base de chacun, l’AU va-t-elle, comme le disent ses promoteurs enthousiastes, libérer les énergies et permettre à chacun de s’épanouir dans le secteur de son choix ? Pour certaines personnes sûrement. Mais, l’existence d’une rente n’est pas, en soi, un incitant. Ainsi, dans un pays comme l’Arabie Saoudite, le fait, pour chaque citoyen, de bénéficier d’une rente étatique généreuse a plutôt l’effet contraire : elle stérilise les volontés.

Autre question : l’AU ne va-t-elle pas engendrer une inflation généralisée, un peu comme les aides logement en France ont fait exploser le prix de l’immobilier ? L’AU ne va-t-elle pas inciter des gens à compléter leurs revenus par du travail en noir plutôt que par un travail lourdement imposé ? Avec l’AU, nous effectuons un saut dans l’inconnu. Un saut dont les actuels allocataires sociaux seraient les premiers cobayes.

Supposons néanmoins que toutes les autres allocations soient supprimées. Inéluctablement, un ensemble de questions surgiront : une personne handicapée ne mérite-t-elle pas une allocation plus substantielle ? Quid des personnes habitant en ville ou dans des zones où les loyers sont plus élevés ? Quid des personnes âgées invalides ?

On recréera fatalement une multitude d’exceptions, de régimes spéciaux, des majorations de taux, etc. Le système supprimé se reconstituera à une vitesse fulgurante. En pire. Pourquoi ? Puisque il faudra financer tous ceux qui, jusque-là, se débrouillaient tout seuls. Évidemment, ces gens-là ne feraient que récupérer une partie de ce qu’ils ont donné mais, précisément, pourquoi prélever chez eux cette partie d’argent qui leur sera d’emblée restituée (déduction faite d’une ponction faite par l’État pour financer cette opération inutile) ?

La réforme de l’État-Providence

Est-ce à dire qu’il faut laisser les choses en l’état ? Non. L’AU pose utilement la question de l’indispensable réforme de notre État-Providence. Mais si l’on désire réellement rendre les gens plus autonomes, il faut travailler au niveau de la perception et pas seulement au niveau de la redistribution : l’équivalent fiscal de l’AU, c’est la flat-tax.
Le présent gouvernement a réalisé une avancée avec le tax-shift car il a pu consacrer le principe que les impôts n’augmentent plus. L’étape suivante, à mon humble avis, serait de diminuer sensiblement le taux d’imposition.

Ultimement, la flat-tax consisterait à supprimer toutes les taxes pour les remplacer par un impôt unique à taux réduit et sans exonération, exception, incitant, « cadeau » ou déduction d’aucune sorte. Fini les intérêts notionnels ! Ce système, qui laisserait aux gens une bonne part de leurs revenus, aurait pour effet de redonner à chacun une marge de manœuvre tout en maintenant, en le dégraissant, le système actuel de sécurité sociale. Concrètement, les gens recevraient une somme sans doute supérieure à l’AU et pourraient légitimement la consacrer à ce qu’ils désirent.

Mais, là aussi, il semble illusoire de penser qu’un gouvernement supprime l’actuel Code fiscal d’un trait de plume. Dans l’immédiat et de manière plus réaliste, une alternative authentiquement libérale à l’AU, c’est  l’impôt négatif. Certains confondent d’ailleurs les deux.

Concrètement, il s’agit d’une somme d’argent versée à tous ceux qui gagnent moins que le minimum imposable et qui correspond à la différence entre leur revenu et ce minimum imposable. Si vous gagnez plus que le minimum imposable, vous êtes taxés sur le surplus. Si vous gagnez moins, vous n’êtes pas taxés et vous recevez la différence en cash.

Exposé par Milton Friedman, l’impôt négatif diffère de l’AU sur trois points fondamentaux : il n’est pas universel (il ne bénéficie qu’aux personnes nécessiteuses) et, contrairement à l’AU, octroyée a priori et de manière inconditionnelle, il s’opère a posteriori (une fois que l’on déclare les revenus) et conditionnel (uniquement pour ceux qui en ont besoin).

Philosophiquement, l’impôt négatif vise à soulager et à responsabiliser. Lui seul contribue à l’émancipation et à l’autonomisation de la personne. A contrario, l’AU maintient chacun dans le giron de l’État. L’AU ne rompt en rien avec la logique de l’État-Providence. En dépit de ses séduisants autours, l’AU n’est pas une idée libérale mais une fuite en avant, un énième avatar de l’idéologie sociale-démocrate aujourdhui en faillite.

SOURCE

 

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RECUPERATION DE LA FIGURE DE JEANNE D'ARC ?

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Fêtes de Jeanne d’Arc à Orléans. Le discours prononcé par Emmanuel Macron qui présidait, cette année, a été évidemment scruté et analysé sous l’angle des ambitions du jeune ministre. Jeanne d’Arc est un très bon sujet, notre héroïne nationale étant le miroir où chacun se plaît à imaginer son propre destin. Il ne faut donc pas trop en vouloir aux uns et aux autres de tirer la couverture à leur avantage, pas plus qu’il ne faut s’étonner du couplet récurrent à l’encontre de la récupération partisane de Jeanne. La main sur le cœur, on est prêt à jurer de sa totale impartialité et de son désintéressement à l’égard de celle qui incarne l’unité française.

Il y avait sûrement quelques expressions heureuses dans le discours de notre ministre. Je ne veux pas lui faire un procès à lui en particulier. Si procès il y avait, il concernerait tous ceux qui s’emploient au même exercice. Mais tout de même, on a bien le droit de faire quelques observations élémentaires. La première concerne l’appropriation indue de Jeanne. Non, Jeanne n’appartient à personne. Elle appartient d’abord à elle-même, et il nous importe de la reconnaître dans son étonnante singularité. Singularité d’une vocation, d’un appel qu’il faut bien qualifier de surnaturel. Enlever à Jeanne ce qu’elle appelle ses « voix » et donc l’assistance céleste dont elle bénéficia depuis Domrémy jusqu’au bûcher de Rouen, c’est la méconnaître, c’est la dénaturer, c’est l’arracher à ce qui est à la source permanente de son épopée.

Bien sûr, il est difficile à la République laïque de reconnaître en Jeanne d’Arc cette inspiration du Ciel. Et il fallait le génie de l’agnostique André Malraux pour rappeler à Orléans, précisément, ce qu’il en est de cette vocation divine. L’écrivain parlait aussi de la légende désormais associée à la figure de celle qui délivra Orléans. Mais il savait qu’en ce cas, tout est vrai et que l’histoire réelle est encore plus belle que la légende. Et Malraux touchait encore juste, lorsqu’il proclamait : « Toi qui as donné au monde la seule figure de victoire qui soit aussi une figure de pitié ! » Non décidément, le problème n’est pas de s’approprier Jeanne d’Arc, il est de la reconnaître dans sa vérité éblouissante.

Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 9 mai 2016.

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GPA:

Esclavage des femmes...

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Rassemblements, rendez-vous avec les préfets, opérations sentinelles et veilleurs, distributions de tracts... des dizaines d’actions sont prévues mardi 10 mai dans toute la France pour sensibiliser l’opinion publique sur le scandale de la GPA - Gestation Par Autrui. À l’initiative des équipes de La Manif Pour Tous, ces opérations sont autant de messages adressés à François Hollande et à Manuel Valls pour les inciter à passer de la parole aux actes.

Le 3 octobre 2014, à la veille de manifestations qui avaient réuni plus de 500.000 personnes pour défendre la famille et la filiation dans les rues de Paris et Bordeaux à l’appel de La Manif Pour Tous, Manuel Valls s’était fermement engagé à agir contre la GPA. Hélas, ces engagements n’ont pas été tenus, loin de là. Le Premier Ministre avait alors qualifié la GPA de « pratique intolérable de commercialisation des êtres humains et de marchandisation du corps des femmes. » Manuel Valls s’était également clairement prononcé contre la reconnaissance en France des GPA pratiquées à l’étranger : « en tout état de cause, le gouvernement exclut totalement d’autoriser la transcription automatique des actes étrangers, car cela équivaudrait à accepter et normaliser la GPA ». Par ces mots très forts, le Premier Ministre dénonçait le mensonges véhiculé par les partisans de la GPA qui ne cessent de qualifier à tort les enfants nés d’une mère porteuse de « petits fantômes de la République » dans le seul but de justifier la reconnaissance de cette pratique pourtant aussi scandaleuse qu’intolérable.

Enfin, Manuel Valls s’était engagé à agir au niveau international : « La France entend promouvoir une initiative internationale qui pourrait aboutir, par exemple, à ce que les pays qui autorisent la GPA n’accordent pas le bénéfice de ce mode de procréation aux ressortissants des pays qui l’interdisent. » Il avait également tenu à souligner « la responsabilité de tous les États dans la lutte contre la commercialisation des êtres humains. »

Parce que la GPA repose effectivement sur la commercialisation des êtres humains et l’asservissement de la femme, cette pratique intolérable est une nouvelle forme d’esclavage qui doit cesser. C’est le sens de la journée de mobilisation et de sensibilisation qui se tiendra le 10 mai, jour de commémoration de l’abolition de l’esclavage.

Comme le rappelait à juste titre Sylviane Agacinski voici quelques mois, « une personne n’est pas une chose ou un animal. Elle ne peut pas être vendue ou donnée, ses organes ne peuvent être achetés, tout comme les liens de filiation. On encadre l’esclavage ? Non. Une chose indigne ne s’encadre pas ! »

Actions et RDV sur www.lamanifpourtous.fr

 

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Ahmet Davutoglu, le "bon flic" du duo qu'il formait avec Erdogan est limogé par le sultan... L'espoir de voir l'accord scélérat signé par Juncker sur les visa tomber à l'eau...

 

 

Ahmet Davutoglu, le très humble et souriant (mais ferme) Premier ministre turc, a annoncé mercredi soir son départ. Le régime turc du sultan Erdogan a mis les formes. Après une visite-éclair de Davutoglu au palais présidentiel le plus kitsch du monde, le Premier ministre a annoncé qu’il partirait à l’occasion d’un Congrès de son parti, à organiser d’urgence. Le petit jeu du « bon flic (Davutoglu) et du méchant flic (Erdogan) dans la négociation avec l’Europe se termine…

Ahmet Davutoglu, le « bon flic » du duo qu’il formait avec Erdogan est limogé par le sultan… L’espoir de voir l’accord scélérat signé par Juncker sur les visas aux Turcs pour circuler librement en Europe tomber à l’eau…

Davutoglu a joué très finement contre l’Europe pendant toute la négociation sur la crise des migrants, en exigeant et obtenant des dirigeants européens l’octroi automatique de visas aux citoyens turcs pour tout déplacement (de court séjour) en Europe, et en obtenant un coup de « booster » aux négociations d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne. Tout cela bien sûr au mépris des populations de l’UE qui ne veulent pas de l’entrée de la Turquie dans l’Europe.

Davutoglu a bien précisé que cette démission de fait n’était pas de son choix: « Soyez sûrs que la courte durée de mon mandat, n’est pas le fait de mon choix, mais d’une nécessité ».

C'est l'occasion de dénoncer l'accord intervenu sur les migrants, tout en gardant hermétiquement close la mer Egée?
C’est l’occasion de dénoncer l’accord intervenu sur les migrants, tout en gardant hermétiquement close la mer Egée?

Pour beaucoup d’observateurs, c’est une mauvaise nouvelle (pour Merkel, Juncker et compagnie) et une bonne nouvelle pour les opposants à l’accord entre Bruxelles et Ankara sur les migrants. Le président Erdogan a lui-même laissé entendre qu’il refusait les conditions européennes pour obtenir la libre circulation des Turcs en Europe: il refuse de prendre les mesures contre la corruption (sa propre famille est impliquée), de terrorisme et de respect de la liberté d’expression.

Les journalistes enfermés ne se comptent plus, les journaux fermés non plus… Le régime présidentiel turc se met en place. C’est l’occasion pour l’Europe d’annuler l’accord avec Ankara sur les visas (une stupidité incroyable!) et de remettre au frigo l’adhésion de la Turquie à l’Union, voulue par Louis Michel (MR) et consorts.

L’Europe pourrait considérer l’accord comme mort et maintenir la garde à la frontière grecque, assumée en grande partie par l’OTAN, pour empêcher les migrants de traverser la mer Egée. Espérons un sursaut de lucidité des Excellences qui nous gouvernent… Sans grand espoir.

L.R.

 

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HH Patriarch of Ethiopia at Jerusalem Patriarchate

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« À Alep, ça n’a jamais été aussi grave que maintenant ».

C’est par des paroles pressantes que le Père Ibrahim Alsabagh, prêtre franciscain, a appelé les chrétiens du monde entier à prier pour la ville syrienne d’Alep – tout spécialement ce vendredi 6 mai-, qui fait à nouveau l’objet de combats acharnés.

https://www.aed-france.org/syrie-al...

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Depuis ce matin le village chrétien de Teleskuf

au nord de Mossoul (nord de l’Irak)

subit de violents bombardements

des djihadistes de l’État Islamique.

Ses habitants chrétiens avaient fui le village en août 2014,

mais des combattants chrétiens et kurdes s’y trouvent encore.

http://www.oeuvre-orient.fr/2016/05...

 

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Il est nécessaire de tirer des leçons du passé et de rester vigilants afin d’assurer la paix dans le monde, a déclaré le président russe devant les participants et invités à la Parade de la Victoire.

"Aujourd'hui, la civilisation à nouveau fait face à la cruauté et à la violence. Le terrorisme est devenu la menace globale, nous sommes obligés de vaincre ce mal. La Russie est ouverte pour unir les efforts avec d'autres pays, prête à travailler afin de créer un système de sécurité internationale sans blocs militaires", a-t-il indiqué.

 

parade militaire
© SPUTNIK. GRIGORY SYSOEV
Le président russe a affirmé que les soldats russes ont "prouvé qu'ils sont de dignes successeurs des héros de la Grande guerre patriotique et sont prêts à défendre les intérêts de la Patrie".

 

"Je suis sûr que les anciens combattants sont fiers de leurs descendants, ils ne trompent pas leur confiance et seront toujours alignés à la grande victoire, à l'exploit de la glorieuse génération des vainqueurs. Joyeuse fête de la Victoire!", a déclaré Vladimir Poutine.

La guerre est devenue toute une époque pour le peuple russe, une époque de courage, de lourdes épreuves, de pertes tragiques, de grands espoirs et de de foi dans la victoire, a remarqué le président.

source

 

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Le décret simplifiant la procédure d’autorisation des préparations naturelles peu préoccupantes (PNPP) à usage biostimulant est paru le 30 avril. L’association Aspro-PNPP déplore une liste de substances « a minima ».

Il se faisait attendre par les militants « anti-pesticides », plus de quinze mois après la promulgation de la loi d’avenir agricole d’octobre 2014… Le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll l’a confirmé la semaine dernière devant les députés. Le décret reconnaissant les préparations naturelles non préoccupantes (PNPP) (purin d’ortie, etc), comme biostimulants et non plus comme produits à usage phytopharmaceutique, a été publié au Journal Officiel le 30 avril.

Pour rappel, l’article 50 de la loi d’avenir agricole prévoit un régime simplifié pour l’utilisation et la commercialisation de ces préparations. Il définit qu’une PNPP doit être constituée exclusivement de substances de base ou de substances naturelles à usage biostimulant, comme l’ail par exemple, qui « n’a pas d’effet directement insecticide mais facilite la résistance de certaines plantes à certains insectes ». Une PNPP doit également être obtenue à partir d’un procédé accessible à tout utilisateur final.

Ce décret stipule que les substances naturelles à usage biostimulant doivent, pour être autorisées, être inscrites sur une liste, également publiée par arrêté du ministre le 30 avril au JO. Les produits « qui contiennent uniquement une ou plusieurs substances autorisées par l’arrêté mélangées avec de l’eau, et donc accessibles à tout utilisateur, peuvent désormais être mis sur le marché sans autre formalité », a expliqué le ministre de l’Agriculture. L’autorisation de ces substances est « ainsi simplifiée, plus rapide et chacun peut donc fabriquer et commercialiser ses propres produits pour stimuler la croissance des plantes ».

 

Une première liste de substances sur le marché

Cet arrêté fixe une première liste de « plus d’une centaine de substances naturelles » à usage biostimulant autorisées, dont le purin d’ortie. Le texte comprend toutes les préparations « simples contenant des plantes médicinales pouvant être librement vendues en dehors des pharmacies, telles que l’ail, la menthe ou l’ortie, sous forme de poudre ou diluées », a précisé M. Le Foll. Ces plantes sont autorisées par l’article D4211-11 du code de la santé publique. La sauge, le thym ou le tilleul en font également partie.

La liste sera complétée par d’autres substances PNPP, après avoir été évaluées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) « garantissant qu’elles ne présentent pas d’effet nocif sur la santé humaine, sur la santé animale et sur l’environnement ».

Ces substances seront d’origine végétale mais aussi « animale ou minérale, à l’exclusion des micro-organismes » et ne sont pas génétiquement modifiées, précise le décret. Ces substances doivent être « non traitées ou traitées uniquement par des moyens manuels, mécaniques ou gravitationnels, par dissolution dans l’eau, par flottation, par extraction par l’eau, par distillation à la vapeur ou par chauffage uniquement pour éliminer l’eau. »

La substance PNPP, inscrite sur la liste, peut être retirée ou modifiée, « dès lors que l’une des conditions requises pour cette inscription n’est plus remplie », prévient le décret. Un délai, n’excédant pas douze mois, pourra être fixé pour permettre l’écoulement des stocks à la commercialisation.

Toute publicité commerciale pour les PNPP, composées exclusivement de substances naturelles à usage biostimulant, « ne peut comporter d’autres allégations que celles relatives à leur caractère naturel à usage biostimulant », ajoute le décret.

800 substances en attente de validation

Cet arrêté fixe une première liste de « plus d’une centaine de substances naturelles » à usage biostimulant autorisées, dont le purin d’ortie. …/…

Suite de l’article

Source Actu-Evironnement via LesBrind’Herbes

 

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Apôtre Thomas

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Dutch Delegation Visits North Iraq, Raises Issue of Kurdish Encroachment on Assyrian Lands


Assyrian International News Agency
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Dutch Delegation Visits North Iraq, Raises Issue of Kurdish Encroachment on Assyrian Lands
By Dani Dabbous

2016-05-09 16:12 GMT

 

(AINA) -- The Foreign Affairs Committee of The Netherlands (PVV) recently visited Dutch soldiers who stationed in North Iraq. During their they spoke with representatives of the Kurdish Regional Government (KRG). Before their departure, the committee was briefed on the latest developments in northern Iraq, particularly the rise of violence in area.

The PVV invited the Assyrian Federation Netherlands for an extensive interview on the situation of Assyrians and other minorities in the region. The PVV and the Assyrian Federation Netherlands discussed in length recent events and the future of Assyrians in Iraq.

Human Rights Watch has reported on multiple occasions that Assyrians do not feel safe under Kurdish control. Encroachment on Assyrian lands (AINA 2016-04-14) is ongoing and perpetuated by powerful Kurdish clans affiliated with the KRG. The judiciary gives them no equal treatment even with clear documents proving the land is theirs. On several occasions the land expropriation has gone hand in hand with violence and threats.

Assyrian politician Johnny Givargis (Assyrian Democratic Movement), a member of the KRG, has expressed his concern and has called this an act of "genocide," saying that land dispossession, discrimination, violence, and fraud in elections is a policy aimed at changing the demographics of the area.

 

In their talks with members of the Kurdish Parliament and other representatives the PVV raised the issue of the violence and injustice against the Assyrians and other minorities. MP R. de Roon raised these issues personally during his conversations with Barzani and other representatives, specifically addressing the issues of the Kurdish encroachment in Nahla (AINA2016-04-14), infringements on the right to demonstrate and the worsening relationship between the Kurds and Assyrians.

 

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ENSEIGNER LA RELIGION A SCIENCE PO...

Est-ce une bonne nouvelle à recevoir, en ce jeudi de l’Ascension ? Sciences Po Paris va proposer une formation sur la religion, destinée aux cadres et futurs cadres des différents cultes. Il faut sans doute attendre un peu pour en savoir plus, car les informations qui nous parviennent sont encore d’ordre très général, et il est difficile de se bien repérer. Il ne semble pas qu’il s’agisse vraiment d’enseignement à proprement parler doctrinal puisque les personnes concernées seront déjà instruites dans le cadre de leur propre confession. Ce sont des ministres de chaque religion qui participeront à ce module : rabbins, prêtres, pasteurs, imams, moines, etc. Peut-être certains n’auront-ils pas encore achevé leur formation spécifique, mais le problème n’est pas de la conduire à terme. Il est, si l’on comprend bien, de permettre une meilleure cohabitation. Le but, c’est une meilleure maîtrise de l’environnement politique et institutionnel français, européen aussi, qui conditionne les pratiques religieuses, avec une particulière insistance sur la laïcité.

On jugera à la pratique du bien-fondé de ce module de formation. On nous assure qu’il dispose de l’aval des grandes structures religieuses, et notamment de la Conférence des évêques de France. Par ailleurs, comment ne pas se féliciter de l’attention portée au phénomène religieux dans un cadre universitaire ? Cependant, il est permis de s’interroger sans nécessairement se montrer hostile au projet sur son statut épistémologique, pour parler cuistre. L’Église catholique a déjà une certaine pratique de dialogue interreligieux, et elle en connaît les embûches. Même si on se refuse à parler directement doctrine, en se contentant du registre culturel, qui fournit un langage commun, on ne peut éviter la question de l’hétérogénéité des génies religieux. Sans doute, s’agit-il d’interroger le sens de l’existence dans un certain rapport à une transcendance, à un sacré. Mais le christianisme et l’islam ne répondent pas exactement aux mêmes questions, en dépit de points de contact historiques. C’est encore plus vrai du christianisme et des religions orientales, qui ont des désaccords fondamentaux, y compris sur la définition de l’homme et sur ses finalités. Ce n’est pas une raison pour s’ignorer et se combattre, sans aucun doute. Mais c’est une raison pour fournir les clés de discernement indispensables.

Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 5 mai 2016.

 

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Pour Etienne Wasmer, professeur à Sciences-Po, le fonctionnement actuel du marché du travail ne permet pas d’absorber de « nouvelles populations », mais il ne facilite pas non plus l’emploi des jeunes. Il est donc favorable à la loi El Khomri. Il est également membre du conseil scientifique de Terra Nova

L’objectif des progressistes pour la présidentielle devrait être un compromis social-démocrate portant sur une flexisécurité à la française.

Entre 2003 et 2005, sous la férule d’un chancelier socialiste, l’Allemagne a profondément transformé son marché du travail avec les réformes Schröder-Hartz, grâce aussi à son consensus sociétal sur la modération salariale. Dix ans plus tard, elle a absorbé les déséquilibres de ses Länder périphériques, a traversé la crise financière en se renforçant économiquement, a constitué des surplus gigantesques et a imposé sa direction politique à l’Europe.

Elle se permet le luxe d’accueillir un million de réfugiés en 2015, et d’en attendre autant en 2016. La France n’a pas fait de réforme structurelle majeure, droite et gauche confondue sur cette même période, le taux de chômage des jeunes dépasse les 20 % et n’a d’égal que les intentions de vote de cette classe d’âge pour le Front national.
(...).

Le statu quo en matière de code du travail améliore-t-il au moins la situation des résidents ? non. La part des précaires chez les 15-29 ans atteint le tiers de la population employée, si on tient compte de toutes les formes précaires d’emploi, contre 12 % dans la population totale, et atteint 50 % pour les 15-24 ans.
S’il est maintenant question de généraliser le RSA aux moins de 25 ans, c’est bien que le fonctionnement actuel du marché du travail est déficient. Le contrat de travail n’est pas la source de tous ces maux, mais la crispation de la relation de travail organisée par un code qui grossit chaque décennie depuis quarante ans est patente ; [...]

Libération

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PUBLICATIONS:

 

Publication des Actes du

 

13e colloque du Patrimoine syriaque.

la  contribuition du Drs Gewargis Acis d'où je tiens cette information que je vous partage portait le titre: 

Philoxène de Maboug comme interprète des saintes Écritures

 

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The Orthodox Dilemma:

 

New Pan-Orthodox Christian Book

 

from the OCP

 

Dept. of Publications- OCP News Service- 9/5/16

Buy Hardcopies at Amazon and Lulu bookstore
Amazon – ($12.00)
http://www.amazon.com/Orthodox-Dilemma-George-Alexander/dp/1329629787

Lulu (25% discount) –  ($9.00)
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Kindle Copies
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Detailed Reviews here:
http://ocpbooks.simplesite.com/421272268

Global: OCP books, the publication division of Orthodoxy Cognate PAGE (Pan-Orthodox Christian Society) is proud to present our new Pan-Orthodox Christian Publication Titled ‘The Orthodox Dilemma- Personal Reflections on Pan-Orthodox Christian Conciliar Unity. This Unique book is first of its kind to call for the creation of an extensive global platform for all Orthodox Churches.

Paperback copies can be purchased from Amazon, Lulu Book Store, and other major online stores. E-books are available at Kindle.

About the Book
The Orthodox Dilemma consists of personal reflections on global Pan-Orthodox Christian Unity. The work focuses on the need for establishing sacramental communion between the Eastern, Oriental and other families of Orthodox Churches. The author calls to create a common conciliar platform for Orthodox Churches and to establish dialogues between Eastern, Oriental, Old Believes, Old Calendar, Non-canonical, Unrecognized and New Generation Orthodox Churches. This may be the first book of its kind to call for the creation of a global platform for all Orthodox Christians.

Reviews

“A moving book that depicts a passionate plea for a new conciliar approach to unity between all Orthodox Churches”- The Lausanne- Orthodox Initiative (LOI). 

“I greatly recommend The Orthodox Dilemma to both the scholar and the novice for one to gain a broader appreciation of the beautiful flavors of unique variety that exists within Orthodox Christianity”- John G. Panagiotou – Touch Stone Magazine ( Also published in American Orthodox Institute and Orthodox Christian Laity.).

“Revelatory and timely, especially in a Period Riddled with Internecine Violence and Religious Tribalism” – Dr. Glenville Ashby – San Francisco Book Review.

“If Orthodoxy ignores Alexander’s concerns for healing inner schisms, it will only be at the cost of the sacred analogy Orthodoxy holds very dear” – Bradley R. Cochran – (www.theophilogue.com).

“The ‘Orthodox Dilemma’ deserves high appreciation for reminding the hierarchy about the real need of strengthening the foundation of their acceptance by the people of God together with divinely granted authority being successors of the Holy Apostles “- Fr. Dr. Jossi Jacob- Faculty- Holy Trinity Theological University College – Addis Ababa- Ethiopia

“The Orthodox Dilemma is a passionate & heartfelt plea for Orthodox Churches everywhere, but especially at the local level, to find a personal way – demonstrating basic Christian principles – to get along” – Joel Dennstedt- Readers Favorite.

“The book is written in a personal style, and is refreshing in a sense that it does not split theological hairs, but speaks to the heart of Orthodox Christians.” – Dina Blokland – Hebrew University of Jerusalem. 

“The Orthodox Dilemma is a clearly focused, prophetically articulated and uniquely challenging book.” FrDr. Jacob Kurien – Theologian, Author, Academician and former Principal of the Orthodox Theological Seminary (India).

“The ‘Orthodox Dilemma’ echoes innocent and rightful questions on the unity of the One, Holy, Catholic & Apostolic Church of Jesus Christ and gives mature reflections, suggestions and an honest call for global Pan-orthodox Christian conciliar unity” – Dr. Wa’el Adnan Jabbour – Faithful of the Greek Orthodox Patriarchate of Antioch & All-East (Latakia- Syria).

“Enthusiastic and Sincere Quest on Orthodox Christian Unity” – Fr Thomas Ninan- M. Th. Priest of the Indian Orthodox Malankara Church.

“All in all, a very enjoyable and important read, I highly recommend it” – John Tsambazis – Award Winning Executive Producer at Clapstick Pictures.

“This book is a much-needed piece in the broader “puzzle” which will help to make our struggle for Orthodox Unity become a reality” – Joslyn Ramey, Orthodox Writer, Photography, and travel Expert.

“This book is an exciting introduction to the amazing attempts made by a committed Orthodox Christian for the unity of the Orthodox churches” – John Kunnathu – Orthodox Author and Academician.

ISBN- 9781329629783
Edition – First Edition
Publisher – OCP Publications
Published- April 16, 2016
Language – English
Pages – 216
Binding- Perfect-bound Paperback
Genere- Pan-Orthodox Christian Studies

Source:
OCP Publications – OCP News Service

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TOUTE L'HISTOIRE DE FRANCE 

toute-l-histoire-de-france

 

Jean-Claude Barreau, inspecteur général honoraire de l’Education nationale, est l’auteur de nombreux ouvrages.

 

Livre est un récit synthétique de vulgarisation historique, ne vous attendez-pas  à une étude chronologique et universitaire de l’histoire de France.

 

En amoureux de la France son auteur livre son interprétation des pages de gloire, de désastres et de passion qui ont fait ce pays.

 

 "Non, la France n’est pas le fruit du hasard !"  , clame Jean-Claude Barreau pour qui la formule « Nos ancêtres les Gaulois  » ne sonnerait pas si absurde qu’on veut nous le prétendre aujourd’hui, à moins, bien sur, qu'on apprenne la formule à nos petits Cammerounais...

 

En moins de 350 pages  l’auteur rappelle les faits saillants de l’histoire de France, en considérant que leur connaissance est indispensable pour appréhender notre destin de Français.

 

Toute l’histoire de France, Jean-Claude Barreau, éditions de l’Artilleur, 336 pages, 12 euros

A commander en ligne sur le site de l’éditeur

 

 

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Présentation d'un livre, un point de vue sur l'Islam

 

Anne Sinclair reçoit Tareq Oubrou, recteur de la Mosquée de Bordeaux

Invité: 

Tareq Oubrou, recteur de la Mosquée de Bordeaux

“Ce Que Vous Ne Savez Pas Sur L’Islam “,

Fayard

Parution en 2016 http://www.europe1.fr/emissions/l-interview/tareq-oubrou-linterview-integrale-2739007

 

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BookCoverImage

La traduction française version papier est disponible chez Amazon https://goo.gl/wIXhhN
L’édition arabe est disponible gratuitement ici: http://goo.gl/JpqIST
L’édition arabe version papier est disponible chez Amazon https://goo.gl/nKsJT4

My God, I hope with a firm confidence that you give me, through the merits of Our Lord Jesus Christ, Your grace in this world and eternal happiness in the other, because you have promised and You are always faithful to your promises. Amin/Mon Dieu, j’espère avec une ferme confiance que Vous me donnerez, par les mérites de Notre-Seigneur Jésus-Christ, Votre grâce en ce monde et le bonheur éternel dans l’autre, parce que Vous l’avez promis et que Vous êtes toujours fidèles dans Vos promesses. Amîn /

My God, I hope with a firm confidence that you give me, through the merits of Our Lord Jesus Christ, Your grace in this world and eternal happiness in the other, because you have promised and You are always faithful to your promises. Amin/Mon Dieu, j’espère avec une ferme confiance que Vous me donnerez, par les mérites de Notre-Seigneur Jésus-Christ, Votre grâce en ce monde et le bonheur éternel dans l’autre, parce que Vous l’avez promis et que Vous êtes toujours fidèles dans Vos promesses. Amîn /

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 17,1-11a.

En ce temps-là, Jésus leva les yeux au ciel et dit : « Père, l’heure est venue. Glorifie ton Fils afin que le Fils te glorifie. 
Ainsi, comme tu lui as donné pouvoir sur tout être de chair, il donnera la vie éternelle à tous ceux que tu lui as donnés. 
Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ. 
Moi, je t’ai glorifié sur la terre en accomplissant l’œuvre que tu m’avais donnée à faire. 
Et maintenant, glorifie-moi auprès de toi, Père, de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde existe. 
J’ai manifesté ton nom aux hommes que tu as pris dans le monde pour me les donner. Ils étaient à toi, tu me les as donnés, et ils ont gardé ta parole. 
Maintenant, ils ont reconnu que tout ce que tu m’as donné vient de toi, 
car je leur ai donné les paroles que tu m’avais données : ils les ont reçues, ils ont vraiment reconnu que je suis sorti de toi, et ils ont cru que tu m’as envoyé. 
Moi, je prie pour eux ; ce n’est pas pour le monde que je prie, mais pour ceux que tu m’as donnés, car ils sont à toi. 
Tout ce qui est à moi est à toi, et ce qui est à toi est à moi ; et je suis glorifié en eux. 
Désormais, je ne suis plus dans le monde ; eux, ils sont dans le monde, et moi, je viens vers toi.»
 




Par le Bx Guerric d'Igny

(v. 1080-1157), abbé cistercien 
Sermon pour l'Ascension, 1-2 : PL 185, 153-155 (trad. Orval rev. ; cf SC 202, p. 273). 

 

«  À l'heure où Jésus passait de ce monde à son Père..., il pria ainsi »
 

 

 

Le Seigneur a prononcé cette prière la veille de sa Passion.

Mais il n'est pas hors de propos de l'appliquer au jour de l'Ascension, au moment où il allait quitter définitivement

ses « petits enfants » (Jn 13,33), qu'il confiait à son Père.

Lui, qui au ciel enseigne et dirige la multitude des anges qu'il a créés, s'était attaché sur la terre un « petit troupeau » (Lc 12,32) de disciples pour les instruire tandis qu'il était présent dans la chair, jusqu'au moment où, leur cœur s'étant élargi, ils pourraient être conduits par l'Esprit.

Il aimait ces tout-petits d'un amour digne de sa grandeur.

Il les avait détachés de l'amour de ce monde ; il les voyait renoncer à tout espoir d'ici-bas et ne dépendre que de lui seul.

Cependant tant qu'il vivait avec eux dans son corps, il ne leur a pas prodigué à la légère les marques de son affection : il s'est montré avec eux plus ferme que tendre, comme il convient à un maître et à un père. 

Mais lorsque le moment est venu de les quitter, il semble vaincu par la tendre affection qu'il leur portait, et il ne peut plus leur dissimuler l'immensité de sa douce bonté...

D'où ces mots :

« Comme il avait aimé les siens qui étaient dans le monde, il les aima jusqu'au bout » (Jn 13,1).

Car il a répandu alors en quelque sorte toute la force de son amour pour ses amis avant de se répandre lui-même comme de l'eau pour ses ennemis (Ps 21,15).

Il leur a livré le sacrement de son corps et de son sang et leur a prescrit de le célébrer.

Je ne sais pas ce qu'il faut admirer le plus : sa puissance ou sa charité, lorsqu'il a inventé cette nouvelle manière de demeurer avec eux pour les consoler de son départ.

 

My God, I love You above all things, with all my heart, all my soul and all my strength, because You are infinitely perfect and supremely lovable. I also love my neighbor as myself for the love of you./Mon Dieu, je Vous aime par dessus toutes choses, de tout mon cœur, de toute mon âme et de toutes mes forces, parce que Vous êtes infiniment parfait et souverainement aimable. J’aime aussi mon prochain comme moi-même pour l’amour de Vous.

My God, I love You above all things, with all my heart, all my soul and all my strength, because You are infinitely perfect and supremely lovable. I also love my neighbor as myself for the love of you./Mon Dieu, je Vous aime par dessus toutes choses, de tout mon cœur, de toute mon âme et de toutes mes forces, parce que Vous êtes infiniment parfait et souverainement aimable. J’aime aussi mon prochain comme moi-même pour l’amour de Vous.

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