Chers fils et filles, chers amis de notre Métropolie, Aloho m'barekh.
"Ô Dieu bon, donnez-moi Votre grâce."
Notre Métropolie (Eglise fille de l'Eglise Malnkare Orthodoxe parce qu'héritière de la juridiction crée par cette Eglise-mère pour l'Europe et ses missions) a en ce moment de grandes décisions à prendre qui auront des conséquences importantes sur son avenir.
Une consultation a été lancée par le "Conseil de l'Eglise" auprès de nos prêtres en France, en Afrique et au Pakistan, mais aussi auprès de "Conseillers fraternels" avant de prendre une grave décision.
Il se trouve que plusieurs désordres en France et en Afrique n'ont pas été résolus. L'inconduite de certains prêtre dans plusieurs domaines, leur manque de sens du "bien commun" en sont à l'origine et les accroissent...De tels faits fragilisent davantage une Métropolie.
Partant du fait que la santé de l'ensemble du corps dépend du bon fonctionnement de chaque membre, de chaque organne, j'en appelle aux fidèles du Peuple de Dieu qui nous honorent de leur confiance, mais aussi aux autres, afin qu'ils veuillent bien prier pour notre conversion: -Pour la sanctification du Métropolite et de ses collaborateurs dans le Sacerdoce, les prêtres en même temps que pour eux-même.
Tous en effet doivent être un seul coeur, une seule âme tendus vers Dieu.
Pour ce faire, à dire avant la réunion que nous aurons le Dimanche 2 Septembre, je vous propose cette belle prière de Saint Isaac le Syrien:
-"Ô Dieu bon, donnez-moi Votre grâce.
Que le Père, qui dans l'éternité hors du temps Vous a engendré dans son sein, renouvelle en moi les formes de Votre image. Je Vous ai abandonné. Ne m'abandonnez pas. Je suis sorti de Vous. Sortez à ma recherche. Conduisez-moi dans Votre pâturage, comptez-moi avec les brebis de Votre troupeau élu. Avec elles, nourrissez-moi de l'herbe verte de Vos mystères divins dont le cœur pur est la demeure, cœur qui porte en lui la splendeur de Vos révélations la consolation et la douceur de ceux qui se sont donnés de la peine pour Vous dans les tourments et les outrages.
(Saint Isaac le Syrien "Discours ascétiques" Oeuvres spirituelles DDB)"
Votre fidèlement et fraternellement dans le Christ, notre Seigneur.
+Mor Philipose, Brévilly ce 27.VIII.18 ---------------------------
Queridos filhos e filhas, queridos amigos do nosso Metropolita, Aloho m'barekh.
"Ó bom Deus, me dê sua graça."
A nossa Igreja Metropolitana (filha da Igreja Ortodoxa de Malnkara, devido à herança da jurisdição criada por esta Igreja Mãe para a Europa e suas missões) tem neste momento importantes decisões a tomar que terão importantes consequências para o seu futuro.
Uma consulta foi lançada pelo "Conselho da Igreja" com nossos padres na França, África e Paquistão, mas também com "Conselheiros Fraternos" antes de tomar uma decisão séria.
Acontece que muitos distúrbios na França e na África não foram resolvidos. A má conduta de certos padres em vários campos, sua falta de senso do "bem comum" estão na origem e os aumentam ... Tais fatos enfraquecem ainda mais um Metropolita.
Dado que a saúde de todo o corpo depende do funcionamento adequado de cada membro, de cada órgão, apelo aos fiéis do povo de Deus que nos honram com a sua confiança, mas também aos outros, para que eles por favor, orem pela nossa conversão: -Para a santificação do Metropolita e seus colaboradores no sacerdócio, os sacerdotes ao mesmo tempo e por si mesmos.
Todos devem, de fato, ser um só coração, uma alma forçada para Deus.
Para fazer isso, para dizer antes da reunião que teremos no domingo, 2 de setembro, proponho a vocês esta linda oração de São Isaac, o Sírio:
- "Ó bom Deus, dá-me a tua graça.
Que o Pai, que na eternidade fora do tempo Trouxe-te para o seu ventre Renove em mim as formas da tua imagem. Eu te abandonei. Não me desista. Eu te deixei. Vá para minha busca. Conduza-me no seu pasto conta-me com as ovelhas do teu rebanho escolhido. Com eles, me alimente da grama verde dos seus mistérios divinos cujo coração puro habita, coração que carrega nele o esplendor de suas revelações o consolo e doçura daqueles que te incomodou em tormentos e ultrajes.
(Santo Isaac, o Sírio "Discursos Ascéticos" Obras Espirituais DDB) "
Tua fiel e fraternalmente em Cristo, nosso Senhor.
+ Mor Philipose, Brévilly este 27.VIII.18 -----------------------------------
Dear sons and daughters, dear friends of our Metropolitan, Aloho m'barekh.
"O good God, give me your grace."
Our Metropolitan Church (daughter of the Orthodox Malnkara Church because of the inheritance of the jurisdiction created by this Mother Church for Europe and its missions) has at this moment important decisions to make which will have important consequences for its future.
A consultation was launched by the "Council of the Church" with our priests in France, Africa and Pakistan, but also with "Fraternal Advisers" before making a serious decision.
It turns out that many disorders in France and Africa have not been resolved. The misconduct of certain priests in several fields, their lack of sense of the "common good" are at the origin and increase them ... Such facts further weaken a Metropolitan.
Given that the health of the whole body depends on the proper functioning of each member, each organne, I appeal to the faithful of the People of God who honor us with their confidence, but also to others, so that they please pray for our conversion: -For the sanctification of the Metropolitan and his collaborators in the Priesthood, the priests at the same time as for themselves.
All must indeed be one heart, one soul strained towards God.
To do this, to say before the meeting that we will have on Sunday 2nd September, I propose to you this beautiful prayer of Saint Isaac the Syrian:
- "O good God, give me Your grace.
May the Father, who in eternity out of time Brought you into his womb, renew in me the forms of Your image. I abandoned you. Do not give me up. I left you. Go out to my search. Drive me in Your pasture, count me with the sheep of Your chosen flock. With them, feed me of the green grass of Your divine mysteries whose pure heart is dwelling, heart that carries in it the splendor of your revelations the consolation and sweetness of those who have bothered you in torments and outrages.
(Saint Isaac the Syrian "Ascetic Discourses" Spiritual Works DDB) "
Your faithfully and fraternally in Christ, our Lord.
Les vacances sont comme un prolongement du repos dominical crée par Dieu, une certaine anticipation du repos éternel.elles tirent déjà à leur fin, pour nous, elles furent très actives puisque nous recevions au Monastère, tout le mois de juillet et puis, la semaine précédent le 15 Août des familles et leurs jeunes pour des activités estivales.
Il faut profiter des vacances pour serapprocher de Dieupar d’autres manières que celles du quotidien.
Admirer un paysage, la beauté des tableaux peints par Dieu.
Le servir, en témoigner, auprès des autres, des nouvelles rencontres faites au détour d’un chemin de campagne.
Ce sont toutes ces petites attentions qui vous permettront, lors de la période estivale -car elle n'est pas terminée !- , de ne pas perdre de vue l’essentiel... C’est une nouvelle contemplation, un nouveau chemin dans l’amour de Dieu : voilà ce que sont les vacances.
Saint Paul affirme au sujet des païens :
" Ce qu'on peut connaître de Dieu est pour eux manifeste : Dieu en effet le leur a manifesté. Ce qu'il y a d'invisible depuis la création du monde se laisse voir à l'intelligence à travers ses oeuvres, son éternelle puissance et sa divinité."Rm 1, 19-20
Et St Augustin :
" Interroge la beauté de la terre, interroge la beauté de la mer, interroge la beauté de l'air qui se dilate et se diffuse, interroge la beauté du ciel [...] interroge toutes ces réalités. Toutes te répondent : Vois, nous sommes belles. Leur beauté est une profession (confessio). Ces beautés sujettes au changement, qui les a faites sinon le Beau (Pulcher), non sujet au changement ?"
SOYEZ TOUS PRESENTS!
¤DIMANCHE 26 AOÛT et Mardi 28,
Pèlerinage préparatoire à la Rentrée Scolaire et universitaire
10h30, Messe avecbénédiction des enfants et jeunes-gens suivie du programme habituel (Prière pour l'unité, réception des fidèles...).
Saint Augustin, priez pour nos écoliers, étudiants et leurs professeurs!
Chers amis. A la suite d'une première vague d'inondations et, ici, des suites d'une canicule qui a mis nos agriculteurs en grandes difficultés, les pluies diluviènnes ont repris au Kerala, nous annonce un post de notre frère et ami Mor Melethius ainsi que cet article de l'OCP.
Les Pères de l'Eglise au Kerala se sont unis pour appeler à la prière et à la solidarité. Nous aussi reprenons nos prières pour accompagner dans cette épreuve les fils et filles de l'Inde du Sud (Kerala / Malankar / Malabare) et appeler sur ses fils et filles les bénédictions du Très Haut. Merci pour vos prières et votre amour compatissant. Prions pour que l'unanimité du Témoignage Chrétien à l'intérieur des juridictions écclésiales notre Tradition Syriaque s'affermisse afin que des pluies de grâces inondent la Sainte Eglise afin que se manifeste la splendeur à travers un élan missionnaire renouvelé! Que la Mère de Miséricorde étende sa protection sur ses fils et filles du Kerala, de France, d'Afrique, du Brésil et du Pakistan où nous sommes implantés! Aloho m'barekh! +Mor Philipose , Brévilly ce 16.III.18 ------------------------ Dear friends. Following a first wave of floods and here, following a heatwave that put our farmers in great difficulty, the heavy rains resumed in Kerala, announces a post from our brother and friend Mor Meletius and that this article of the OCP. The Fathers of the Church in Kerala have united to call for prayer and solidarity. We too take up our prayers to accompany the sons and daughters of South India (Kerala / Malankar / Malabar) in this ordeal and to call on His sons and daughters the blessings of the Most High. Thank you for your prayers and your compassionate love. Pray that the unanimity of the Christian Testimony within the ecclesial jurisdictions of our Syriac Tradition will be strengthened so that rains of thanksgiving flood the Holy Church so that the splendor can be manifested through a renewed missionary impulse! May the Mother of Mercy extend her protection to her sons and daughters from Kerala, France, Africa, Brazil and Pakistan where we are implanted! Aloho m'barekh! + Mor Philipose, Brévilly this 16.III.18 --------------------------- Queridos amigos. Depois de uma primeira onda de inundações e aqui depois de uma onda de calor que tem colocado os nossos agricultores em grandes dificuldades, chuvas torrenciais retomado em Kerala, anunciamos um post do nosso irmão e amigo Meletius e Mor que este artigo do OCP. Os Padres da Igreja em Kerala uniram-se para pedir oração e solidariedade. Retomamos nossas orações para acompanhar neste evento o filho e as filhas do Sul da Índia (Kerala / Malankara / Malabar) e chamar seu filho e filhas bênçãos do Altíssimo. Obrigado por suas orações e seu amor compassivo. Rezem para que a unanimidade do testemunho cristão dentro das jurisdições eclesiais de nossa Tradição Siríaca se fortaleça para que as chuvas de ação de graças inundem a Santa Igreja para que o esplendor se manifeste através de um renovado impulso missionário! Que a Mãe de Misericórdia estende sua proteção a seu filho e filhas de Kerala, França, África, Brasil e Paquistão, onde nós implantés! Aloho m'barekh! + Mor Philipose, Brévilly este 16.III.18
Malankara-Kerala:His Holiness Baselios Paulose II (Catholicos on the Apostolic Throne of St. Thomas and Malankara Metropolitan) and His Beatitude Abune Thomas I (Catholicos and Metropolitan Trustee of the Syriac Orthodox Church in India) have appealed for the support of flood affected areas in Kerala. The Prelates have appealed for prayers, support and cooperation to help citizens who are in distress.
Malankara (Kerala) is going through one of the worst flooding disaster of recent times. More than 180 people have lost their lives. Many are trapped as well. According to Government reports this is the second worst flood after 1924, where ten out of fourteen districts are severely affected with heavy damage to roads, homes and other infrastructure.
You may donate money to the bank account of the Malankara Orthodox Church. First bank account is for Indian currency donation and second bank account is for foreign currency donation.
L'EGLISE QUI VIT EN FRANCE ET SES MISSIONS AU BRÉSIL, EN AFRIQUE ET AU PAKISTAN SE MOBILISE DANS LA PRIÈRE POUR LE KERALA ! /
A IGREJA QUE VIVE NA FRANÇA E SUAS MISSÕES NO BRASIL, NA ÁFRICA E NO PAQUISTÃO MOBILIZAM NA ORAÇÃO POR KERALA! /
THE CHURCH WHO LIVES IN FRANCE AND ITS MISSIONS IN BRAZIL, AFRICA AND PAKISTAN MOBILIZES IN PRAYER FOR KERALA!
Premier dimanche après la fête de l'Assomption de Sainte-Marie
Soirée :
Saint-Luc 14: 25-35
Matin :
Saint-Luc15: 1-10
Avant Quadisha Qurbana :
Exode 14: 21-31
I Samuel 8: 4 -9
Isaïe 43:1-5
Saint Qurbana :
1ère de St Jean 2: 22-29
22 Le menteur n’est-il pas celui qui refuse que Jésus soit le Christ ? Celui-là est l’anti-Christ : il refuse à la fois le Père et le Fils ;
23 quiconque refuse le Fils n’a pas non plus le Père ; celui qui reconnaît le Fils a aussi le Père.
24 Quant à vous, que demeure en vous ce que vous avez entendu depuis le commencement. Si ce que vous avez entendu depuis le commencement demeure en vous, vous aussi, vous demeurerez dans le Fils et dans le Père.
25 Et telle est la promesse que lui-même nous a faite : la vie éternelle.
26 Je vous ai écrit cela à propos de ceux qui vous égarent.
27 Quant à vous, l’onction que vous avez reçue de lui demeure en vous, et vous n’avez pas besoin d’enseignement. Cette onction vous enseigne toutes choses, elle qui est vérité et non pas mensonge ; et, selon ce qu’elle vous a enseigné, vous demeurez en lui.
28 Et maintenant, petits-enfants, demeurez en lui ; ainsi, quand il se manifestera, nous aurons de l’assurance, et non pas la honte d’être loin de lui à son avènement.
29 Puisque vous savez que lui, Jésus, est juste, reconnaissez que celui qui pratique la justice est, lui aussi, né de Dieu.
Ephésiens 6: 10-17
10 Puisez votre énergie dans le Seigneur et dans la vigueur de sa force.
11 Revêtez l’équipement de combat donné par Dieu, afin de pouvoir tenir contre les manœuvres du diable.
12 Car nous ne luttons pas contre des êtres de sang et de chair, mais contre les Dominateurs de ce monde de ténèbres, les Principautés, les Souverainetés, les esprits du mal qui sont dans les régions célestes.
13 Pour cela, prenez l’équipement de combat donné par Dieu ; ainsi, vous pourrez résister quand viendra le jour du malheur, et tout mettre en œuvre pour tenir bon.
14 Oui, tenez bon, ayant autour des reins le ceinturon de la vérité, portant la cuirasse de la justice,
15 les pieds chaussés de l’ardeur à annoncer l’Évangile de la paix,
16 et ne quittant jamais le bouclier de la foi, qui vous permettra d’éteindre toutes les flèches enflammées du Mauvais.
17 Prenez le casque du salut et le glaive de l’Esprit, c’est-à-dire la parole de Dieu.
Saint Luc 6: 39 – 45
39 Il leur dit encore en parabole : « Un aveugle peut-il guider un autre aveugle ? Ne vont-ils pas tomber tous les deux dans un trou ?
40 Le disciple n’est pas au-dessus du maître ; mais une fois bien formé, chacun sera comme son maître.
41 Qu’as-tu à regarder la paille dans l’œil de ton frère, alors que la poutre qui est dans ton œil à toi, tu ne la remarques pas ?
42 Comment peux-tu dire à ton frère : “Frère, laisse-moi enlever la paille qui est dans ton œil”, alors que toi-même ne vois pas la poutre qui est dans le tien ? Hypocrite ! Enlève d’abord la poutre de ton œil ; alors tu verras clair pour enlever la paille qui est dans l’œil de ton frère.
43 Un bon arbre ne donne pas de fruit pourri ; jamais non plus un arbre qui pourrit ne donne de bon fruit.
44 Chaque arbre, en effet, se reconnaît à son fruit : on ne cueille pas des figues sur des épines ; on ne vendange pas non plus du raisin sur des ronces.
45 L’homme bon tire le bien du trésor de son cœur qui est bon ; et l’homme mauvais tire le mal de son cœur qui est mauvais : car ce que dit la bouche, c’est ce qui déborde du cœur.
Souvenirs photographiques mélangés (En raison de l'ordre dans lequel les confrères m'envoient leurs clichés) de la Solennité de l'Assompion de la Très Sainte Vierge Marie ce matin du 15 Août 2018 au Monastère.
Je présidait la concélébration de la Quadisha Qurbana (Offrande du Saint Sacrifice de la Messe ) avec Abouna Isaac ( Isaac Père), Abouna Syméon , Abouna Mickaël et le Père Jacques Cusset (51 ans de sacerdoce dans la congrégation Romaine-catholique des Pères Blancs ).
Au cours de cette Messe nous avions le bonheur de recevoir par Chrismation (Confirmation) une jeune fille, Marine, dans la famille des Églises Orthodoxes Orientales à travers notre Tradition Syro-Orthodoxe.
Pendant ce temps,notre cher fils Cyprien Bex et sa fiancée avec Mademoiselle Thérèse Ribreau (86 ans) tenaient un stand à la Fête du Quartier Notre Dame afin de renflouer quelque peu nos finances en bernes. Et quand je dis "en bernes", c'est un doux euphémisme !
Ce fût un succès. Thérèse Ribreau, elle, tout en étant à Verneuil, demeurait présente au Monastère à travers les magnifiques compositions florales qu'elle avait faites pour orner chacun des quatre reposoirs sur le parcours de la Procession Mariale.
Cette fête du Quartier Notre Dame à Verneuil, je l'ai toujours connue . Elle est toujours jeune grâce au dévouement de Madame Rosse de qui mon frère Christophe Miguet prit la succession à la tête l'association des "amis du Quartier Notre Dame". ---------------------------- 1) misturado Recordação fotográfica (Devido à ordem em que os irmãos me enviar suas fotos) da Solenidade da Assompion da Bem-Aventurada Virgem Maria, na manhã de 15 de agosto, 2018 no Mosteiro.
I presidiu a concelebração da Quadisha Qurbana (Oferta do Santo Sacrifício da Missa) com Abuna Isaac (Isaac Pai) Abouna Simeão, Abuna Mickaël e Pai Jacques Cusset (51 anos de sacerdócio na congregação católica romana dos Padres Brancos) .
Durante esta missa tivemos a alegria de receber pelo Crisma (Confirmação) uma menina, Marinha, na família das Igrejas Ortodoxas Orientais através da nossa tradição siro-ortodoxo. Enquanto isso, o nosso querido filho Cipriano Bex e sua noiva com a senhorita Theresa Ribreau (86 anos) teve um estande no Festival Distrito Notre Dame para reabastecer as nossas finanças um tanto Bernes. E quando digo "fora de ordem", é um doce eufemismo!
Foi um sucesso. Therese Ribreau que ao estar em Verneuil, manteve-se no mosteiro através dos arranjos de flores bonitas que ela tinha feito para decorar cada um dos quatro altares no curso do Marian Procissão.
Esta festa do distrito de Notre Dame em Verneuil, eu sempre soube. Ela ainda é jovem através da dedicação da Sra Rosse que levou meu irmão Christophe Miguet sucessão à frente da associação "Amigos do Quartier Notre Dame." ----------------------- 1) Mixed photographic remembrance (Because of the order in which the confreres send me their pictures) of the Solemnity of the Assumption of the Blessed Virgin Mary this morning of August 15, 2018 at the Monastery.
I chaired the concelebration of the Quadisha Qurbana (Offering of the Holy Sacrifice of the Mass) with Abouna Isaac (Isaac Father), Abouna Symeon, Abouna Mickael and Father Jacques Cusset (51 years of priesthood in the Roman-Catholic congregation of the White Fathers) .
During this Mass we had the pleasure of receiving by Chrismation (Confirmation) a young girl, Marine, in the family of Eastern Orthodox Churches through our Syro-Orthodox Tradition.
Meanwhile, our dear son Cyprien Bex and his fiancée with Mademoiselle Thérèse Ribreau (86 years old) were holding a booth at the Quartier Notre Dame feast in order to bolster our finances somewhat. And when I say "out of order", it's a sweet euphemism!
It was a success. Thérèse Ribreau, while in Verneuil, was present at the Monastery through the beautiful floral arrangements she had made to adorn each of the four repositories on the course of the Marian Procession. This party of the Notre Dame district in Verneuil, I have always known. She is still young thanks to the dedication of Mrs. Rosse, from whom my brother Christophe Miguet took over the leadership of the "Friends of the Quartier Notre Dame" association.
FOI ET RAISON ?...
La foi chez beaucoup de chrétiens en Occident a cessé d’être un état pour devenir une idée qu’on a sur Dieu.
Quand on fait un travail théologique d’ordre intellectuel, il faut le faire dans un esprit de prière, car c’est la seule garantie de ne pas tomber dans des erreurs.
Si quelqu’un veut nous contredire au sujet de la foi, nous adresse des objections dans un esprit de malignité, il faut faire intérieurement une prière au Saint-Esprit afin qu’il nous éclaire et nous indique ce qu’il faut répondre.
Il ne faut pas se laisser accabler par les pensées des choses matérielles, et ne pas se crisper sur elles, mais garder au contraire vis-à-vis d’elles un certain détachement.
En ayant ce détachement nous pourrons d’ailleurs mener plus facilement à bien toutes nos entreprises.
Face aux problèmes matériels, il faut adopter deux attitudes : le détachement et la prière.
Le détachement doit s’exercer vis-à-vis du présent, mais aussi de l’avenir et du passé.
Il faut donc vivre dans le présent, car c’est le seul temps qui soit vraiment réel, le seul temps qui compte vraiment pour nous.
Ce qui doit nous préoccuper, c’est comment nous sommes dans le présent, c’est l’état dans lequel nous sommes susceptibles, actuellement, de comparaître devant le Christ.
Une règle de vie : plus prier et moins réfléchir. Dans l’autre vie, les spéculations ne nous serviront à rien.
Il est dit : « Tu aimeras Dieu de toute ton intelligence », et non pas : « Tu connaîtras et tu comprendras Dieu de toute ton intelligence. »
Ce qui est important, c’est la charité. Saint Paul dit : si je n’ai pas la charité, je ne suis rien, même si je fais des miracles… Les démons, eux, connaissent et peuvent comprendre tout aussi bien que nous, mais ils n’aiment pas.
Si nous avons l’humilité et l’amour, la connaissance nous sera donnée.
La foi est un état spirituel qui engage tout notre être d’une manière concrète et vitale.
(Source: Texte paroles du Starets choisies et arrangées par thèmes, extraites de l’ouvrage « LE STARETS SERGE » de Jean-Claude Larchet, Collection Épiphanie, Les Éditions du Cerf, Paris 2004.)
PRIER AUTHENTIQUE ET VOIE SPIRITUELLE
La prière est sobre. Elle est incompatible avec toutes les formes de « pentecôtisme ».
Les « pentecôtistes », comme les membres de la plupart des sectes, se manifestent par diverses extravagances, notamment des danses et des cris.
Il est mauvais de rechercher par un effort de la volonté les états spirituels. Il faut prier, et attendre avec patience et humilité.
Les techniques de ravissement des mystiques occidentales sont inacceptables.
La méditation telle qu’ils la recommandent est très malsaine, car l’homme fait alors un effort de volonté pour trouver des idées, alors que tout doit être dans l’attitude morale.
La spiritualité est dans l’être et non dans les idées.
La prière de Jésus ne peut être pratiquée en dehors de l’Église ; c’est l’Église qui lui donne son sens.
Elle ne peut être envisagée isolément, être séparée de son contexte. La prière de Jésus est un ensemble.
Elle doit s’accompagner de la lutte contre les passions.
Or ceci n’est possible que dans l’Église, par la force que nous communiquent les sacrements. En dehors de l’Église, et sans la lutte contre les passions, la prière de Jésus n’est pas valable.
La prière implique la pratique des vertus et notamment de l’humilité. Elle doit se faire dans un état de contrition.
Elle suppose également la pureté ; sans pureté, elle ne peut être valable et devient « nerveuse ».
Tout ce qu’ont fait les ascètes chrétiens, tout ce qu’ont réussi les saints, ce n’est pas par eux-mêmes, par leur propre volonté, qu’ils l’ont fait.
Ils s’en sont remis totalement à Dieu, et c’est par la grâce de Dieu qu’ils ont agi.
Le grand secret de la vie spirituelle c’est d’agir par la force de Dieu et non par ses propres forces.
Il faut chercher l’humilité et non la sainteté, car la sainteté sans l’humilité n’est qu’une prétention.
Il y a de la prétention et de l’orgueil à prétendre obtenir immédiatement des résultats.
Les anges qui sont tombés et sont devenus des démons avaient la perfection puisqu’ils étaient des anges, mais ils n’avaient pas l’humilité, c’est pourquoi, n’ayant que la perfection, ils sont devenus des démons.
Posséder la vérité, en tant que chrétien, est une responsabilité, ce n’est pas une gloire.
Loin de nous trouver pour cela supérieurs aux autres, nous devons sentir combien nous-mêmes nous sommes indignes de la vérité.
(Source: Texte paroles du Starets choisies et arrangées par thèmes, extraites de l’ouvrage « LE STARETS SERGE » de Jean-Claude Larchet, Collection Épiphanie, Les Éditions du Cerf, Paris 2004.)
La pureté de cœur consiste
à voir des hommes pécheurs et faibles, à avoir de la compassion pour eux et à leur être miséricordieux.
(Saint Macaire le Grand)
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VOUS AVEZ DIT: ORAISON ?...Quand on n'a plus de mots...
« Jésus semble vouloir réduire toute l'oraison, la vie d'amour à ces éléments tout simples qui sont bien ceux des tout-petits :
- d'abord la paix... qui laisse seulement le cœur respirer d'amour... - puis, les invocations... comme une respiration d'amour, sans pensées, sans images*...
et plus le vocabulaire humain s'appauvrit, plus la parole ne se dit plus dans le temps, mais dans l'instant. Et l'oraison semble toujours vouloir comme expirer.
C'est alors que l'on est toujours comme à son dernier sou.
Après les mots : "Jésus", "Marie", "Amour", il n'y en a plus d'autres, on n'a plus rien à dire et le démon nous suggère de quitter l'oraison pour faire autre chose ; nous oublions que nous n'avons qu'à répéter ces mêmes mots comme les tout-petits qui répètent indéfiniment : "maman" ou "papa". »
Père Thomas Philippe, ... des miettes pour tous, Préface de Jean Vanier, Ed. Saint-Paul, 1994. *La prière de Jésus (Prière du cœur) peut y aider. ---------------------------------------- A pureza do coração é
ver homens pecadores e fracos, ter compaixão por eles e ser misericordioso para com eles.
(São Macário, o Grande)
+++ OCÊ DISSE: ORAISON? ... Quando não temos mais palavras ...
"Jesus parece querer reduzir toda a oração, a vida de amor a esses elementos simples que são muito mais do que os pequenos:
- primeiro paz ... que só deixa o coração respirar em amor ... - então, as invocações ... como um sopro de amor, sem pensamentos, sem imagens * ...
e quanto mais o vocabulário humano se torna mais pobre, mais a fala não é mais dita a tempo, mas no momento. E a oração parece sempre querer expirar.
É então que um é sempre como o seu último centavo.
Depois das palavras: "Jesus", "Maria", "Amor", não há mais outros, não temos mais nada a dizer e o demônio nos sugere deixar a oração para fazer outra coisa; esquecemos que só temos que repetir essas mesmas palavras como crianças que repetem indefinidamente: "mãe" ou "pai". "
Padre Thomas Philippe, ... migalhas para todos, Prefácio de Jean Vanier, Ed. Saint-Paul, 1994. * A oração de Jesus (Oração do Coração) pode ajudar. --------------------------------------------------- The purity of the heart is
to see sinful and weak men, to have compassion for them and to be merciful to them.
(Saint Macarius the Great)
+++
YOU SAID: ORAISON? ... When we have no more words ...
"Jesus seems to want to reduce all the prayer, the life of love to these simple elements which are very much the ones of the little ones:
- first peace ... which only lets the heart breathe in love ... - then, the invocations ... like a breath of love, without thoughts, without images * ...
and the more the human vocabulary becomes poorer, the more the speech is no longer said in time, but in the moment. And prayer always seems to want to expire.
It is then that one is always like his last dime.
After the words: "Jesus", "Mary", "Love", there are no more others, we have nothing more to say and the demon suggests to us to leave the prayer to do something else; we forget that we only have to repeat these same words as toddlers who repeat indefinitely: "mom" or "dad". "
Father Thomas Philippe, ... crumbs for everyone, Preface by Jean Vanier, Ed. Saint-Paul, 1994. * The prayer of Jesus (Heart Prayer) can help.
Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/
maliath taibootho/ full of grace/ moran a'amekh - the Lord is with thee/ mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ yoldath aloho/ Mother of God/ saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ Amîn
Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.
PRIERE POUR LES VOCATIONS:
Père, faites se lever parmi les chrétiens de nombreuses et saintes vocations au sacerdoce, qui maintiennent la foi vivante et gardent une mémoire pleine de gratitude de Votre Fils Jésus, par la prédication de sa parole et l'administration des sacrements, par lesquels Vous renouvelez continuellement vos fidèles dans la Grâce du Saint Esprit.
Donnez-nous de saints ministres de Votre autel, qui soient des célébrants attentifs et fervents de l'eucharistie, sacrement du don suprême du Christ pour la rédemption du monde, sacrement de la pérennité de Sa présence comme "l'Emmanuel", Dieu présent au milieu et pour le salut de Son Peuple.
Appelez des ministres de Votre miséricorde, qui dispensent la joie de Votre pardon par le sacrement de la réconciliation.
Père, puisse notre Église Syro-Orthodoxe francophone accueillir avec joie les nombreuses inspirations de l'Esprit de Votre Fils et, qu'en étant docile à ses enseignements, elle prenne soin des vocations au ministère sacerdotal et à la vie consacrée.
Soutenez nos Pères dans la Foi, nos Métropolites,les évêques, les prêtres, les diacres, les personnes consacrées et tous les baptisés dans le Christ, à l'intérieur et à l'extérieur de notre Tradition Syro-Orthodoxe afin qu'ils accomplissent fidèlement leur mission au service de l'Évangile.
Nous Vous le demandons par le Christ notre Seigneur, Votre Fils bien-aimé qui vit et règne avec Vous et le Saint Esprit pour les siècles sans fin.
Amîn.
Ô Marie, Mère de Miséricorde et Reine des apôtres, priez pour nous !
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ORAÇÃO PELAS VOCAÇÕES:
Pai, deixe repousar entre os cristãos numerosas e santas vocações ao sacerdócio, que mantenham viva a fé e manter uma memória cheia de gratidão Seu Filho Jesus, pela pregação de sua palavra e administrar os sacramentos, pelo qual você renovar continuamente os vossos fiéis na graça do Espírito Santo.
Dê-nos santos ministros do vosso altar, que estão celebrantes atentos e entusiastas da Eucaristia, sacramento do dom supremo de Cristo para a redenção do mundo, o sacramento da sustentabilidade da sua presença como "Emmanuel", Deus presente entre e para a salvação de Seu povo.
Chamar ministros de sua mercê, que fornecem a alegria de Seu perdão através do Sacramento de reconciliação.
Pai, que nossa Igreja siro-ortodoxo falando alegremente boas-vindas as numerosas inspirações do Espírito de Seu Filho e, que sendo obedientes a seus ensinamentos, ela cuida das vocações ao ministério sacerdotal e à vida consagrada.
Apoiar nossos pais na fé, nossos metropolitanas, bispos, sacerdotes, diáconos, pessoas consagradas e todos os baptizados em Cristo, dentro e fora da nossa tradição siro-ortodoxo de modo que eles fielmente cumprir a sua missão o serviço do Evangelho.
Você Nós vos pedimos por Cristo, nosso Senhor, Seu amado Filho, que vive e reina contigo eo Espírito Santo para todo o sempre. Amin.
Ó Maria, Mãe de Misericórdia e Rainha dos Apóstolos, rogai por nós!
Je vais vous révéler un secret de sainteté et de bonheur.
Si tous les jours, pendant cinq minutes, vous savez faire taire votre imagination, fermer vos yeux aux choses sensibles et vos oreilles à tous les bruits de la terre pour rentrer en vous-même, là, dans le sanctuaire de votre âme qui est le temple du Saint-Esprit, parlez à ce divin Esprit en Lui disant
O Saint-Esprit, âme de mon âme,
je T'adore, éclaire-moi, guide-moi,
fortifie-moi, console-moi;
dis-moi ce que je dois faire,
donne-moi Tes ordres.
Je Te promets de me soumettre
à tout ce que Tu désires de moi
et d'accepter tout ce que Tu permets qu'il m'arrive.
Fais-moi seulement connaître Ta volonté.
Si vous faites cela, votre vie s'écoulera heureuse, sereine et consolée, même au milieu des peines, car la grâce sera proportionnée à l'épreuve, vous donnant la force de la porter et vous arriverez à la porte du Paradis.
Cette soumission au Saint-Esprit est le secret de la Sainteté.
O MON DIEU, Vousqui, par la richesse et l'abondance de vos dons, rassasiez tout ce qui respire, bénissez-nous ainsi que la nourriture que nous allons prendre, pour le seul motif de conserver notre vie qui doit Vous glorifier : nous vous demandons par Jésus-Christ, notre Seigneur, Lui qui vit avec Vous Père et Le Saint Esprit, Dieu Unique aux siècles des siècles . Amîn.
Prière après le repas.
Nous vous remercions, Seigneur, pour la nourriture que vous venez de donner à nos corps ;
Soyez en même temps, par la Grâce de votre Saint et vivifiant Esprit, la nourriture de nos âmes, en attendant cette vie où nous n'aurons plus ni faim ni soif, parce que nous serons rassasiés de votre gloire : nous vous le demandons par Jésus-Christ, notre Seigneur, Lui qui vit avec Vous Père et Le Saint Esprit, Dieu Unique aux siècles des siècles . Amîn.
Autres prières pour offrir à Dieu les actions de la journée.
Je vous offre, ô mon Dieu, les œuvres que je vais faire : puissiez-vous en être honoré et glorifié !
Je les unis aux œuvres saintes que faisait votre Fils bien-aimé, Nôtre-Seigneur Jésus-Christ, lorsqu'il était en ce monde, et vous supplie très humblement de m'éclairer, de me conduire et de me guider de telle sorte, que je puisse, en toutes choses, vous plaire et accomplir votre sainte volonté.Amîn.
Que la sainte Vierge Marie nous obtienne la bénédiction de son Fils plein de bonté et de miséricorde.
Amîn.
Prière après le travail,
O MON DIEU, que votre sainte grâce me prévienne et m'accompagne toujours, afin que vous seul soyez le principe et la fin de toutes mes pensées, de toutes mes paroles et de toutes mes œuvres.
Amîn.
L'Amour de Dieu est un feu dévorant, et Sa Sagesse une folie.
... l’ouvrage de chacun sera mis en pleine lumière. En effet,le jour du jugement le manifestera, car cette révélation se fera par le feu, et c’est le feu qui permettra d’apprécier la qualité de l’ouvrage de chacun.
14 Si quelqu’un a construit un ouvrage qui résiste, il recevra un salaire ;
15 si l’ouvrage est entièrement brûlé, il en subira le préjudice. Lui-même sera sauvé, mais comme au travers du feu.
[...]
Que personne ne s’y trompe : si quelqu’un parmi vous pense être un sage à la manière d’ici-bas, qu’il devienne fou pour devenir sage.
19 Car la sagesse de ce monde est folie devant Dieu. Il est écrit en effet : C’est lui qui prend les sages au piège de leur propre habileté.
20 Il est écrit encore : Le Seigneur le sait : les raisonnements des sages n’ont aucune valeur !
21 Ainsi, il ne faut pas mettre sa fierté en tel ou tel homme. Car tout vous appartient,
22 que ce soit Paul, Apollos, Pierre, le monde, la vie, la mort, le présent, l’avenir : tout est à vous,
23 mais vous, vous êtes au Christ, et le Christ est à Dieu.
1 Corinthiens 3
Le feu dont parle Paul est bien sûr le feu de l'amour de Dieu qui brûle ce qui n'est pas de Dieu, ce qui n'est pas fruit de l'amour
Source : seraphim-marc-elie.fr
Créativité de la prière
(P. Sophrony)
La prière est d'une créativité infinie, bien plus élevée que n'importe quel art ou science! Staretz Sophrony Sakharov
Criatividade da oração (P. Sophrony)
A oração é infinitamente criativa, muito maior que qualquer arte ou ciência! Staretz Sophrony Sakharov
NOUVELLES DU RELAIS PAROISSIAL DE MONABO
(Paroisse de Yaoundé)
Hier, 15 Août 2018, au relais paroissial de Monabo (Centre Cameroun /Paroisse Notre Dame des grâces et Ste Marthe de Yaoundé ),les fidèles heureusement unis autour de leur pasteur, Dayroyo Marie-Parfait (Père Parfait Marie).*
Les fidèles remercient leurs frères et sœurs de France pour la réception des médicaments envoyés
*Le Supérieur local, le Rd Père Charbel (Alphonse Mbeng ) doit prochainement, si ce n'est déjà fait descendre sur le terrain pour contribuer à régler le problème qui se pose apparemment pour l'ensemble de la communauté suite à l'inconduite notable quoique privée d'un chrétien. Merci de prier pour la personne, le village, le prêtre envoyé dans ce village et les Supérieurs locaux (Père Charbel (Alphonse Mbeng), prieur provincial et Père Sébastien vice provincial)
----------------------- Hier au relais paroissial de Monabo (Centre Cameroun /Paroisse Notre Dame des grâces et Ste Marthe de Yaounde ),les fidèles heureusement unis autour de leur pasteur, Dayroyo Marie-Parfait (Père Parfait Marie).*
Les fidèles remercient leurs frères et sœurs de France pour la réception des médicaments envoyés
*Le Supérieur local, le Rd Père Charbel (Mbeng Alphonse) doit prochainement, si ce n'est déjà fait descendre sur le terrain pour contribuer à régler le problème qui se pose apparemment pour l'ensemble de la communauté suite à l'inconduite notable quoique privée d'un chrétien. Merci de prier pour la personne, le village, le prêtre envoyé dans ce village et les Supérieurs locaux (Père Charbel (Alphonse Mbeng), prieur provincial et Père Sébastien vice provincial) -------------------------- Yesterday at the parish relay of Monabo (Center Cameroun / Parish Our Lady of the graces and St. Marthe of Yaounde), the faithful happily united around their pastor, Dayroyo Marie-Parfait (Father Perfect Marie). *
The faithful thank their brothers and sisters in France for receiving the medicines sent
* The local Superior, Father Charbel Rd (Mbeng Alphonse) will soon, if not already down on the ground to help solve the problem that apparently poses for the entire community following the significant misconduct though deprived of a Christian. Please pray for the person, the village, the priest sent to this village and the local Superiors (Father Charbel (Alphonse Mbeng), Provincial Prior and Father Sebastien Vice Provincial)
En souvenirs photographiques :
-Une visite pastorale du Prieur Provincial le Rd Père Charbel-Marie (Alphonse Mbeng) du Cameroun au relais paroissial de Mimboman ( Dédié à Marie,Rose Mystique/ Responsable : Père Ephrem)
-Vue de la "Case Chapelle" édifiée en son Village natal par Dayroyo Charbel-Marie . Une belle construction pour ce "relais paroissial" de la paroisse de Yaoundé.
-Vue du hangar très laid, indigne de notre Paroisse en la Capitale politique du Pays (Capitale économique du Cameroun :Douala ), construit devant la Chapelle du Monastère à Yaounde pour abriter des fidèles,Dieu merci, trop nombreux pour être contenus à l'intérieur de l'eglise du Monastère (On ne se rend pas bien compte à partir des photos communiquées ).
NOUS AIDEREZ-VOUS À OFFRIR À YAOUNDÉ UNE ÉGLISE DIGNE ET SUFFISAMMENT GRANDE ?
Pour toute offrande, déduction de vos impôts sur le à raison de 60% de votre don . Chèques à l'ordre de Métropolie ESOF.
Merci
ADRESSE: Métropolie de l'Eglise Syro-Orthodoxe Francophone Mar Thoma, Monastère Syriaque N-D de Miséricorde Brévilly,4 61300 CHANDAI ----------------------------- In photographic memories:
-A pastoral visit of the Prior Provincial Father Charbel-Marie (Alphonse Mbeng) of Cameroon to the parish relay of Mimboman (Dedicated to Mary, Rose Mystique / Responsible: Father Ephrem)
-View of the "Case Chapel" built in his native village by Dayroyo Charbel-Marie. A beautiful construction for this "parish relay" of the parish of Yaounde.
-View of the hangar very ugly, unworthy of our parish in the political capital of the country (economic capital of Cameroon: Douala), built in front of the Chapel of the Monastery in Yaounde to shelter the faithful, thank God, too many to be contained in the Inside the Monastery Church (We do not realize from the photos provided).
WILL YOU HELP PROVIDE YAOUNDE A GOOD AND SUFFICIENTLY GREAT CHURCH?
For any offering, deduct your taxes on it at the rate of 60% of your donation. Checks payable to Metropolitan ESOF.
Thank you
ADDRESS: Metropolis of the Syro-Orthodox Francophone Church Mar Thoma, Syriac Monastery N-D of Mercy Brévilly, 4 61300 CHANDAI ------------------------------- Nas memórias fotográficas:
-A Prior Provincial da visita pastoral Rd Pai Charbel-Marie (Alphonse Mbeng) dos Camarões no revezamento paróquia Mimboman (dedicado a Maria, Rosa Mística / Representante: Pai Ephrem)
- Vista da "Capela Case" construída em sua aldeia natal pelo Dayroyo Charbel-Marie. Uma bela construção para este "retiro paroquial" da paróquia de Yaoundé.
-Vue o galpão feio, indigna de nossa paróquia na política de capital do país (capital económica dos Camarões: Douala), construído em frente da Capela de Mosteiro em Yaounde para abrigar os fiéis, Deus obrigado, numerosos demais para ser contido em Dentro da igreja do mosteiro (Nós não percebemos das fotos fornecidas).
VOCÊ AJUDARÁ A FORNECER A YAOUNDE UMA IGREJA BOA E SUFICIENTEMENTE GRANDE?
Para qualquer oferta, deduza seus impostos sobre ela a uma taxa de 60% de sua doação. Cheques pagáveis ao ESOF Metropolitano.
obrigado
ENDEREÇO: Metrópole da Igreja Francofona Siro-Ortodoxa Mar Thoma, Mosteiro Siríaco N-D da Misericórdia Brévilly, 4 61300 CHANDAI
Retraites: Bruxelles pousse la France à faire des milliards d’euros d’économies
La Commission européenne s’appuie sur une étude du think tank libéral Ifrap pour inciter la France à réduire ses dépenses de retraite. Plus de 5 milliards d’euros pourraient être dégagés sur les régimes des fonctionnaires en 2022.
Et si Emmanuel Macron profitait de la grande réforme des retraites à points de 2019 pour revoir à la baisse les dépenses de pension ? C’est en tout cas ce que lui suggère la Commission européenne. La France doit « uniformiser progressivement les règles des différents régimes de retraite pour renforcer l’équité et la soutenabilité de ces régimes », écrit-elle dans une récente « Recommandation » qui doit être validée le 13 juillet par les ministres des Finances européens.
« Si les réformes des retraites déjà adoptées devraient réduire le ratio des dépenses publiques de retraite à long terme, relève-t-elle, un système de retraites plus simple et plus efficient générerait des économies plus importantes et contribuerait à atténuer les risques qui pèsent sur la soutenabilité des finances publiques à moyen terme. »
Pour appuyer sa requête, la Commission européenne cite une « étude récente » qui estime qu’un alignement des régimes de retraite des fonctionnaires sur ceux du privé « réduirait de plus de 5 milliards d’euros les dépenses publiques à l’horizon 2022 ». Une mention qui a surpris nombre de spécialistes des retraites à Matignon et Bercy. « J’ai cherché mais je ne vois absolument pas de quelle étude il s’agit, confie un haut fonctionnaire. Il est d’ailleurs étonnant que Bruxelles ne cite pas sa source. » En 2015, les statisticiens du Conseil d’orientation des retraites avaient conclu, eux, que « les règles du privé s’avéreraient plus avantageuses que celles du public pour un peu plus de la moitié des fonctionnaires nés en 1958 et moins avantageuses pour l’autre moitié ».
Trouver d’ici 2022 environ 26 milliards d’économies
Vérification faite, c’est une étude du think tank libéral Ifrap, dirigé par l’essayiste Agnès Verdier-Molinié, qui a inspiré les hauts fonctionnaires de Bruxelles. Publiée en février, l’étude est intitulée « Trajectoire 2018-2022 : baisser les dépenses pour alléger la pression fiscale sur les entreprises ». Elle préconise que la France trouve d’ici 2022 environ 26 milliards d’économies supplémentaires par rapport à l’effort déjà prévu par le gouvernement. Et, sur ce total, la réforme des retraites rapporterait quelque 5,25 milliards d’euros.
Dans le détail, l’Ifrap suggère une série de mesures qui ciblent toutes les fonctionnaires. La première consiste à supprimer purement et simplement les possibilités de départs à la retraite anticipée dont bénéficient actuellement plus de 700.000 fonctionnaires. Parmi eux, il y a 128.000 policiers, 27.000 gardiens de prison, 40.000 pompiers ou 393.000 infirmières et aides soignantes d’hôpitaux. Une piste explosive socialement…
Alors que ces personnels peuvent en théorie partir à la retraite dès 52 ou 57 ans – mais partent en réalité à 58 ans et 9 mois en moyenne pour cotiser le nombre d’années nécessaires à une pension suffisante -, le think tank propose de les basculer dans le régime commun. Leur âge légal de départ à la retraite serait donc repoussé à 62 ans, sauf aménagements liés à la pénibilité de leur travail comme dans le privé. D’après les calculs de l’Ifrap, la mesure rapporterait quelque 2,1 milliards d’euros.
Vraie-fausse « économie » de 2,8 milliards d’euros
Deuxième proposition : l’extension des cotisations salariales payées par les fonctionnaires à leurs primes, actuellement non soumises à cotisations. Là encore, la piste est loin d’être anodine. Elle se traduirait par une baisse non négligeable du pouvoir d’achat des fonctionnaires puisque les primes représentent en moyenne 22 % de leur rémunération totale. Une vraie-fausse « économie » de 2,8 milliards d’euros qui découlerait en fait d’une augmentation des prélèvements obligatoires supportés par les fonctionnaires. A cela, le think tank ajoute l’alignement sur le privé de la majoration de retraite pour trois enfants et des dispositifs de réversion, qui généreraient à elles deux quelque 300 millions d’euros d’économies.
Sur le fond, difficile de savoir si le gouvernement reprendra à son compte de telles mesures dans sa réforme des retraites de 2019 et cherchera à réaliser des économies. « Cette réforme se fera à enveloppe constante », a assuré le 30 mai dans Le Parisien Jean-Paul Delevoye, le Haut-commissaire chargé du dossier. « Nous dépensons beaucoup pour notre système de retraite, souvent plus que nos voisins, a de son côté déclaré Emmanuel Macron le 13 juin, mais nous n’avons, malgré toutes les réformes de nos prédécesseurs, pas réussi à installer totalement la viabilité de ce système dans la durée. »
Une chose est certaine, les recommandations de la Commission européenne « sont toujours le résultat d’échanges nourris avec les gouvernements nationaux et d’un savant dosage entre ce qu’ils nous proposent et ce que nous préconisons », observe un habitué des négociations européennes. L’avenir dira de quel côté penche la balance pour les régimes de retraite des fonctionnaires.
(Fresque des Sts Pères Interieur droit du Choeur de l'Eglise du Monastère Syriaque)
Messe journalières en semaine à 10h30
Tous les dimanches, Messe à 10h30et permanence constante de prêtres pour CATÉCHISME, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
(Liturgie de St Jacques dite "d'Antioche-Jérusalem")
Le 30 de chaque mois, Permanence pastorale de 8h30 à 19h (Sur R.D.V) chez Mme Henriette Marie, 43, Rue de la Marne à CAEN. Tel 06.33.98.52.54 . (Possibilité de rencontrer un prêtre pour Catéchisme, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
NANTES:
*Groupe de prières et "relais paroissial" St Charbel
18h, Messe le 2ème jeudi de chaque moiset permanence régulière d'un prêtre Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) de 9h à 17h(06.48.84.94.89).
ANGOULÊME (Jauldes):
*Paroisse N-D de Toutes Grâces/St Ubald
MAISON NOTRE-DAME 66,Place Schoeneck, LE BOURG 16560 JAULDES.
Tel:05.45.37.35.13 *Messe les 2èmes et 4èmes Dimanches de Chaque mois à 10h30suivies d'un repas fraternel et de la réception des fidèles.
*Possibilité de prendre Rendez-vous avec le prêtre la semaine suivant le 2éme dimanche du mois ainsi que pour les visites aux malades et à domicile.
Permanence régulière d'un prêtre pour CATECHISME, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
PERIGUEUX (La Chapelle Faucher):
*Paroisse Notre-Dame de la Très Sainte Trinité
Notre-Dame de la Ste Trinité et St Front ERMITAGE ST COLOMBAN* Puyroudier (Rte d'Agonac) 24530LA CHAPELLE FAUCHER.
Tel:05.45.37.35.13
*Messe le 4ème samedi de Chaque mois à 10h30et permanence régulière d'un prêtre pour CATECHISMES, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
LOURDES:
*"Relais paroissial St Gregorios de Parumala"
*Messse le 5ème dimanche du mois ( en fonction des besoins des fidèles) à 10h30
20 Rte de Pau
CAMEROUN:
Pour obtenir les adresses du Monastère de YAOUNDE,
des paroisses et "relais paroissiaux de Doula, Yaoundé, Elig Nkouma, Mimboman, Bertoua, Monabo, veuillez les demander au Monastère Métropolitain:
Monastère Syriaque N-D de Miséricorde Brévilly 61300 CHANDAI.
"L'avenir est dans la paix, il n'y a pas d'avenir sans paix"
"The future is in peace, there is no future without peace"
"O futuro está em paz, não há futuro sem paz"
(SS Ignatius Aprem II)
Note:
Eglise locale fondée grâce à l'élan missionnaire de l'Eglise Syrienne Orthodoxe des Indes(Malankare), notre Eglise Syro-Orthodoxe- Francophone est une Eglise Orthodoxe-Orientale.
Le Monastère Syriaque est un Centre de Prières pour l'unité des Eglises Apostoliques, l'unanimité du Témoignage Chrétien et la paix du monde.
¤ Permanence pastorale en diverses région de France pour : Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)…
Pour les services pastoraux rendus au Monastère comme l'accueil des fidèles pour de courts séjours ou des retraites spirituelles, nous n'exigeons aucun fixe.
Les offrandes sont libres et nonobligatoires.Touteoffrande fait cependant l'objet d'une déduction de votre revenu imposable à raison de 66°/° de votre revenu). Libeller tous C B à l'ordre suivant " Métropolie E S O F "
Pour l' Aumônerie Syro-Orthodoxe Francophone des Africains vivant en France, contacter les Responsables: Mor Philipose-Mariam (06.48.89.94.89 ), Métropolite et Soeur Marie-Andre M'Bezele, moniale ( 06.17.51.25.73).
Igreja local fundada pelo impulso missionário da Igreja Síria Ortodoxa da Índia (Malankara), nossa Igreja siro-Orthodoxe- Francophone é uma igreja ortodoxa-Leste.
O Mosteiro siríaco é um Centro de oração para a unidade das Igrejas Apostólicas, unanimidade de Christian Witness ea paz mundial.
¤ Permanência pastoral em vários região da França para: Acompanhamentos espirituais, sacramentos Sacramental (bênçãos, orações de libertação ou exorcismo, orações de cura) ...
Para o serviço pastoral para o Mosteiro como a casa dos fiéis para estadias curtas ou retiros espirituais, não requer qualquer fixo.
As ofertas são livres e nãoobligatoires.Touteoferecendo ainda sido deduzido do seu rendimento tributável à alíquota de 66 ° / ° de sua renda). Denominar todas C B na seguinte ordem "S S M E Metropolis"
Para os sírio-ortodoxos Capelania francófonos africanos que vivem na França, entre em contato com as cabeças: Mor Philipose Mariam (06.48.89.94.89), Metropolitan e irmã Marie-Andre M'Bezele, freira (06.17.51.25.73).
A local church founded on the missionary impulse of the Syrian Orthodox Church of India (Malankare), our Syro-Orthodox-Francophone Church is an Eastern Orthodox Church.
The Syriac Monastery is a Center of Prayer for the unity of the Apostolic Churches, the unanimity of the Christian Testimony and the peace of the world.
¤ Pastoral permanence in various regions of France for: Spiritual accompaniments, Sacraments, Sacramentals (Blessings, Prayers of deliverance or exorcism, prayers of healing) ...
For the pastoral services rendered to the Monastery as the reception of the faithful for short stays or spiritual retreats, we do not require any fixed.
The offerings are free and not obligatory. However, any taxable income is deducted from your taxable income of 66% of your income. Write all C B
CONFIER DES INTENTIONS DE PRIÈRE AU MONASTÈRE , C'EST SIMPLE...
Le Moine ne rompe pas la solidarité profonde qui doit unir entre eux les frères humains… Ils se conforment aux sentiments du Christ Tête de l'Eglise, le "premier né d'une multitude de frères" et à Son amour pour tous les hommes…
A travers les prières monastiques, c’est toute l’Eglise qui prie et intercède pour l’humanité.
Le savez-vous ? Chacun de vous, dans le secret de son existence, participe à cet immense courant de prière souterraine qui irrigue le monde…
Si vous le souhaitez, vous pouvez nous confier une intention de prière en l'envoyant à l'adresse suivante:
--------------------
DÃO AS INTENÇÕES DE ORAÇÃO mosteiro é SIMPLES ...
O monge não quebrar a profunda solidariedade que deve unir-los irmãos humanos ... Eles devem respeitar os sentimentos de Cristo Cabeça da Igreja, o "primogênito entre muitos irmãos" e seu amor por todos os homens ...
Através das orações monásticas é toda a Igreja que reza e intercede pela humanidade.
Você sabia? Cada um de vocês, no segredo da sua existência, participa nesta oração subterrâneo imenso poder que irriga o mundo ...
Se desejar, você pode confiar uma intenção de oração, enviando-o para o seguinte endereço:
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GIVING INTENTIONS OF PRAYER TO THE MONASTERY IS SIMPLE...
The Monk does not break the deep solidarity that must unite the brothers
Human beings ... They conform to the sentiments of Christ Head of the Church, the
"The firstborn of a multitude of brothers" and His love for all men ...
Through monastic prayers, the whole Church prays and intercedes for
humanity.
Do you know ? Each of you, in the secret of his existence, participates in this
Immense current of underground prayer that irrigates the world ...
If you wish, you can entrust us with an intention of prayer by sending it to the following address:
Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,
Brévilly
61300 CHANDAI.
Tel: 02.33.24.79.58
ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonnées)
Courriel:asstradsyrfr@laposte.net
Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/ maliath taibootho/ full of grace/ moran a'amekh - the Lord is with thee/ mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/ and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ yoldath aloho/ Mother of God/ saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ Amîn Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn
MERCREDI 15 AOÛT, Grand Pèlerinage annuel de l'Assomption à Notre-Dame de Miséricorde
10h30, Messe suivie de la Procession Mariale et du Renouvellement de la Consécration de la France à Marie Reine et, par elle, au Christ son Roi. Repas fraternel et programme habituel(Prière pour l'unité,réception des fidèles...)
Monastère Syriaque N-D de Miséricorde Brévilly 61300 CHANDAI.
Tel: 02.33.24.79.58
Courriel:asstradsyrfr@laposte.net
Fête de l’Assomption de la Sainte Vierge Marie Patronne principale et Reine de la France
C’est la principale fête mariale.
En France elle revêt un caractère particulier : elle est notre fête patronale car Marie est la patronne principale de notre pays.
Depuis le vœu accompli par le roi Louis XIII en 1638 le Royaume de France est consacrée à Marie.
Le roi Louis XIII a voulu la remercier parce que la reine de France était enceinte du futur Louis XIV alors qu’elle n’a pas pu avoir d’enfant pendant vingt-trois ans.
La fête a été supprimée par la Révolution française et rétablie par Bonaparte.
Certes, la République laïque ne reconnaît pas cette date comme fête patronale car la fête nationale du 14 juillet l’a remplacé.
Mais le jour est tout de même une fête religieuse chômée au même titre que Noël, l'Ascension et la Toussaint, ce qui permet aux chrétiens de célébrer la fête patronale de la France comme il se doit
Ce 15 août, Fête de l’Assomption de la Vierge Marie Les chrétiens célèbrent donc la montée au ciel sans avoir connu la corruption de la mort. " Au terme de sa vie terrestre l’Immaculée Mère de Dieu a été élevée en son corps et son âme à la gloire du ciel". (Pie XII) Cette fête est une célébration de la résurrection de Jésus dont l’Assomption de Marie n’est qu’une extension. Marie est la première créature humaine à entrer avec son corps et son âme dans la gloire de Dieu, la très Sainte Vierge Marie préfigure notre propre destinée. La Vierge Marie, mère de Jésus-Christ, se serait établie sur la fin de sa vie à Éphèse, en Asie mineure, accompagnée de l'apôtre Jean. La maison qui l'aurait abritée (la « Maison de la Vierge ») attire encore de nombreux pèlerins. À sa mort, selon une tradition ecclésiale qui remonte au concile d'Éphèse (431), la Vierge aurait été immédiatement élevée au ciel. Cette Assomption (d'un mot latin qui signifie enlever ou élever) est commémorée depuis lors tous les 15 août. La fête de l’assomption est aussi célébrée avec ferveur par l'Église orthodoxe sous le nom de Dormition.
Dormition et transfert au ciel de notre Toute-glorieuse Souveraine la Mère de Dieu et toujours Vierge Marie
Si dans la mort corporelle se soit endormie la Porte du salut, cela ne m'étonne , si toi, ô Verbe et Créateur du monde t'y soumets. Bien que morte le quinze, elle vit à jamais. Par ses saintes prières, ô notre Dieu, aie pitié de nous et sauve-nous. Amen.
Tropaire t.1
Dans ton enfantement tu demeures Vierge ; dans ta dormition tu n’abandonnes pas le monde, ô Mère de Dieu !// Tu passes de la vie à la Vie,+ étant Mère de la Vie,/ et par tes prières tu libères nos âmes de la mort !
Hypakoi, t. 5
D'âge en âge nous te disons bienheureuse, * Vierge Mère de Dieu: * en toi le Christ notre Dieu infini * a bien voulu se laisser limiter; * et nous avons le bonheur * de posséder ta constante protection: * jour et nuit tu intercèdes pour tous * et par tes prières est affermie * la force du peuple chrétien, * Aussi dans nos hymnes nous te chantons: * Réjouis- toi, Pleine de grâce, le Seigneur est avec toi.
Kondakion, t. 2
La Mère de Dieu qui jamais ne se lasse d'intercéder pour nous * et dont la protection ne pouvait cesser d'être notre espérance * ne se laissa vaincre par la mort ni le tombeau, * puisqu'elle est la Mère de la Vie et qu'elle a rejoint la Source de la vie: * celui qui demeura dans son sein virginal.
Ikos
Sauveur, entoure mon cœur, pour que j'ose célébrer * ce rempart du monde, ta Mère immaculée; * puissent mes paroles avoir la force d'une tour * et mes pensées acquérir puissance et gravité; * de ceux qui les présentent avec foi * tu exauces les demandes en tout temps; * donne-moi donc une langue, des expressions, * des pensées dont je n'aie pas à rougir; * car tout don qui nous éclaire vient de toi, * illuminateur de nos âmes, Seigneur * qui demeuras dans le sein virginal.
Exapostilaire, t. 3
Saints Apôtres du Christ revenus des confins de l'univers * pour vous réunir en ce lieu, * portez mon corps au jardin de Gethsémani * et le mettez dans le tombeau; * et toi mon Fils et mon Dieu, * reçois mon souffle et mon esprit.
Laudes, t. 4
En ta glorieuse Dormition * se réjouissent les cieux, * d'allégresse exultent les armées angéliques; * toute la terre est dans la joie, * te chantant l'hymne des adieux, * Mère du Maître de l'univers, * très-sainte Vierge inépousée * qui as sauvé le genre humain de l'ancestrale condamnation.
Des confins de l'univers * sur un signe divin * les Apôtres choisis accoururent pour t'ensevelir; * et te voyant portée de terre vers le ciel, * ils t'adressèrent dans la joie la parole de Gabriel: * Réjouis-toi qui fus le char de l'entière divinité, * réjouis-toi, unique Vierge ayant uni * par ton enfantement la terre avec les cieux.
Toi qui as enfanté la Vie, * par ta sainte Dormition * tu as franchi les frontières de la vie immortelle; * les Anges, les Principautés, les Vertus, * les Prophètes, les Apôtres et toute la création * te firent cortège, tandis que ton Fils a reçu * ton âme pure en ses mains immaculées, * Vierge Mère et divine Epouse.
Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit, maintenant et toujours et dans les siècles des siècles. Amen, t. 6
Pour ton immortelle Dormition, * Mère de Dieu et de la Vie, * les nuées portèrent les Apôtres dans les airs; * eux qui étaient dispersés dans l'univers, * ils furent rassemblés en un seul chœur * auprès de ton corps immaculé * et l'ensevelirent avec respect, * chantant mélodieusement les paroles de Gabriel: * Réjouis-toi, Pleine de grâce, * Vierge Mère inépousée, * le Seigneur est avec toi! * Avec eux intercède auprès de ton Fils et notre Dieu, * pour qu'il sauve nos âmes.
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LA DORMITION DE LA MÈRE DE DIEU
par Vladimir Lossky
« La fête de la Dormition de la Mère de Dieu, connue en Occident sous le nom de l’Assomption, comprend deux moments distincts mais inséparables pour la foi de l’Église : la mort* et l’ensevelissement de la Mère de Dieu ; et sa résurrection et son ascension .
L’Orient orthodoxe a su respecter le caractère mystérieux de cet événement qui, contrairement à la résurrection du Christ, n’a pas fait l’objet de la prédication apostolique.
En effet, il s’agit d’un mystère qui n’est pas destiné aux oreilles de " ceux de l’extérieur ", mais se révèle à la conscience intérieure de l’Église.
Pour ceux qui sont affermis dans la foi en la résurrection et l’ascension du Seigneur, il est évident que, si le Fils de Dieu avait assumé sa nature humaine dans le sein de la Vierge, celle qui a servi à l’Incarnation devait à son tour être assumée dans la gloire de son Fils ressuscité et monté au ciel. Ressuscite, Seigneur, en ton repos, toi et l’Arche de ta sainteté (Ps 131, 8, qui revient à maintes reprises dans l’office de la Dormition).
" Le cercueil et la mort " n’ont pas pu retenir " la Mère de la vie " car son Fils l’a transférée dans la vie du siècle futur (kondakion). La glorification de la Mère est une conséquence directe de l’humiliation volontaire du Fils : le Fils de Dieu s’incarne de la Vierge Marie et se fait " Fils de l’homme ", capable de mourir, tandis que Marie, en devenant Mère de Dieu, reçoit la " gloire qui convient à Dieu " (vêpres, ton 1) et participe, la première parmi les êtres humains, à la déification finale de la créature.
" Dieu se fit homme, pour que l’homme soit déifié " (S. Irénée, S. Athanase, S. Grégoire de Nazianze, S. Grégoire de Nysse [PG 7, 1120 ; 25, 192 ; 37, 465 ; 45, 65] et d’autres Pères de l’Église).
La portée de l’incarnation du Verbe apparaît ainsi dans la fin de la vie terrestre de Marie. " La Sagesse est justifiée par ses enfants " : la gloire du siècle à venir, la fin dernière de l’homme est déjà réalisée, non seulement dans une hypostase divine incarnée, mais aussi dans une personne humaine déifiée.
Ce passage de la mort à la vie, du temps à l’éternité, de la condition terrestre à la béatitude céleste, établit la Mère de Dieu au-delà de la résurrection générale et du jugement dernier, au-delà de la parousie qui mettra fin à l’histoire du monde.
La fête du 15 août est une seconde Pâque mystérieuse, puisque l’Église y célèbre, avant la fin des temps, les prémices secrètes de sa consommation eschatologique.
Ceci explique la sobriété des textes liturgiques qui laissent entrevoir, dans l’office de la Dormition, la gloire ineffable de l’Assomption de la Mère de Dieu (l’office de " l’Ensevelissement de la Mère de Dieu ", 17 août, d’origine très tardive, est au contraire trop explicite : il est calqué sur les matines du Samedi saint (" Ensevelissement du Christ ").
La fête de la Dormition est probablement d’origine hiérosolymitaine.
Cependant, à la fin du IVe siècle, Éthérie ne la connaît pas encore. On peut supposer néanmoins que cette solennité n’a pas tardé à apparaître, puisque au VIe siècle, elle est déjà répandue partout : S. Grégoire de Tours est le premier témoin de la fête de l’Assomption en Occident (De gloria martyrum, Miracula I, 4 et 9 - PL 71, 708 et 713), où elle était célébrée primitivement en janvier. de missel de Bobbio et le sacramentaire gallican indiquent la date du 18 janvier.) Sous l’empereur Maurice (582-602) la date de la fête est définitivement fixée au 15 août (Nicéphore Calliste, Hist. Eccles., 1.XVII, c. 28 - PG, 147, 292).
Parmi les premiers monuments iconographiques de l’Assomption, il faut signaler le sarcophage de Santa Engracia à Saragosse (début du IVe siècle) avec une scène qui est très probablement celle de l’Assomption (Dom Cabrol, Dict. d’archéol. chrét., I, 2990-94) et un relief du VIe siècle, dans la basilique de Bolnis-Kapanakéi, en Georgie, qui représente l’Ascension de la Mère de Dieu et fait pendant au relief avec l’Ascension du Christ (S. Amiranaschwili, Histoire de l’art géorgien (en russe, Moscou, 1950), p. 128 ).
Le récit apocryphe qui circulait sous le nom de S. Méliton (IIe siècle), n’est pas antérieur au commencement du V siècle (PG, 5, 1231-1240).
Il abonde en détails légendaires sur la mort, la résurrection et l’ascension de la Mère de Dieu, informations douteuses que l’Église prendra soin d’écarter.
Ainsi, S. Modeste de Jérusalem (+634), dans son " Éloge à la Dormition " - (Encomium, PG 86, 3277-3312), est très sobre dans les détails qu’il donne : il signale la présence des Apôtres " amenés de loin, par une inspiration d’en haut ", l’apparition du Christ, venu pour recevoir l’âme de sa Mère, enfin, le retour à la vie de la Mère de Dieu, " afin de participer corporellement à l'incorruptible éternelle de celui qui l’a fait sortir du tombeau et qui l’a attirée à lui, de la manière que lui seul connaît ". (Patrologia Orientalis, XIX, 375-438.)
L’homélie de S. Jean de Thessalonique (+vers 630) ainsi que d’autres homélies plus récentes – de S. André de Crète, de S. Germain de Constantinople, de S. Jean Damascène (PG 97, 1045-1109 ; 98, 340-372 ; 96, 700-761) – sont plus riches en détails qui entreront aussi bien dans la liturgie que dans l’iconographie de la Dormition de la Mère de Dieu.
Le type classique de la Dormition dans l’iconographie orthodoxe se borne, habituellement, à représenter la Mère de Dieu couchée sur son lit de mort, au milieu des Apôtres, et le Christ en gloire recevant dans ses bras l’âme de sa Mère.
Cependant, quelquefois, on a voulu signaler également le moment de l’assomption corporelle : on y voit alors, en haut de l’icône, au-dessus de la scène de Dormition, la Mère de Dieu assise sur un trône dans la mandorle, que les anges portent vers les cieux.
Sur notre icône (Paris, XXe siècle), le Christ glorieux entouré de mandorle regarde le corps de sa Mère étendu sur un lit de parade. Il tient sur son bras gauche une figurine enfantine revêtue de blanc et couronnée de nimbe : c’est " l’âme toute lumineuse " (vêpres, stichère du ton 5) qu’il vient de recueillir.
Les douze Apôtres " se tenant autour du lit, assistent avec effroi " (vêpres, stichère du ton 6) au trépas de la Mère de Dieu.
On reconnaît facilement, au premier plan, S. Pierre et S. Paul, des deux côtés du lit. Sur quelques icônes, on représente en haut, dans le ciel, le moment de l’arrivée miraculeuse des Apôtres, rassemblés " des confins de la terre sur les nues " (kondakion, ton 2).
La multitude d’anges présents à la Dormition forme parfois une bordure extérieure autour de la mandorle du Christ. Sur notre icône, les vertus célestes qui accompagnent le Christ sont signalées par un séraphin à six ailes.
Trois évêques nimbés se tiennent derrière les Apôtres.
Ce sont S. Jacques, " le frère du Seigneur ", premier évêque de Jérusalem, et deux disciples des Apôtres : Hiérothée et Denys l’Aréopagite, venus avec S. Paul (kondakion, ton 2 ; voir le passage des Noms divins du Pseudo-Denys sur la Dormition : III, 2 PG, 3, 681).
Au dernier plan, deux groupes de femmes représentent les fidèles de Jérusalem qui, avec les 633 évêques et les Apôtres, forment le cercle intérieur de l’Église où s’accomplit le mystère de la Dormition de la Mère de Dieu.
L’épisode d’Athonius, un Juif fanatique qui eut les deux mains coupées par le glaive angélique, pour avoir osé toucher à la couche funèbre de la Mère de Dieu, figure sur la plupart des icônes de la Dormition.
La présence de ce détail apocryphe dans la liturgie (tropaire de l’ode 3) et l’iconographie de la fête doit rappeler que la fin de la vie terrestre de la Mère de Dieu est un mystère intime de l’Église qui ne doit pas être exposé à la profanation : inaccessible aux regards de ceux de l’extérieur, la gloire de la Dormition de Marie ne peut être contemplée que dans la lumière intérieure de la Tradition. »
(Vladimir Lossky * Article paru dans Le Messager de l’Exarcat du Patriarcat russe en Europe occidentale, n° 27, juillet-septembre 1957.)
* Comprenez mort d'amour, autrement dit "dormition"
« Je voudrais m’arrêter sur un aspect de l’affirmation dogmatique, là où l’on parle d’assomption à la gloire céleste.
Aujourd’hui, nous sommes tous bien conscients qu’à travers le terme « ciel », nous ne nous référons pas à un lieu quelconque de l’univers, à une étoile ou à quelque chose de semblable : non.
Nous nous référons à quelque chose de beaucoup plus grand et difficile à définir avec nos concepts humains limités.
Par ce terme « ciel », nous voulons affirmer que Dieu, le Dieu qui s’est fait proche de nous, ne nous abandonne pas même dans la mort et au-delà de celle-ci, mais qu’il a une place pour nous et qu’il nous donne l’éternité ; nous voulons affirmer qu’en Dieu, il y a une place pour nous.
Pour comprendre un peu mieux cette réalité, considérons notre vie elle-même : nous faisons tous l’expérience qu’une personne, lorsqu’elle est morte, continue à subsister d’une certaine manière dans la mémoire et dans le cœur de ceux qui l’ont connue et aimée.
Nous pourrions dire qu’en eux continue à vivre une partie de cette personne, mais elle est comme une « ombre » car cette survie dans le cœur des personnes qui lui sont proches est elle aussi destinée à finir. Dieu, en revanche, ne passe jamais et nous existons tous en vertu de son amour.
Nous existons parce qu’il nous aime, parce qu’il a pensé à nous et nous a appelés à la vie.
Nous existons dans les pensées et dans l’amour de Dieu.
Nous existons dans toute notre réalité, pas seulement dans notre « ombre ».
Notre sérénité, notre espérance, notre paix se fondent précisément sur cela : en Dieu, dans sa pensée et dans son amour, ne survit pas seulement une « ombre » de nous-mêmes, mais en Lui, dans son amour créateur, nous sommes gardés et introduits avec toute notre vie, avec tout notre être dans l’éternité.
C’est son Amour qui vainc la mort et nous donne l’éternité, et c’est cet amour que nous appelons « ciel » :
Dieu est si grand qu’il a une place également pour nous. Et l’homme Jésus, qui est en même temps Dieu, est pour nous la garantie que l’être-homme et l’être-Dieu peuvent exister et vivre éternellement l’un dans l’autre.
Cela veut dire que de chacun de nous ne continuera pas à exister seulement une partie qui nous est, pour ainsi dire, arrachée, alors que d’autres parties se perdent ; cela veut plutôt dire que Dieu connaît et aime tout l’homme, ce que nous sommes.
Et Dieu accueille dans son éternité ce qui, à présent, dans notre vie, faite de souffrance et d’amour, d’espérance, de joie et de tristesse, croît et devient.
Tout l’homme, toute sa vie est prise par Dieu et, purifiée en Lui, elle reçoit l’éternité. Chers amis ! Je pense qu’il s’agit d’une vérité qui doit nous remplir d’une joie profonde.
Le christianisme n’annonce pas seulement un quelconque salut de l’âme dans un au-delà imprécis, dans lequel tout ce qui, en ce monde, a été précieux et cher pour nous serait effacé, mais il promet la vie éternelle, « la vie du monde à venir » : rien de ce qui est précieux et cher pour nous ne sera perdu, mais trouvera sa plénitude en Dieu.
Tous les cheveux de notre tête sont comptés, dit un jour Jésus (cf. Mt 10, 30).
Le monde définitif sera également l’accomplissement de cette terre, comme l’affirme saint Paul : la création sera elle-même « libérée de l’esclavage, de la dégradation inévitable, pour connaître la liberté, la gloire des enfants de Dieu » (Rm 8, 21).
On comprend alors que le christianisme donne une profonde espérance en un avenir lumineux et ouvre la voie à la réalisation de cet avenir.
Nous sommes appelés, précisément en tant que chrétiens, à édifier ce monde nouveau, à travailler afin qu’il devienne un jour « le monde de Dieu », un monde qui dépassera tout ce que nous pourrons construire nous mêmes.
En Marie élevée au ciel, participant pleinement à la Résurrection du Fils, nous contemplons la réalisation de la créature humaine selon le « monde de Dieu ».
Prions le Seigneur afin qu’il nous fasse comprendre combien toute notre vie est précieuse à ses yeux ; qu’il renforce notre foi dans la vie éternelle ; qu’il fasse de nous des hommes d’espérance, qui œuvrent pour construire un monde ouvert à Dieu, des hommes pleins de joie, qui savent apercevoir la beauté du monde à venir au milieu des difficultés de la vie quotidienne et qui vivent, croient et espèrent dans cette certitude.
« Je Te salue Marie, Mère de tous nos désirs d’être heureux.
Tu es la terre qui dit oui à la vie. Tu es l’humanité qui consent à Dieu.
Tu es le fruit des promesses du passé et l’avenir de notre présent.
Tu es la foi qui accueille l’imprévisible, Tu es la foi qui accueille l’invisible.
Je Te salue Marie, Mère de toutes nos recherches de ce Dieu imprévu.
Du Temple où Tu Le perds, au Calvaire où Il est pendu, Sa route Te semble folle.
Tu es chacun de nous qui cherche Jésus, sans bien comprendre sa vie et ses paroles.
Tu es la mère des obscurités de la foi, Toi qui observes tous les événements dans Ton cœur, creuses et médites tous nos « pourquoi ? » et qui fais confiance en l’avenir de Dieu, ton Seigneur.
Je Te salue Marie, Mère de toutes nos souffrances.
Tu es la femme debout au pied de l’homme crucifié, Tu es la Mère de tous ceux qui pleurent l’innocence massacrée et le prisonnier torturé.
Je Te salue Marie, Mère de Jésus et du disciple qui a cru.
Tu es la Mère des hommes et de l’Église, Tu es au carrefour de l’histoire du salut que Dieu invente depuis Abraham et Moïse.
Je Te salue Marie, Mère de toutes nos pentecôtes.
Tu es, avec les apôtres, l’Église qui prie et accueille les dons du Saint-Esprit.
Je Te salue Marie, Mère de toutes nos espérances.
Tu es l’Étoile radieuse d’un peuple en marche vers Dieu. Tu es l’Annonce de l’humanité transfigurée, Tu es la Réussite de la création que Dieu a faite pour son éternité. Amen. »
Commentaires de l'Ecriture par Saint Théophane le reclus. 15 août :
Dormition de la Très Sainte Mère de Dieu
Philippiens 2:5-11 ; Luc 10:38-42, 11:27-28
Marie a choisi la bonne part (Luc 10:42). La Dormition de la Mère de Dieu représente la bonne fin d'un tel choix. Le Sauveur Lui-même a reçu son âme dans Ses bras à sa Dormition. Beaucoup de saints ont été rendus dignes de la même chose. De diverses manières et degrés, tous ceux qui choisissent la bonne part ont cette même expérience. Au moment où ce choix est fait, les saints prévoyaient cette fin par l'espoir, et même en ressentaient une certaine mesure, mais viennent ensuite les labeurs, la lutte et le fait de se forcer, enveloppant d'un linceul la voie choisie. La bonne fin de cette bonne partie reste comme une étoile qui guide. C'est comme une lumière lointaine qui brille pour un voyageur qui est rattrapé par les ténèbres. L'espoir est le stimulateur de l'énergie et le mainteneur de la patience et de la constance dans ce qui était commencé, tandis que l'espérance elle-même est forte à travers la foi. Les gens font leur choix en fonction de la foi, et par l'espoir ils sont fermes dans leur choix, tandis que par la patience ils atteignent cette bonne fin.
Version française Claude Lopez-Ginisty d'après St Theophan the Recluse Thoughts for each Day of the Year St Herman of Alaska, Platina, CA USA 2010 +
Dormition et transfert au ciel de notre toute glorieuse souveraine la Mère de Dieu et toujours Vierge Marie1
Lorsqu'il plut au Christ notre Dieu de rappeler à Lui Sa Mère, Il envoya un Ange 2, trois jours à l'avance, pour lui annoncer cette nouvelle. En s'approchant, l'Ange dit à la Pleine de Grâce:
« Voici ce que déclare ton Fils: "le temps est venu de rappeler auprès de Moi Ma Mère."
Ne te troubles pas à cette nouvelle, mais réjouis-toi plutôt, car tu vas partir vers la vie éternelle. »
Accueillant ce message avec grande joie, la Mère de Dieu, emplie du désir ardent de s'élever vers son Fils, se rendit au Mont des Oliviers pour y prier dans la quiétude, ainsi qu'elle le faisait souvent.
Il se produisit alors un miracle étonnant: au moment où la Toute-Sainte atteignait le sommet de la colline, les arbres qui s'y trouvaient plantés inclinèrent leur ramure, se prosternant et rendant gloire à la Souveraine du monde, tels des serviteurs doués de raison
Après avoir prié, la Toute-Sainte retourna chez elle, sur le mont Sion3.
Comme elle entrait dans la maison, tout se mit soudain à trembler.
Rendant grâces à Dieu, elle fit éclairer la demeure, et appeler ses parents et ses voisins.
Elle mit elle-même tout en ordre, arrangea son lit funèbre et ordonna de préparer ce qui était nécessaire pour les funérailles.
Aux femmes qui étaient venues à son appel, elle révéla la nouvelle de son départ vers le Ciel et, en guise de preuve, elle leur remit la branche de palmier, symbole de victoire et d'incorruptibilité, que l'Ange lui avait donnée.
Encore attachées par les liens de ce monde, ses compagnes reçurent cette nouvelle avec force larmes et gémissements, suppliant la Mère de Dieu de ne pas les laisser orphelines.
Celle-ci les rassura: certes, elle partait vers le Ciel, mais elle n'en continuerait pas moins à les protéger, elles et le monde entier, par sa prière.
A ces paroles, les femmes cessèrent leurs pleurs et s'empressèrent de faire les préparatifs. La Toute-Sainte ordonna en outre de donner les deux seules robes qu'elle possédait aux deux pauvres veuves qui étaient ses compagnes habituelles et ses amies4.
A peine avait-elle prononcé ces paroles, que la maison fut de nouveau ébranlée par un bruit semblable à celui du tonnerre, et elle se trouva remplie de nuées qui amenaient les Apôtres, rassemblés de toutes les extrémités du monde.
C'était donc toute l'Eglise qui, en leurs personnes, était mystiquement présente pour célébrer les funérailles de sa Souveraine.
Au chœur des Apôtres s'était joint celui des Saints Hiérarques, tels que Saint Hiérothée (cf. 4 oct.), Saint Denys l'Aréopagite (cf. 3 oct.) et Saint Timothée (cf. 22 janv. )5 .
Les yeux pleins de larmes, ils dirent à la Mère de Dieu:
« Si tu demeurais dans le monde et vivais parmi nous, nous en aurions bien sûr, une grande consolation, ô Souveraine: ce serait comme si nous voyions ton Fils et notre Maître.
Mais puisque maintenant, c'est selon Sa volonté que tu vas être transportée au Ciel, nous nous lamentons et pleurons, comme tu le vois.
Mais nous nous réjouissons cependant de tout ce qui a été disposé pour toi. »
Elle leur répondit:
« Ô Disciples et amis de mon Fils et de mon Dieu, ne transformez pas ma joie en tristesse, mais ensevelissez mon corps et gardez-le dans la position que je prendrai sur mon lit de mort. »
A ces mots, arriva à son tour sur les lieux le Vase d'Election, Saint Paul.
Il se jeta aux pieds de la Toute-Sainte pour la vénérer et lui adressa cette louange:
« Réjouis-Toi, Mère de la Vie et objet de ma prédication. Car, quoique je n'aie point vu le Christ corporellement, en te voyant, c'est Lui-même que je crois contempler. »
Après avoir fait ses derniers adieux à tous les assistants, la Toute Immaculée s'allongea elle-même sur son lit de mort, disposant son corps comme elle le voulait, et elle offrit d'ardentes prières à son Fils pour la conservation et la paix du monde entier.
Puis, ayant donné sa bénédiction aux Apôtres et aux Hiérarques, souriante, elle remit paisiblement son âme, blanche et plus resplendissante que toute lumière, entre les mains de son Fils et de son Dieu, qui était apparu en compagnie de l'Archange Michel et d'une troupe angélique.
Sa mort s'accomplit en effet sans souffrances ni angoisse, de même que son enfantement avait eu lieu sans douleurs.
Pierre, le Coryphée des Apôtres, entonna alors l'hymne funèbre et ses compagnons soulevèrent la litière, précédés par d'autres assistants qui portaient des flambeaux et accompagnaient le cortège de leurs chants, avec à leur tête Saint Jean le Théologien tenant en main la palme de victoire, et suivis en silence par la foule des disciples.
On pouvait aussi entendre les Anges, qui joignaient leurs voix à celles des hommes, de sorte que le ciel et la terre étaient tout remplis de cette thrène en l'honneur de la Souveraine du monde.
L'air se trouva purifié par l'ascension de Son âme, la terre allait être sanctifiée par la déposition de Son corps, et de nombreux malades recouvrèrent alors la santé.
Ne pouvant supporter ce spectacle, les chefs des Juifs excitèrent des gens du peuple et les envoyèrent renverser la litière sur laquelle reposait le corps vivifiant. Mais la justice divine devança leur sombre dessein, et ils furent tous frappés d'aveuglement.
L'un d'eux, le prêtre Jéphonias qui, plus audacieux, était parvenu à saisir la sainte couche, eut en plus les deux mains coupées à la hauteur du coude par le glaive de la colère divine, et ses bras mutilés restèrent accrochés au lit, offrant un spectacle pitoyable. Porté au repentir par ce châtiment, Jéphonias adhéra de tout son coeur à la foi; et à la parole de Pierre, il se trouva guéri et devint pour ses compagnons un instrument de salut et de guérison.
En effet, comme on lui avait remis un rameau de la palme de la Mère de Dieu, il l'appliqua sur les yeux de ses compagnons, et les guérit tout à la fois de leur cécité corporelle et de leur aveuglement spirituel.
Parvenus au jardin de Gethsémani, les Apôtres ensevelirent le corps très saint de la Mère de Dieu et demeurèrent là pendant trois jours, leurs prières étant sans cesse accompagnées des hymnes angéliques6.
Conformément à une divine disposition de la Providence, l'un des Apôtres (Thomas selon certains) ne se trouvait pas aux funérailles.
Il n'arriva à Gethsémani que le troisième jour et ne pouvait se consoler de n'avoir pu contempler une dernière fois le corps déifié de la Toute-Sainte.
Aussi, d'un commun accord, les autres Apôtres décidèrent-ils d'ouvrir le tombeau, afin qu'il puisse vénérer le Saint Corps.
Une fois qu'on eut enlevé la pierre qui en fermait l'entrée, ils restèrent tous saisis de stupeur en constatant que le corps avait disparu et que seul le suaire qui l'enveloppait restait là, vide, mais gardant la forme du corps.
C'était une preuve irréfutable du transfert au Ciel de la Mère de Dieu, c'est-à-dire de sa résurrection et de l'ascension de son corps, de nouveau réuni à son âme, au-delà des cieux, dans l'intimité de son Fils, pour être notre représentante et notre avocate auprès de Dieu7.
Marie, "fille d'Adam" mais devenue véritablement "Mère de Dieu" et "Mère de la Vie" en enfantant celui qui est la Vie substantielle (Jn 14:6), est donc passée par la mort.
Mais sa mort n'est en rien déshonorante, car, vaincue par le Christ, qui s'y est soumis volontairement pour notre Salut, la condamnation d'Adam est devenue "mort vivifiante" et principe d'une existence nouvelle.
Et le tombeau de Gethsémani, de même que le Saint Sépulcre, est apparu comme une "chambre nuptiale", où se sont accomplies les noces de l'incorruptibilité.
Il convenait en effet que, conforme en tout au Christ-Sauveur, la très Sainte Vierge passe par toutes les voies que le Christ a empruntées pour répandre la sanctification en notre nature. Après l'avoir suivi dans sa Passion et avoir "vu" sa Résurrection, elle a donc fait l'expérience de la mort.
Dès qu'elle se sépara de son corps, son âme très pure se trouva unie à la Lumière divine, et son corps, étant resté peu de temps en terre, ressuscita bientôt, par la grâce du Christ ressuscité.
Ce "corps spirituel" fut reçu au Ciel comme le tabernacle du Dieu-Homme, comme le trône de Dieu.
Il est la partie la plus éminente du Corps du Christ, et il a souvent été assimilé par les Saints Pères à l'Eglise elle-même, la demeure de Dieu parmi les hommes, prémices de notre état futur et source de notre divinisation.
Des entrailles très chastes de Marie, Mère de Dieu, le Royaume des Cieux nous a été ouvert, c'est pourquoi son transfert au Ciel est cause de joie pour tous les croyants qui ont ainsi acquis la garantie, qu'en Sa personne, c'est toute la nature humaine, devenue porteuse du Christ, qui est appelée à habiter en Dieu.
1. Comme c'est le cas pour les autres fêtes du cycle de la Mère de Dieu, la tradition liturgique et iconographique a largement emprunté aux apocryphes (Pseudo-Jean le Théologien et Pseudo-Méliton), en corrigeant leurs erreurs doctrinales.
Primitivement célébrée au mois de janvier, à Jérusalem, cette fête fut fixée au 15 août et rendue obligatoire dans tout l'Orient par l'empereur Maurice (582-602).
Elle acquit une large diffusion, grâce aux éloges que prononcèrent à cette occasion les Pères et grands orateurs ecclésiastiques: Sts André de Crète, Jean Damascène, Germain de Constantinople, Théodore Studite, Grégoire Palamas, etc.
2. Selon certains, il s'agit de l'Archange Gabriel, comme lors de l'Annonciation. On suppose que cet événement eut lieu environ onze ans après la Résurrection du Christ, la Mère de Dieu étant âgée de cinquante-neuf ans.
3. Selon de nombreux auteurs, elle demeurait dans la maison de St Jean le Théologien à Sion.
4. Cf le récit de la déposition de la Robe de la Mère de Dieu, le 2 juil.
5. Détail rapporté dans les oeuvres attribuées à St Denys l'Aréopagite, Noms Divins 3, 2 (PG 3, 681-684).
6. On raconte qu'au retour des funérailles, les Apôtres se rassemblèrent pour un repas fraternel et qu'à la place du Christ, ils déposèrent un morceau de pain en forme de triangle. Mais au moment de l'élever en invoquant le Nom du Christ, comme ils en avaient coutume, ils entendirent du haut du ciel, la Toute-Sainte dire: « Réjouissez-vous, car je suis avec vous jusqu'à la fin des jours! » Tout à leur joie, les Apôtres s'écrièrent alors d'une seule voix: « Très sainte Mère de Dieu, sauve-nous! » C'est l'origine de l'office de l'Elévation de la Panaghia, célébré dans les Monastères à l'issue du repas les jours de fêtes (cf. Grand Horologe).
7. D'après l'apocryphe du Pseudo-Jean, le corps de la sainte Vierge aurait d'abord été transféré au Paradis, auprès de l'Arbre de vie, et c'est là que l'Archange Michel serait venu y introduire de nouveau son âme. Les Saints Pères ont cependant répugné à sonder ou à dogmatiser sur cette question, qui reste un objet de piété de l'Eglise et non de définitions théologiques. Ils ont préféré contempler dans ce mystère du "transfert" au Ciel de la Mère de Dieu, l'achèvement de l'oeuvre du Rédempteur par la "co-résurrection" et la "co-glorification" de la Sainte Vierge, en réservant cependant le terme de "résurrection" à celle du Sauveur. Le terme d'"Assomption", quant à lui, récemment adopté comme dogme par l'Eglise Catholique Romaine (1950), en tant que corollaire de celui de l'"Immaculée Conception" (1854), laisse supposer de manière ambiguë que la Mère de Dieu, ayant été mise à part de l'héritage d'Adam (le péché originel et sa conséquence, la mort) ne serait pas morte, mais aurait été directement emportée, corps et âme, au Ciel.
(Texte extrait de « Le synaxaire, vie des Saints de l'Eglise Orthodoxe », adaptation française par le hiéromoine Macaire de Simonos-Petras. Editions TO PERIVOLI TIS PANAGHIAS Thessalonique 1996)
Où nous trouver ?
Paroisse NORD-OUEST et Nord-Est
(N-D de Miséricorde):
NORMANDIE :
CHANDAI (61) et CHAISE-DIEU DU THEIL (27):
* Le Sanctuaire Marial de la
Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde
(Fresque de la Mère de Dieu entourée des Apôtres, mur Est du Choeur de l'Eglise du Monastère Syriaque)
Monastère Syriaque N-D de Miséricorde Brévilly 61300 CHANDAI.
(Fresque des Sts Pères Interieur droit du Choeur de l'Eglise du Monastère Syriaque)
Messe journalières en semaine à 10h30
Tous les dimanches, Messe à 10h30et permanence constante de prêtres pour CATÉCHISME, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
(Liturgie de St Jacques dite "d'Antioche-Jérusalem")
Le 30 de chaque mois, Permanence pastorale de 8h30 à 19h (Sur R.D.V) chez Mme Henriette Marie, 43, Rue de la Marne à CAEN. Tel 06.33.98.52.54 . (Possibilité de rencontrer un prêtre pour Catéchisme, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
NANTES:
*Groupe de prières et "relais paroissial" St Charbel
18h, Messe le 2ème jeudi de chaque moiset permanence régulière d'un prêtre Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) de 9h à 17h(06.48.84.94.89).
ANGOULÊME (Jauldes):
*Paroisse N-D de Toutes Grâces/St Ubald
MAISON NOTRE-DAME 66,Place Schoeneck, LE BOURG 16560 JAULDES.
Tel:05.45.37.35.13 *Messe les 2èmes et 4èmes Dimanches de Chaque mois à 10h30suivies d'un repas fraternel et de la réception des fidèles.
*Possibilité de prendre Rendez-vous avec le prêtre la semaine suivant le 2éme dimanche du mois ainsi que pour les visites aux malades et à domicile.
Permanence régulière d'un prêtre pour CATECHISME, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
PERIGUEUX (La Chapelle Faucher):
*Paroisse Notre-Dame de la Très Sainte Trinité
Notre-Dame de la Ste Trinité et St Front ERMITAGE ST COLOMBAN* Puyroudier (Rte d'Agonac) 24530LA CHAPELLE FAUCHER.
Tel:05.45.37.35.13
*Messe le 4ème samedi de Chaque mois à 10h30et permanence régulière d'un prêtre pour CATECHISMES, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
LOURDES:
*"Relais paroissial St Gregorios de Parumala"
*Messse le 5ème dimanche du mois ( en fonction des besoins des fidèles) à 10h30
20 Rte de Pau
CAMEROUN:
Pour obtenir les adresses du Monastère de YAOUNDE,
des paroisses et "relais paroissiaux de Doula, Yaoundé, Elig Nkouma, Mimboman, Bertoua, Monabo, veuillez les demander au Monastère Métropolitain:
Monastère Syriaque N-D de Miséricorde Brévilly 61300 CHANDAI.
"L'avenir est dans la paix, il n'y a pas d'avenir sans paix"
"The future is in peace, there is no future without peace"
"O futuro está em paz, não há futuro sem paz"
(SS Ignatius Aprem II)
Note:
Eglise locale fondée grâce à l'élan missionnaire de l'Eglise Syrienne Orthodoxe des Indes(Malankare), notre Eglise Syro-Orthodoxe- Francophone est une Eglise Orthodoxe-Orientale.
Le Monastère Syriaque est un Centre de Prières pour l'unité des Eglises Apostoliques, l'unanimité du Témoignage Chrétien et la paix du monde.
¤ Permanence pastorale en diverses région de France pour : Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)…
Pour les services pastoraux rendus au Monastère comme l'accueil des fidèles pour de courts séjours ou des retraites spirituelles, nous n'exigeons aucun fixe.
Les offrandes sont libres et nonobligatoires.Touteoffrande fait cependant l'objet d'une déduction de votre revenu imposable à raison de 66°/° de votre revenu). Libeller tous C B à l'ordre suivant " Métropolie E S O F "
Pour l' Aumônerie Syro-Orthodoxe Francophone des Africains vivant en France, contacter les Responsables: Mor Philipose-Mariam (06.48.89.94.89 ), Métropolite et Soeur Marie-Andre M'Bezele, moniale ( 06.17.51.25.73).
Igreja local fundada pelo impulso missionário da Igreja Síria Ortodoxa da Índia (Malankara), nossa Igreja siro-Orthodoxe- Francophone é uma igreja ortodoxa-Leste.
O Mosteiro siríaco é um Centro de oração para a unidade das Igrejas Apostólicas, unanimidade de Christian Witness ea paz mundial.
¤ Permanência pastoral em vários região da França para: Acompanhamentos espirituais, sacramentos Sacramental (bênçãos, orações de libertação ou exorcismo, orações de cura) ...
Para o serviço pastoral para o Mosteiro como a casa dos fiéis para estadias curtas ou retiros espirituais, não requer qualquer fixo.
As ofertas são livres e nãoobligatoires.Touteoferecendo ainda sido deduzido do seu rendimento tributável à alíquota de 66 ° / ° de sua renda). Denominar todas C B na seguinte ordem "S S M E Metropolis"
Para os sírio-ortodoxos Capelania francófonos africanos que vivem na França, entre em contato com as cabeças: Mor Philipose Mariam (06.48.89.94.89), Metropolitan e irmã Marie-Andre M'Bezele, freira (06.17.51.25.73).
A local church founded on the missionary impulse of the Syrian Orthodox Church of India (Malankare), our Syro-Orthodox-Francophone Church is an Eastern Orthodox Church.
The Syriac Monastery is a Center of Prayer for the unity of the Apostolic Churches, the unanimity of the Christian Testimony and the peace of the world.
¤ Pastoral permanence in various regions of France for: Spiritual accompaniments, Sacraments, Sacramentals (Blessings, Prayers of deliverance or exorcism, prayers of healing) ...
For the pastoral services rendered to the Monastery as the reception of the faithful for short stays or spiritual retreats, we do not require any fixed.
The offerings are free and not obligatory. However, any taxable income is deducted from your taxable income of 66% of your income. Write all C B
CONFIER DES INTENTIONS DE PRIÈRE AU MONASTÈRE , C'EST SIMPLE...
Le Moine ne rompe pas la solidarité profonde qui doit unir entre eux les frères humains… Ils se conforment aux sentiments du Christ Tête de l'Eglise, le "premier né d'une multitude de frères" et à Son amour pour tous les hommes…
A travers les prières monastiques, c’est toute l’Eglise qui prie et intercède pour l’humanité.
Le savez-vous ? Chacun de vous, dans le secret de son existence, participe à cet immense courant de prière souterraine qui irrigue le monde…
Si vous le souhaitez, vous pouvez nous confier une intention de prière en l'envoyant à l'adresse suivante:
--------------------
DÃO AS INTENÇÕES DE ORAÇÃO mosteiro é SIMPLES ...
O monge não quebrar a profunda solidariedade que deve unir-los irmãos humanos ... Eles devem respeitar os sentimentos de Cristo Cabeça da Igreja, o "primogênito entre muitos irmãos" e seu amor por todos os homens ...
Através das orações monásticas é toda a Igreja que reza e intercede pela humanidade.
Você sabia? Cada um de vocês, no segredo da sua existência, participa nesta oração subterrâneo imenso poder que irriga o mundo ...
Se desejar, você pode confiar uma intenção de oração, enviando-o para o seguinte endereço:
---------------------
GIVING INTENTIONS OF PRAYER TO THE MONASTERY IS SIMPLE...
The Monk does not break the deep solidarity that must unite the brothers
Human beings ... They conform to the sentiments of Christ Head of the Church, the
"The firstborn of a multitude of brothers" and His love for all men ...
Through monastic prayers, the whole Church prays and intercedes for
humanity.
Do you know ? Each of you, in the secret of his existence, participates in this
Immense current of underground prayer that irrigates the world ...
If you wish, you can entrust us with an intention of prayer by sending it to the following address:
Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,
Brévilly
61300 CHANDAI.
Tel: 02.33.24.79.58
ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonnées)
Courriel:asstradsyrfr@laposte.net
Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/ maliath taibootho/ full of grace/ moran a'amekh - the Lord is with thee/ mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/ and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ yoldath aloho/ Mother of God/ saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ Amîn Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn
Et ainsi, soyons heureux et supportons avec patience tout ce que le monde nous fait subir, rassurés de savoir que c'est alors que nous sommes le plus dans l'esprit de Dieu.
Saint Basile le Grand
E assim, vamos ser felizes e suportar pacientemente tudo o que o mundo nos faz, seguros de saber que é então que estamos mais no espírito de Deus.
São Basílio, o Grande
And so, let us be glad and bear with patience everything the world throws at us, secure in the knowledge that it is then that we are most in the mind of God. Saint Basil the Great
Dieu est la lumière qui m'éclaire, et j'aurais peur ?
Dieu est la lumière qui m'éclaire, et j'aurais peur ?
Dieu est le garant de mon existence, et vous voudriez que je tremble ?
[...]
Je ne demande qu'une chose, une seule chose et je la demande bien !
Dieu tous les jours de ma vie comme une maison pour y habiter !
Psaume 26 traduit par Paul Claudel
Deus é a luz que me ilumina e eu ficaria com medo?
Deus é a luz que me ilumina e eu ficaria com medo?
Deus é o fiador da minha existência e você gostaria que eu tremesse?
[...]
Eu só peço uma coisa, uma coisa e peço por ela!
Deus todos os dias da minha vida como uma casa para morar!
Salmo 26 traduzido por Paul Claudel
God is the light that enlighten me, and I would be afraid?
God is the light that enlighten me, and I would be afraid?
God is the guarantor of my existence, and you would like me to tremble?
[...]
I only ask for one thing, one thing and I ask for it!
God every day of my life as a house to live in!
Psalm 26 translated by Paul Claudel
VIE D'UN SAINT BRITANIQUE, NOS TERRES NORMANDES N'ONT-ELLE PAS UN MONG PASSÉ ANGLO-NORMAND ?
Saint Æthelwold, évêque de Winchester et rénovateur de la vie monastique (+ 984)
En Angleterre éclata au 10ième siècle un véritable réveil monastique (revival, comme dit dom David Knowles), qui agit sur le pays tout entier. Saint Dunstan sema la graine qui devait produire l'arbre magnifique. Sa conversion intime fut suivie vers 943 par l'abbatiat, à Glastonbury, dans le Somerset. Il y éleva une famille monastique dans l'esprit de la Règle bénédictine. Parmi ses jeunes, il y avait notre Ethelwold (Æthelwold / Aethelweald), fils d'une haute famille de Winchester. Dans sa jeunesse il fit partie de la maison (cornitatus) du roi Aethelstan, puis fut tonsuré par saint Elphège (Aelfheah) le Chauve, évêque de Winchester de 936 à 951. Il resta quelque temps auprès du prélat, puis entra au monastère de Glastonbury sous saint Dunstan. Ethelwold fut un moine zélé pour l'étude, la prière et les humbles travaux comme ceux du jardin ou de la cuisine. Son zèle rêvait de dépasser Dunstan, d'aller sur le continent étudier la vie des monastères illustres. Mais la reine pressentant que, s'il partait, ce serait une perte irréparable, réussit à lui faire interdire tout voyage d'études à l'étranger. Le roi concéda à Ethelwold, vers 954, le monastère d'Abingdon qui était abandonné et en ruines. Le prince aida le vaillant moine à le rebâtir. Un jour il vint inspecter les travaux. L'abbé l'invita à déjeuner. Ce fut une petite fête très réussie : le déjeuner devint lunch, puis souper. On servit libéralement de l'hydromel à tout ce beau monde. On avait fermé les portes pour que nul ne pût déserter la royale beuverie. Au soir, tous ces Northumbriens se retirèrent joyeux, "in ebrietate suatim". L'hydromel n'avait pas manqué. Comme notre saint Eloi, Ethelwold était un artisan habile : il fit 2 cloches et une «roue d'or» toute pleine de clochettes. Il accomplit par le moine Osgar, qu'il envoya à Fleury-sur-Loire, son projet irréalisé d'enquête sur l'observance d'outremer. Lui-même faisait des rondes dans son monastère, pour tout surveiller. Il s'intéressait de près à toutes les constructions. Un jour il reçut une planche énorme tombant d'un échafaudage, qui lui brisa plusieurs côtes. Le 29 novembre 963, Ethelwold fut consacré évêque de Winchester. Saint Dunstan, lui, avait été exilé par le roi Edwy. Il avait visité avec grand intérêt les monastères de Flandre et de Lorraine. Rentré en 957, il avait reçu alors l'évêché de Worcester; plus tard il aurait celui de Londres et enfin celui de Cantorbéry. Un troisième grand moine, d'origine danoise, devait briller dans l'Église anglaise à ce moment, c'était saint Oswald, profès de Fleury-sur-Loire, dépendance de Cluny, puis évêque de Worcester et archevêque d'York. Ce triumvirat monastique, animé d'un même idéal, appuyé par un roi jeune et zélé, exerça une influence profonde sur le pays grâce à Glastonbury, Abingdon et Ramsey, le monastère d'Oswald, dans les Fens ou marais, terres basses conquises sur la baie de Wash. Ramsey avait une colonie de moines venus de Fleury. Pour faire régner l'ordre il fallut expulser ou transférer, avec l'appui du roi, les clercs trop peu zélés. Ethelwold fut le chef de ce mouvement, jusque-là sans équivalent exact en Occident, par lequel des moines remplacèrent des clercs ou des chanoines à l'église cathédrale, où un évêque-abbé présida désormais. Ethelwold fut imité par Oswald, peut-être par Dunstan; Winchester, Worcester, plus tard Sherborne et Cantorbéry devinrent cathédrales monastiques. Dunstan, le principal conseiller du roi Edgar, fit convoquer un synode qui se tint en 970 sous le patronage du roi et de la reine. Aux représentants du monachisme insulaire s'étaient joints des délégués de Gand et de Fleury. Mandaté par cette haute assemblée, Ethelwold rédigea une "Regularis concordia" (P. L., t. 137, col. 475) qui donnait avec quelques modifications la pratique courante des grandes abbayes du continent au 10ième siècle. Le nouveau code monastique fut accepté librement et demeura en vigueur jusqu'à la conquête normande, les monastères gardant leurs libertés locales. Les abbayes fournirent au pays des intellectuels, des artistes, des évêques, le meilleur de son élite. Pour Dunstan, et, à un degré moindre, Ethelwold et Oswald, l'ordre monastique ne devait pas être un club d'ascètes en marge de la nation, mais le coeur même de la nation, intellectuel et spirituel. L'Église, l'État, les moines étaient étroitement solidaires. On avait une concorde des ordres : roi, évêques, moines. Par sa réforme vigoureuse des monastères, Ethelwold souleva bien des haines. On essaya de l'empoisonner. La tentative fut vaine. Au reste, le prélat était pâle, avait souvent des douleurs aux jambes, au ventre, et dormait mal. Cependant il marchait quand même, évitait de manger oiseaux ou quadrupèdes, conformément à la Règle. Il aimait enseigner la jeunesse, lui traduire en anglais les livres latins, lui parler de grammaire ou de métrique. Ce maître souriant était un merveilleux animateur pour le bien. Dans ses inspections, il était un «lion» pour les déréglés, une "colombe" pour les bons (Aelfric). «L'Aigle du Christ», le "père des moines", mourut à Beddington, dans le Surrey, le 1er août 984. Il avait plus de 20 ans d'épiscopat. Il fut inhumé à Winchester. Douze ans après son décès, son corps fut élevé par saint Elphège, son successeur, futur archevêque de Cantorbéry et martyr; Sa "depositio" est marquée aux anciens calendriers le 1er août. Deux calendriers seulement ont sa translation, plus exactement l'élévation de ses reliques par saint Elphège, un 10 septembre. En revanche. ils n'ont pas sa "depositio", à cause des Maccabées et de saint Pierre. On a attribué à Ethelwold un travail sur le cercle dédié à Gerbert (le pape de Rome Silvestre 2). Il existe un "bénédictionnaire de saint Ethelwold" qui est un fort beau manuscrit. Cf. E. - G. Millar, "La miniature anglaise du 10ième au 13ième siècle", Paris-Bruxelles. Bibl. - Très bonne Vie par Aelfric, dans Chron. d'Abingdon, t.2, p. 255 (Rolls séries). Bonne Vie par Wulistan, dans Mabillon, Acta sanct. ord. .S. Bened., saec. 5, p. 608, P. L., t. 137, col, 83, ou Acta sanct., 1er août, t. 1, p. 89.
sur l'enluminure ci-dessous, qui provient de son Bénédictionnaire, vous pouvez voir derrière saint Aethelwold l'Antependium ou Pallium altaris, à savoir le drap d'Autel comme on l'utilisait en Occident à l'époque Chrétienne Orthodoxe.
« Quand je me laisse distraire de vous, ô mon Dieu, il me semble que je quitte la région de la lumière pour entrer dans celle des ténèbres.
Tout ce qui n'est pas vous blesse tellement les yeux ! Pour qui vous a une fois seulement un peu entrevu dans votre inaccessible lumière, tout est si difforme et si laid. Même les créatures qui vous reflètent le mieux sont alors presque douloureuses à voir.
Elles ne sont pas vous, ô mon Dieu ! Et c'est vous que l'âme veut contempler toujours mieux, toujours plus fixement, toujours plus profondément.
Le mot de saint Augustin revient sans cesse sur les lèvres :
« Ô Beauté toujours ancienne, toujours nouvelle, trop tard je vous ai connue, trop tard je vous ai aimée ! » Oui, mon Dieu, vous êtes toute Bonté, toute Beauté, toute Grâce.
Vous avez fait de bien belles créatures et pourtant leur beauté ne peut pas compter auprès de la vôtre. Tout ce qu'il y a de beau et de bon vient de vous uniquement.
Ce que vous donnez, vous ne le perdez pas, vous le possédez à l'infini. Oh ! faites-moi comprendre, à moi qui veut être heureux, que tout bonheur, toute joie est en vous.
Si je savais aller à vous, m'enivrer de votre Beauté, me nourrir de votre Bonté, me réjouir de votre Joie, goûter sans fin comme sans mesure votre Bonheur !
Tout cela est possible, tout cela est vrai, tout cela est nécessaire :
Tu aimeras..., par suite, tu seras bon de ma Bonté, beau de ma Beauté, ivre de mon Bonheur.
Oh ! mon Dieu, maintenant, maintenant et toujours. »
Robert de Langeac[Abbé Augustin Delage p.s.s. (1877-1947)
Y A-T-IL UNE MORALE CHRÉTIENNE ?
Le moralisme –
Le christianisme, l’Église chrétienne sont souvent assimilés à la morale, à une morale, au moralisme, et les chrétiens à des individus moralisateurs. « Tu dois, tu devrais, tu aurais dû, on doit, il faut… », le verbe « devoir » conjugué à tous les modes grammaticaux, à tous les temps et à toutes les personnes, renvoie aux critères d’autorité ou de convention (C.Yannaras). Il a existé des sociétés prétendues chrétiennes où régnait un « ordre moral », souvent assez immoral (exploitation des personnes, peine de mort, torture, etc.) La morale utilitaire, par ses injonctions, protège la propriété privée (Voltaire) et l’équilibre social. C’est une espèce d’hygiène… L’utilitarisme, défendu par les athées (les Encyclopédistes) ou démontré par certains chrétiens (pharisaïsme, bonne conscience, soutien de l’ordre social…) se passe de dieu – ou bien Celui-ci sert de prétexte, « Il a bon dos », pourrait-on dire.
Le pharisaïsme
Le moralisme des chrétiens transforme la foi en un système d’obligations et d’interdits ; la « messe d’obligation » suffit, Dieu n’en demande pas davantage ; il suffirait d’être en règle par rapport à ce système pour être « orthodoxement » ou « chrétiennement correct ». Le rejet du moralisme ou de la morale est plutôt une réaction saine – sinon sainte : la vie des fols en Christ (saint André), montre qu’il y a toujours eu des chrétiens pour se rendre compte des pièges de la morale.
Perversion du christianisme
Réduire la vie chrétienne à la ou une morale, au moralisme serait (Christos Yannaras) une perversion du christianisme – et il y a d’autres réductions, déformations ou sous-produits du christianisme : méfions-nous des imitations ! L’expérience chrétienne y perd de sa compétitivité et de sa force prophétique par rapport au monde : son message devient inutile ou insupportable. Le Christ le dit : les païens en font autant (Mat 5, 47) ! Pour la morale, les chrétiens ne sont pas meilleurs que les autres, quand ils ne sont pas pires … Le christianisme ne se réduit pas à un système d’amélioration morale de l’homme.
Tout est-il permis ?
Se passer de morale ? Dostoïevski : si Dieu n’existe pas, tout est permis… et nos contemporains : puisqu’il n’y a pas de dieu, tout est permis ! Une bonne petite amoralité serait peut-être commode, mais, en fait, il y a un dieu… Saint Paul : nous avons toute liberté, mais tout n’édifie pas… Le critère de la morale ou de l’éthique n’est ni la permission ni l’interdiction. « Tout est bon », dit Dieu à propos des créatures : l’homme est-il capable de faire du bien à autrui, aux créatures et à lui-même ? Le critère est la croissance du bien et de l’amour en cohérence avec la vision qui est celle du Créateur.
La responsabilité ultime
Il est bien question d’un Jugement (Mat. 25, 31-46) : « Ce que tu as fait, ou pas fait, à ce petit, c’est à moi que tu l’as fait ou pas fait… » La Personne divine est la référence ultime. Nous avons des comptes à rendre : chrétiens lambda, citoyens, gouvernants, chercheurs, apprentis-sorciers bio manipulateurs – que direz-vous au dernier Jour ? L’homme n’est pas un bébé. Il est la créature responsable devant celui à l’image duquel il est créé et à qui il est appelé à ressembler – appelé à être miséricordieux et bon comme l’est le Père céleste (Luc 6, 36).
L’union à Dieu
Le but de la vie et de l’Église est de connaître Dieu, de s’assimiler à lui, d’entrer dans son Royaume. La puissance du mode d’existence chrétien vient de sa connexion à la Personne vivante de Dieu. « Dieu vit que c’était bon » (Gen 1, 4) : la bonté se mesure, non à un bien abstrait, mais à la Personne du Dieu créateur qui seul donne aux créatures leur bonté. Le bien et le mal sont relatifs à la Personne de Dieu « seul bon ». La Loi, ou une loi, oui, pourquoi pas ? – mais cherche la personne qui est derrière cette loi, Celui qui a donné la Loi à Moïse… Au-delà du bien et du mal, la communion avec quelqu’un. Obéir aux commandements, faire la volonté du Père, oui : mais suivons le Maître, imitons-le, et, surtout, communions à lui, alimentons-nous de son Corps et de son Sang ! Imprégnons-nous des énergies de sa Personne en méditant continuellement son Nom ou en mémorisant sa Parole…
Les fruits de l’Esprit
Le publicain Zachée (Luc 19), indépendamment de la morale, cherchait à voir « qui était Jésus ». Celui-ci, voyant son amour, est venu chez lui : la conséquence est que le pécheur est devenu un juste, comme le dit son nom – tsadik. La justice des œuvres découle de l’union à la source de toute justice, le Juste. Le jeune homme riche (Mat 19 22) avait appliqué tous les commandements : cela ne suffisait pas ! – il est appelé à suivre le Christ, à « renoncer à soi et porter sa croix avec lui » (Mt 10, 38s ; 16, 24s) par la communion avec lui, pour porter les « fruits de l’Esprit » (Ga 5, 22-25). Assimilé au Christ, la personne – non l’individu moral – peut « faire le bien » (Ga 6, 9s), « faire de bonnes œuvres » (Mat 5, 16 ; 1 Tm 6, 18s ; Tt 3, 8, 14), et « vaincre le mal par le bien » (Rm 12, 21). Par l’union au Fils de Dieu, « faire la volonté du Père » devient spontané – amour charismatique au large de tout moralisme.
La personne humaine
La réponse à la question de la morale est l’accomplissement de la personne créée en communion avec les autres personnes et avec la personne divine, par l’amour trinitaire. Christos Yannaras (« La liberté de la morale », Labor et fides, Genève, 1982, n. 1, p. 244) : « la personne signifie la possibilité de récapitulation de tout, le salut de tous dans la personne de l’un, la manifestation de notre vérité commune dans l’existence du prophète et du martyr. C’est pourquoi l’homme qui ‘mourra’ dans son individualité pour vivre l’amour total et le don de soi total, récapitule dans sa personne la vérité universelle de l’homme, une vérité toute puissante ».
(Conférence Orthodoxie.com 26 juillet 2018)
> icône du Christ avec Zachée. Source: Sagesse Orthodoxe"
LES PETITS CHANTEURS A LA
CROIX DE BOIS, ILS SONT
AIMES DE TOUS, OU
PRESQUE...DÉCOUVREZ-LES...
Depuis 2014, les Petits chanteurs à la Croix de Bois sont installés à Autun en Bourgogne. Agés de 9 à 15 ans, ils viennent de toute la France suivre leurs études et les répétions pour donner 70 concerts par an et effectuer des tournées à l’étranger. Ambassadrice de la France, la manécanterie des Petits chanteurs à la Croix de Bois comptent parmi les choeurs de garçons les plus réputés au monde. Leurs chants et leurs voix cristallines touchent tous les publics, même ceux éloignés de l’Eglise viennent les écouter. La vie partagée en internat favorise la fraternité, la solidarité et l’amitié entre les garçons. Une expérience qui forge les caractères, une expérience pour la vie.
videotheque.cfrt.tv
Ne soyez pas surpris que vous tombiez tous les jours.
N'abandonnez pas, mais tenez bon, courageusement, sur votre chemin. Et assurément, l'Ange qui vous garde honorera votre patience.
(Saint Jean Climaque) ------------------------------------------------ Não se surpreenda que você caia todos os dias.
Não desista, mas segure-se, bravamente, no seu caminho. E certamente, o Anjo que irá mantê-lo honrará sua paciência.
(São João Clímaco) ------------------------------------------------ Do not be surprised that you fall every day.
Do not give up, but hold on, bravely, on your way. And surely, the Angel who will keep you will honor your patience.
(St. John Climacus) ==================================================== Dieu est la lumière qui m'éclaire, et j'aurais peur ?
Dieu est la lumière qui m'éclaire, et j'aurais peur ?
Dieu est le garant de mon existence, et vous voudriez que je tremble ?
[...]
Je ne demande qu'une chose, une seule chose et je la demande bien !
Dieu tous les jours de ma vie comme une maison pour y habiter !
Psaume 26 traduit par Paul Claudel ----------------------------------------------------------------
Deus é a luz que me ilumina e eu ficaria com medo?
Deus é a luz que me ilumina e eu ficaria com medo?
Deus é o fiador da minha existência e você gostaria que eu tremesse?
[...]
Eu só peço uma coisa, uma coisa e peço por ela!
Deus todos os dias da minha vida como uma casa para morar!
Salmo 26 traduzido por Paul Claudel -------------------------------------------------------------------
God is the light that enlighten me, and I would be afraid?
God is the light that enlighten me, and I would be afraid?
God is the guarantor of my existence, and you would like me to tremble?
[...]
I only ask for one thing, one thing and I ask for it!
God every day of my life as a house to live in!
Psalm 26 translated by Paul Claudel
Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/
maliath taibootho/ full of grace/ moran a'amekh - the Lord is with thee/ mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ yoldath aloho/ Mother of God/ saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ Amîn
Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.
PRIERE POUR LES VOCATIONS:
Père, faites se lever parmi les chrétiens de nombreuses et saintes vocations au sacerdoce, qui maintiennent la foi vivante et gardent une mémoire pleine de gratitude de Votre Fils Jésus, par la prédication de sa parole et l'administration des sacrements, par lesquels Vous renouvelez continuellement vos fidèles dans la Grâce du Saint Esprit.
Donnez-nous de saints ministres de Votre autel, qui soient des célébrants attentifs et fervents de l'eucharistie, sacrement du don suprême du Christ pour la rédemption du monde, sacrement de la pérennité de Sa présence comme "l'Emmanuel", Dieu présent au milieu et pour le salut de Son Peuple.
Appelez des ministres de Votre miséricorde, qui dispensent la joie de Votre pardon par le sacrement de la réconciliation.
Père, puisse notre Église Syro-Orthodoxe francophone accueillir avec joie les nombreuses inspirations de l'Esprit de Votre Fils et, qu'en étant docile à ses enseignements, elle prenne soin des vocations au ministère sacerdotal et à la vie consacrée.
Soutenez nos Pères dans la Foi, nos Métropolites,les évêques, les prêtres, les diacres, les personnes consacrées et tous les baptisés dans le Christ, à l'intérieur et à l'extérieur de notre Tradition Syro-Orthodoxe afin qu'ils accomplissent fidèlement leur mission au service de l'Évangile.
Nous Vous le demandons par le Christ notre Seigneur, Votre Fils bien-aimé qui vit et règne avec Vous et le Saint Esprit pour les siècles sans fin.
Amîn.
Ô Marie, Mère de Miséricorde et Reine des apôtres, priez pour nous !
__________
ORAÇÃO PELAS VOCAÇÕES:
Pai, deixe repousar entre os cristãos numerosas e santas vocações ao sacerdócio, que mantenham viva a fé e manter uma memória cheia de gratidão Seu Filho Jesus, pela pregação de sua palavra e administrar os sacramentos, pelo qual você renovar continuamente os vossos fiéis na graça do Espírito Santo.
Dê-nos santos ministros do vosso altar, que estão celebrantes atentos e entusiastas da Eucaristia, sacramento do dom supremo de Cristo para a redenção do mundo, o sacramento da sustentabilidade da sua presença como "Emmanuel", Deus presente entre e para a salvação de Seu povo.
Chamar ministros de sua mercê, que fornecem a alegria de Seu perdão através do Sacramento de reconciliação.
Pai, que nossa Igreja siro-ortodoxo falando alegremente boas-vindas as numerosas inspirações do Espírito de Seu Filho e, que sendo obedientes a seus ensinamentos, ela cuida das vocações ao ministério sacerdotal e à vida consagrada.
Apoiar nossos pais na fé, nossos metropolitanas, bispos, sacerdotes, diáconos, pessoas consagradas e todos os baptizados em Cristo, dentro e fora da nossa tradição siro-ortodoxo de modo que eles fielmente cumprir a sua missão o serviço do Evangelho.
Você Nós vos pedimos por Cristo, nosso Senhor, Seu amado Filho, que vive e reina contigo eo Espírito Santo para todo o sempre. Amin.
Ó Maria, Mãe de Misericórdia e Rainha dos Apóstolos, rogai por nós!
saint Benjamin de Petrograd et les martyrs de l'international-socialisme en Russie
Commémoration aussi ce jour de saint Benjamin de Petrograd, une des innombrables victimes de l'international-socialisme (d'origine germanique) qui a écrasé la Russie pendant 7 décénnies
Du site "S.O.S totalitarismes" (intéressant à visiter si un ami désinformé veut vous vanter les mérites du communisme "non-trahi", version "pure de Lénine"...) : http://users.skynet.be/sostotalitarismes/SOS4.htm (extrait) "Extraits de A. N. Yakovlev, de l'Académie des Sciences Russe, Obschaya Gazeta, N° 3, 20/1/2000 : http://www.og.ru/archieve/03/mat/its1.shtml Dès 1918, on fusille les prêtres dans toute la Russie. Le métropolite de Kiev Vladimir, est mutilé, écartelé, fusillé et jeté nu à la profanation. Le métropolite de Pétersbourg, Benjamin qui devait succéder au patriarche fut transformé en une colonne de glace. D'abord, on l'aspergea d'eau alors qu'il gelait, ensuite on le noya. L'évêque de Tobolsk Hermogène, qui avait accompagné volontairement l'empereur en exil fut attaché vivant à une locomotive et réduit en morceaux. L'archevêque de Perm Andronique, qui avait été missionnaire au Japon, fut enterré vivant. L'archevêque de Tchernigov Basile fut crucifié et brûlé vif. Les documents témoignent de ce que de nombreux prêtres, moniales et moines furent soumis aux tortures les plus barbares, furent crucifiés sur les iconostases, furent plongés dans du goudron bouillant, furent scalpés, furent étranglés avec des étoles, "reçurent la communion" avec du plomb fondu, furent noyés sous la glace." (un site internet à visiter en son entièreté, il dénonce le vrai Lénine, loin de l'iconographie officielle dûe à l'intelligentsia staliniste de France)
Du site de la représentation de l'Eglise Russe Orthodoxe auprès des Institutions Européennes, quelques lignes sur les terribles persécutions qui décimèrent l'Eglise en Russie, et dont le saint métropolite Benjamin fut une des victimes. : http://orthodoxeurope.org/page/14/7.aspx " 'Qui nous séparera de l'amour du Christ?' Discours lors de la présentation du livre d'Andrea Riccardi "Ils sont morts pour leur foi» (Bruxelles, 14 avril 2003) Evêque Hilarion Alfeyev [alors archévêque d'Autriche et représentant de l'Eglise Russe auprès de l'Union Européenne. jmz] Le livre du professeur Riccardi "Ils sont morts pour leur foi" (Paris: Plon/Mame, 2002) représente un apport important à l'histoire des martyrs de l'Eglise chrétienne. Le livre est consacré aux martyrs du XX siècle, pas seulement à ceux de l'Eglise catholique à laquelle l'auteur appartient, mais également aux martyrs et confesseurs d'autres confessions chrétiennes. Un des principaux chapitres est consacré aux persécutions de l'Eglise en URSS de 1917 jusqu'à la fin des années 80. "Jamais l'histoire de l'Eglise n'avait connu de persécutions aussi systématiques et longues que dans ce pays à cette période. Aux premiers siècles du christianisme les persécutions avaient un caractère local et ne duraient généralement pas plus de quelques années. La persécution la plus terrible de Dioclétien et de ses successeurs, commencée en 303 ne s'est poursuivie que 8 ans. Les persécutions dans l'Union soviétique ont concerné un pays entier qui constituait la sixième partie de la terre; elles ont touché tous les domaines - scolaires, administratifs, scientifiques - toutes les couches sociales et tous les âges - à commencer par les enfants soumis à une éducation athée et aux persécutions pour leur foi dans les écoles maternelles et secondaires, jusqu'au vieillards. Plus de 100 millions de fidèles orthodoxes de Russie subirent tous, sans exception, des persécutions diverses, injustices, discrimination, à commencer par les affronts et le chômage jusqu'à l'exécution", souligne N. Emelianov ("Evaluation de la statistique des persécutions de l'Eglise orthodoxe russe"). L'Eglise orthodoxe russe en a souffert particulièrement. La persécution contre elle a commencé dès l'accession des bolcheviques au pouvoir. En janvier 1918 le patriarche Tikhon écrivit: "La sainte Eglise orthodoxe du Christ vit actuellement un temps difficile en Russie: des ennemies manifestes ou latents de la vérité du Christ se sont dressés contre elle et tentent de faire périr l'ouvre du Christ... Nous vous exhortons tous, enfants fidèles de l'Eglise: défendez notre Sainte Mère humiliée et persécutée_ Et s'il faut souffrir pour l'ouvre du Christ nous vous appelons à ces souffrances avec nous par les paroles du saint apôtre: `Qui nous séparera de l'amour du Christ: chagrin, peine, persécution, famine, nudité, malheur ou glaive?' (Rom. 8, 35)". Pendant la guerre civile du début des années 20 un grand nombre de fidèles orthodoxes, dont les évêques, les prêtres et les moines, fut fusillé et incarcéré. Un de ceux qui a souffert pendant la campagne de la nationalisation des biens ecclésiaux fut le métropolite Benjamin de Petrograd. La veille de son exécution il écrivit dans sa prison: "Dans mon enfance et adolescence je me passionnais pour la lecture des vies des saints dont l'héroïsme m'impressionnait; je regrettais de toute mon âme que les temps avaient changé et qu'il n'y avait plus d'occasion de vivre ce qu'ils avaient vécu. Mais les temps ont changé de nouveau la possibilité se présente de souffrir pour le Christ de la part des siens et des étrangers. Il est difficile de souffrir, mais au fur et à mesure que nos peines augmentent, abondent aussi la grâce et la consolation de Dieu". Dès les premiers jours de leur existence les autorités soviétiques se sont donné comme objectif l'élimination totale et cruelle de l'Eglise orthodoxe. Cette décision transparaît dans la lettre de Lénine du 19 mai 1922 au sujet de la nationalisation des biens ecclésiaux adressée aux membres du Bureau politique: "L'enlèvement des biens, en particulier de ceux des laures, monastères et églises riches doit être effectué avec une résolution impitoyable, sans s'arrêter sous aucun prétexte et dans les délais les plus brefs possibles. Plus on pourra fusiller de bourgeois et ecclésiastiques réactionnaire, mieux ce sera." Les persécutions contre l'Eglise, commencées par Lénine et ses collaborateurs, furent poursuivies par Staline. Elles ont pris une grande ampleur en 1937 où des centaines des milliers de chrétiens furent fusillés par fausse accusation d'activité anti-soviétique. Vers la fin des années 30 tous les monastères, toutes les écoles théologiques et presque toutes les paroisses de l'Eglise russe furent fermés. Parmi les 60.000 églises ouvertes vers 1917, moins d'une centaine ne furent pas fermées vers 1939 dans tout le pays. Parmi 300 évêques d'avant la révolution, seulement 4 étaient en liberté. La plus grande partie de l'épiscopat et du clergé fut exécutée; ceux qui y avaient échappé, terminaient leurs jours dans les camps de concentration. Le changement de la politique de l'Etat et le rétablissement de la vie ecclésiale n'ont commencé que pendant la seconde guerre mondiale et étaient les conséquences de la tragédie de tout un peuple. Cependant, ce renoncement à l'objectif de déraciner l'Eglise ne signifiait pas la fin des persécutions. Dans une mesure moindre, les arrestations des évêques, des prêtres et des laïcs engagés se poursuivirent après la guerre. Sous Khrouchtchev (fin des années 50 et les années 60) une nouvelle vague de persécutions s'est déclarée, pendant laquelle plus de la moitié de 10.000 églises ouvertes en 1953 fut fermée. Il est difficile d'évaluer le nombre de ceux qui ont souffert pour le Christ sous le régime soviétique. Des sources diverses parlent de 500.000 à un million de personnes. Parmi eux 100.000 furent des clercs. Evidemment, les noms de tous ces martyrs ne sont pas connus. Pendant les premières années de la révolution les persécutions se sont déroulées partout avec un sadisme et une haine singuliers; il ne reste aucune trace de bien des cas de ce genre. Ce ne sont que des renseignements bien pauvres qui atteignaient l'émigration et pouvaient être publiés. C'est pourquoi les noms de plusieurs milliers de martyrs ne seront jamais glorifiés sur cette terre. Mais Dieu les connaît tous. L'Eglise aussi garde le souvenir de ces nombreux martyrs anonymes. Pour cette raison le concile épiscopal de l'Eglise russe de 2000 a pris la décision de canoniser ensemble avec des centaines de néo-martyrs et confesseurs dont les noms sont connus, les nombreux autres dont Dieu seul se souvient. A la fin du deuxième millénaire chrétien, lorsque le monde célébrait le jubilé de l'Incarnation de Dieu, l'Eglise russe a offert au Christ le fruit de ses souffrances, sa Golgotha, un grand chour de martyrs et de confesseurs, ceux "à qui il fut donné non seulement de croire en Christ, mais également de souffrir pour lui" (Phil. 1, 29). La glorification de ces saints est un grand évènement spirituel pour notre Eglise qui témoigne de l'action incessante de l'Esprit dans l'Eglise du Christ, de l'union entre les chrétiens d'aujourd'hui avec leurs glorieux prédécesseurs. "Dans nos jours troublés, le Seigneur a fait surgir de nouveaux martyrs, écrivait en 1918 le saint patriarche Tikhon, si le Seigneur nous envoie des épreuves, des persécutions, des chaînes, des souffrances et même la mort, nous supporterons tout patiemment, croyant que cela nous adviendrait non sans la volonté divine et que notre exploit ne restera pas stérile, mais sera comme les souffrances des martyrs chrétiens qui ont gagné le monde à l'enseignement du Christ". Les attentes de ce saint sont en train de se réaliser, car l'Eglise en Russie et en dehors de ses frontières renaît sur le sang des martyrs. [...]"
(Fresque des Sts Pères Interieur droit du Choeur de l'Eglise du Monastère Syriaque)
Messe journalières en semaine à 10h30
Tous les dimanches, Messe à 10h30et permanence constante de prêtres pour CATÉCHISME, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
(Liturgie de St Jacques dite "d'Antioche-Jérusalem")
Le 30 de chaque mois, Permanence pastorale de 8h30 à 19h (Sur R.D.V) chez Mme Henriette Marie, 43, Rue de la Marne à CAEN. Tel 06.33.98.52.54 . (Possibilité de rencontrer un prêtre pour Catéchisme, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
NANTES:
*Groupe de prières et "relais paroissial" St Charbel
18h, Messe le 2ème jeudi de chaque moiset permanence régulière d'un prêtre Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) de 9h à 17h(06.48.84.94.89).
ANGOULÊME (Jauldes):
*Paroisse N-D de Toutes Grâces/St Ubald
MAISON NOTRE-DAME 66,Place Schoeneck, LE BOURG 16560 JAULDES.
Tel:05.45.37.35.13 *Messe les 2èmes et 4èmes Dimanches de Chaque mois à 10h30suivies d'un repas fraternel et de la réception des fidèles.
*Possibilité de prendre Rendez-vous avec le prêtre la semaine suivant le 2éme dimanche du mois ainsi que pour les visites aux malades et à domicile.
Permanence régulière d'un prêtre pour CATECHISME, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
PERIGUEUX (La Chapelle Faucher):
*Paroisse Notre-Dame de la Très Sainte Trinité
Notre-Dame de la Ste Trinité et St Front ERMITAGE ST COLOMBAN* Puyroudier (Rte d'Agonac) 24530LA CHAPELLE FAUCHER.
Tel:05.45.37.35.13
*Messe le 4ème samedi de Chaque mois à 10h30et permanence régulière d'un prêtre pour CATECHISMES, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
LOURDES:
*"Relais paroissial St Gregorios de Parumala"
*Messse le 5ème dimanche du mois ( en fonction des besoins des fidèles) à 10h30
20 Rte de Pau
CAMEROUN:
Pour obtenir les adresses du Monastère de YAOUNDE,
des paroisses et "relais paroissiaux de Doula, Yaoundé, Elig Nkouma, Mimboman, Bertoua, Monabo, veuillez les demander au Monastère Métropolitain:
Monastère Syriaque N-D de Miséricorde Brévilly 61300 CHANDAI.
Dimanche 10, Messe à 10h30 suivie d'un repas fraternel, programme habituel.
*Tous les 22,, Petit Pèlerinage autour des reliques de St Charbel et Sainte Rita
*Tous les 29, Petit Pèlerinage à Saint Michel Archange
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¤DIMANCHE 5 AOÛT, Pèlerinage mensuel à Notre-Dame de Miséricorde et aux Saints du Kerala
RÉUNION DE TRAVAIL
10h30, Messe suivie du programme habituel (Prière pour l'unité,réception des fidèles...), départ le lundi matin des "Vacances familiales" vers le Sud-Ouest.
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¤MERCREDI 15 AOÛT, Grand Pèlerinage annuel de l'Assomption à Notre-Dame de Miséricorde
10h30, Messe suivie de la Procession Mariale et du Renouvellement de la Consécration de la France à Marie Reine et, par elle, au Christ son Roi. Repas fraternel et programme habituel(Prière pour l'unité,réception des fidèles...)
Monastère Syriaque N-D de Miséricorde Brévilly 61300 CHANDAI.
NANTES(Relais Paroissial et Groupe de Prière Saint Charbel):
¤ PLUS DE PERMANENCES PASTORALES JUSQU’À LA RENTRÉE SCOLAIRE, cependant, JEUDI 5 et Vendredi 6 JUILLET, VISITES DES FAMILLES ET DES MALADES, BENEDICTIONS DES LIEUX, *18h, Messe. En AOÛT, AUCUNE PERMANENCE PASTORALE EN RAISON DES "VACANCES FAMILIALES".
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# Paroisse d'Aquitaine et Sud-Ouest
ANGOULÊME(Jauldes):
¤ DIMANCHES 8 et
12 et 26 AOÛT . Programme habituel.
ANGOULÊME (Jauldes):
MAISON NOTRE-DAME 66,Place Schoeneck, LE BOURG 16560 JAULDES. Tel:05.45.37.35.13
PÉRIGUEUX(La Chapelle Faucher) ¤SAMEDIS 21 JUILLET et 25 AOÛT *10h30, Messe, suivie d'un repas fraternel,réception des fidèles
Notre-Dame de la Ste Trinité et St Front ERMITAGE ST COLOMBAN* Puyroudier (Rte d'Agonac) 24530 LA CHAPELLE FAUCHER. Tel:05.45.37.35.13
NANTES(Relais Paroissial et Groupe de Prière Saint Charbel):
¤ PLUS DE PERMANENCES PASTORALES JUSQU’À LA RENTRÉE SCOLAIRE, cependant, JEUDI 5 et Vendredi 6 JUILLET, VISITES DES FAMILLES ET DES MALADES, BENEDICTIONS DES LIEUX, *18h, Messe. En AOÛT, AUCUNE PERMANENCE PASTORALE EN RAISON DES "VACANCES FAMILIALES".
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# Paroisse d'Aquitaine et Sud-Ouest
ANGOULÊME(Jauldes):
¤ DIMANCHES 8 et
22 JUILLET (Pèlerinage à SAINT CHRISTOPHE, BENEDICTION DES VOITURES),
12 et 26 AOÛT . Programme habituel.
ANGOULÊME (Jauldes):
MAISON NOTRE-DAME 66,Place Schoeneck, LE BOURG 16560 JAULDES. Tel:05.45.37.35.13
PÉRIGUEUX(La Chapelle Faucher) ¤SAMEDIS 21 JUILLET et 25 AOÛT *10h30, Messe, suivie d'un repas fraternel,réception des fidèles
Notre-Dame de la Ste Trinité et St Front ERMITAGE ST COLOMBAN* Puyroudier (Rte d'Agonac) 24530 LA CHAPELLE FAUCHER. Tel:05.45.37.35.13
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Ou trouver en France un Prêtre exorciste Orthodoxe Oriental ?
"L'avenir est dans la paix, il n'y a pas d'avenir sans paix"
"The future is in peace, there is no future without peace"
"O futuro está em paz, não há futuro sem paz"
(SS Ignatius Aprem II)
Note:
Eglise locale fondée grâce à l'élan missionnaire de l'Eglise Syrienne Orthodoxe des Indes(Malankare), notre Eglise Syro-Orthodoxe- Francophone est une Eglise Orthodoxe-Orientale.
Le Monastère Syriaque est un Centre de Prières pour l'unité des Eglises Apostoliques, l'unanimité du Témoignage Chrétien et la paix du monde.
¤ Permanence pastorale en diverses région de France pour : Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)…
Pour les services pastoraux rendus au Monastère comme l'accueil des fidèles pour de courts séjours ou des retraites spirituelles, nous n'exigeons aucun fixe.
Les offrandes sont libres et nonobligatoires.Touteoffrande fait cependant l'objet d'une déduction de votre revenu imposable à raison de 66°/° de votre revenu). Libeller tous C B à l'ordre suivant " Métropolie E S O F "
Pour l' Aumônerie Syro-Orthodoxe Francophone des Africains vivant en France, contacter les Responsables: Mor Philipose-Mariam (06.48.89.94.89 ), Métropolite et Soeur Marie-Andre M'Bezele, moniale ( 06.17.51.25.73).
Igreja local fundada pelo impulso missionário da Igreja Síria Ortodoxa da Índia (Malankara), nossa Igreja siro-Orthodoxe- Francophone é uma igreja ortodoxa-Leste.
O Mosteiro siríaco é um Centro de oração para a unidade das Igrejas Apostólicas, unanimidade de Christian Witness ea paz mundial.
¤ Permanência pastoral em vários região da França para: Acompanhamentos espirituais, sacramentos Sacramental (bênçãos, orações de libertação ou exorcismo, orações de cura) ...
Para o serviço pastoral para o Mosteiro como a casa dos fiéis para estadias curtas ou retiros espirituais, não requer qualquer fixo.
As ofertas são livres e nãoobligatoires.Touteoferecendo ainda sido deduzido do seu rendimento tributável à alíquota de 66 ° / ° de sua renda). Denominar todas C B na seguinte ordem "S S M E Metropolis"
Para os sírio-ortodoxos Capelania francófonos africanos que vivem na França, entre em contato com as cabeças: Mor Philipose Mariam (06.48.89.94.89), Metropolitan e irmã Marie-Andre M'Bezele, freira (06.17.51.25.73).
A local church founded on the missionary impulse of the Syrian Orthodox Church of India (Malankare), our Syro-Orthodox-Francophone Church is an Eastern Orthodox Church.
The Syriac Monastery is a Center of Prayer for the unity of the Apostolic Churches, the unanimity of the Christian Testimony and the peace of the world.
¤ Pastoral permanence in various regions of France for: Spiritual accompaniments, Sacraments, Sacramentals (Blessings, Prayers of deliverance or exorcism, prayers of healing) ...
For the pastoral services rendered to the Monastery as the reception of the faithful for short stays or spiritual retreats, we do not require any fixed.
The offerings are free and not obligatory. However, any taxable income is deducted from your taxable income of 66% of your income. Write all C B
CONFIER DES INTENTIONS DE PRIÈRE AU MONASTÈRE , C'EST SIMPLE...
Le Moine ne rompe pas la solidarité profonde qui doit unir entre eux les frères humains… Ils se conforment aux sentiments du Christ Tête de l'Eglise, le "premier né d'une multitude de frères" et à Son amour pour tous les hommes…
A travers les prières monastiques, c’est toute l’Eglise qui prie et intercède pour l’humanité.
Le savez-vous ? Chacun de vous, dans le secret de son existence, participe à cet immense courant de prière souterraine qui irrigue le monde…
Si vous le souhaitez, vous pouvez nous confier une intention de prière en l'envoyant à l'adresse suivante:
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DÃO AS INTENÇÕES DE ORAÇÃO mosteiro é SIMPLES ...
O monge não quebrar a profunda solidariedade que deve unir-los irmãos humanos ... Eles devem respeitar os sentimentos de Cristo Cabeça da Igreja, o "primogênito entre muitos irmãos" e seu amor por todos os homens ...
Através das orações monásticas é toda a Igreja que reza e intercede pela humanidade.
Você sabia? Cada um de vocês, no segredo da sua existência, participa nesta oração subterrâneo imenso poder que irriga o mundo ...
Se desejar, você pode confiar uma intenção de oração, enviando-o para o seguinte endereço:
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GIVING INTENTIONS OF PRAYER TO THE MONASTERY IS SIMPLE...
The Monk does not break the deep solidarity that must unite the brothers
Human beings ... They conform to the sentiments of Christ Head of the Church, the
"The firstborn of a multitude of brothers" and His love for all men ...
Through monastic prayers, the whole Church prays and intercedes for
humanity.
Do you know ? Each of you, in the secret of his existence, participates in this
Immense current of underground prayer that irrigates the world ...
If you wish, you can entrust us with an intention of prayer by sending it to the following address:
Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,
Brévilly
61300 CHANDAI.
Tel: 02.33.24.79.58
ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonnées)
Courriel:asstradsyrfr@laposte.net
Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/ maliath taibootho/ full of grace/ moran a'amekh - the Lord is with thee/ mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/ and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ yoldath aloho/ Mother of God/ saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ Amîn Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn
ATTENTION : Mesdames,Messieurs Vu le coût du carburant, le Pèlerinage qui était programmé ce Week-end à Sainte Anne d'Auray est ANNULÉ faute de motivation de la part des fidèles et de suffisamment d'inscrits. LE PROGRAMME SERA DONC CELUI QUI EST HABITUEL LE 29 à CHANDAI ( Brevilly ) Bon Week-end à vous.
Prochains Pèlerinage Syro-Orthodoxe des Chrétiens de Saint Thomas à Sainte Anne d'Auray Samedi 28 et Dimanche 29 JUILLET 2018
¤Jeudi 26 Juillet, mémoire liturgique de Sainte Anne. A 10h30 au Monastère, Messe du jour suivie d'un repas fraternel et, l'après-midi d'un Pèlerinage à Sainte Anne du Perche, Notre-Dame de Pitié et Montligeon.
NOTA: La plupart des fidèles travaillant, la solennité de Sainte Anne est reportée, selon l'usage au Dimanche le plus proche. Dès lors, la Solennité commence aux premières Vêpres le Samedi à 17h.
C'est pourquoi les Participants à ce Pèlerinage devront arriver pour la Messe de Vigile, soit le Samedi à 17h.
DIMANCHE 29 JUILLET, 10ème Dimanche
après la Pentecôte, Pèlerinage à SAINTE ANNE
d'AURAY
Programme:
¤Samedi 28 à 17h, Messe de Vigile au Monastère (Logement sur place)
¤Dimanche 29, départ du Monastère à 6h du matin
INSCRIVEZ-VOUS VITE !
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INSCRIVEZ-VOUS VITE !
Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,
Brévilly
61300 CHANDAI.
Tel: 02.33.24.79.58
ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonnées)
Courriel:asstradsyrfr@laposte.net
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Si vous ne pouvez pas participer à ce pèlerinage mais que vous souhaitez que nous portions vos intentions de prières, n'hésitez-pas à nous les communiquer à l'adresse ci-dessus.
O par beatum Joachim et Anna ! Vobis omnis creatura Obstricta est ; per vos enim donum omnium donorum Praestantissimum Creatori obtulit, nempe castam Matrem quae sola Creatore digna erat.
O couple trois fois heureux de saint Joachim et de sainte Anne ! Vous avez à notre reconnaissance un droit imprescriptible : grâce à vous, nous avons pu offrir à notre Dieu le don le plus sensible à son cœur, une mère vierge, la seule mère digne du Créateur.
S. Joan Dam., Orat. I de nat. B. M. V
Il y avait en Israël un homme appelé Joachim, de la tribu de Juda. Il était pasteur de brebis et servait Dieu dans la simplicité et la bonté de son cœur. Uniquement occupé de son troupeau, il en consacrait le produit à l’entretien des pauvres craignant Dieu et fidèles à sa loi. De tout ce qu’il recueillait, soit laine, soit agneaux, il faisait trois parts : l’une était pour les veuves, les orphelins, les pauvres et les voyageurs ; la seconde était pour les veuves, les orphelins, les pauvres et les voyageurs ; la seconde était pour le temple, et la dernière pour lui, ses serviteurs et l’entretien de sa maison. Cette conduite attirait la bénédiction du ciel sur son troupeau, qui se multipliait à tel point, qu’il n’avait point son pareil en Israël. A l’âge de vingt ans, Joachim avait épousé Anne, de la tribu de Juda, comme lui, et de la famille de David. Il avait vécu vingt ans avec elle sans avoir d’enfant.
Un jour de fête, Joachim s’était mêlé à ceux qui offraient de l’encens, et apportait comme eux ses présents. Un prêtre nommé Ruben, l’ayant aperçu, s’approcha et lui dit : " Pourquoi te mêles-tu à ceux qui sacrifient au Seigneur, toi dont Dieu n’a point béni le mariage, et qui n’as point donné d’enfant à Juda ? " Humilié ainsi devant tout le peuple, Joachim sortit du temple en pleurant, mais ne retourna point à sa maison ; il alla rejoindre son troupeau, et, prenant avec lui ses pasteurs, il s’enfonça au loin dans les montagnes, et Anne, son épouse, fut pendant cinq mois sans en apprendre aucune nouvelle. Cependant elle pleurait et répétait dans ses prières : " Seigneur, Dieu d’Israël, Dieu fort, pourquoi m’avez-vous privé d’enfant ? pourquoi avez-vous éloigné de moi mon époux ? Voilà que cinq mois se sont passés, et je ne le vois point ; j’ignore s’il est mort et si on lui a donné la sépulture ".
Un certain jour qu’elle pleurait ainsi, elle se retira dans l’intérieur de sa maison, et, tombant à genoux, elle répandit avec abondance ses soupirs et ses vœux devant le Seigneur. Son oraison finie, elle avait fait effort pour dissiper sa douleur, elle avait quitté ses vêtements de deuil, orné sa tête et revêtu sa robe nuptiale. Vers la neuvième heure, elle descendit se promener dans son jardin. Là était un laurier sous lequel elle s’assit et fit à Dieu cette prière : " Dieu de mes pères, écoutez-moi et bénissez-moi comme vous avez béni Sara, à laquelle vous avez donné un fils ". Et, élevant les yeux, elle aperçut sur le laurier un nid de passereaux et se prit à pleurer. " Hélas ! à qui me comparer ? " disait-elle en elle-même. " De qui suis-je donc née pour être ainsi la malédiction d’Israël ? On me repousse, on me méprise, on me rejette du temple.
" A qui me comparer ? Je ne puis me comparer aux oiseaux du ciel, car les oiseaux du ciel peuvent paraître devant vous, ô mon Dieu !
" A qui me comparer ? Je ne puis me comparer aux animaux de la terre, car les animaux de la terre sont féconds devant vous, Seigneur !
" A qui me comparer ? Je ne puis me comparer aux fleuves et à la mer, car les fleuves et la mer ne sont point frappés de stérilité : ou calmes ou émues, leurs eaux, remplies de poissons, chantent votre louange.
" A qui me comparer ? Je ne puis me comparer aux plaines, car les plaines portent leurs fruits en leur temps, et leur fertilité vous bénit, ô mon Dieu ; "
Que de douleurs dans ces soupirs d’épouse privée des gloires et des joies de la maternité ! Comme ces répétitions expriment bien le désespoir d’une âme accablée de honte, et qui trouve un amer plaisir à se redire son humiliation !
Et comme elle disait ces mots, un ange apparut tout à coup devant elle et lui dit " Ne crains point, il est dans les desseins de Dieu de te donner un enfant, et celui qui naîtra de toi fera l’admiration des siècles jusqu’à la fin des temps ". Ayant ainsi parlé, il disparut. Anne, émue et tremblante d’une telle vision, rentra dans sa demeure et se jeta sur son lit comme morte. Elle passa tout le jour et toute la nuit dans le tremblement et dans la prière. Le jour venu, elle appela auprès d’elle sa servante et lui dit : " Tu sais que je suis seule et dans la peine ; pourquoi n’es-tu pas entrée auprès de moi ? " - " Si Dieu vous a rendue stérile et a éloigné de vous votre époux ", lui répondit en murmurant sa servante, " que puis-je y faire ? " En entendant ce dur reproche, Anne se prit à pleurer à chaudes larmes.
Au moment où un ange apparaissait à Anne pour lui annoncer qu’elle serait mère, un autre messager céleste, dit la légende, se montrait à Joachim dans la montagne où il faisait paître ses troupeaux, et lui donnait au nom du ciel la même assurance.
" De ton sang ", lui disait-il, " naîtra une fille ; elle habitera dans le temple, et le Saint-Esprit descendra en elle, et son bonheur sera au-dessus du bonheur des autres femmes ; son fruit sera béni, elle-même sera bénie et appelée la Mère de l’éternelle bénédiction. C’est pourquoi descends de la montagne, retourne auprès de ton épouse, et ensemble rendez grâces au Seigneur ".
Joachim, s’inclina devant lui et reprit : " Si j’ai trouvé grâce devant vous, asseyez-vous un peu dans ma tente, et bénissez votre serviteur ". L’ange lui répondit : " Ne te nomme point mon serviteur, nous sommes tous serviteurs du même Maître. Je ne prendrai point la nourriture que tu me présentes ; ma nourriture, à moi, est invisible, et ma boisson ne peut être connue des hommes. Ne me presse donc point de m’asseoir sous ta tente, et offre en holocauste à Dieu les mets que tu voulais me servir ".
Joachim, ayant offert le sacrifice que l’ange lui avait ordonné, retourna dans sa maison, où sa femme l’accueillit avec des transports d’allégresse. Neuf mois après, Anne accoucha d’une fille, à laquelle elle donna le nom de Marie, et qu’elle nourrit elle-même de son lait. Sainte Anne, selon Suarez et une foule de théologiens catholiques, a enfanté sans douleur et sans honte celle qu’elle conçut sans lui transmettre la tache de notre origine. Et, s’il est permis de soupçonner que cette grande âme avait appris par les anges du ciel quelque chose des destinées réservées à Marie, où prendre des paroles capables d’exprimer les joies de son cœur maternel, quand elle donnait son lait à celle qui devait un jour donner le sien à son Dieu ?
Anne, dit la légende, présenta son enfant au temple, à ce temple d’où elle a été chassée autrefois à cause de sa stérilité. Comprend-on sa fierté maternelle et le délire de sa joie, en voyant venir à elle avec respect ces prêtres qui l’avaient précédemment expulsée ? Elle arracha son enfant des mains des prêtres qui venaient de le bénir, le porta à sa mamelle, et chanta ce cantique devant tout le peuple :
" Je chanterai les louanges du Seigneur mon, Dieu, parce qu’il m’a visitée et qu’il a enlevé de dessus moi l’opprobre dont me couvraient mes ennemis.
" Le Seigneur a mis en moi le fruit abondant de sa justice.
" Qui annoncera aux fils de Ruben que Anne la stérile allaite ?
" Ecoutez, écoutez, tribus d’Israël, voici que Anne allaite ! "
Certes, jamais cri de triomphe n’a éclaté avec plus de puissance, jamais cœur de femme n’a bondi avec plus d’élan. Que d’ivresse et de noble orgueil dans cet appel aux douze tribus, et comme ce chant a une forme antique et grandiose !
Ici, le fil de la tradition devient si délié, qu’il se rompt sans cesse, et le reste de la vie de sainte Anne est presque entièrement conjectural. Cette mère qui avait obtenu la Vierge d’Isaïe après tant de jeûnes et de larmes, qui avait reçu de la Reine des anges le premier baiser, le premier regard, la première caresse, qui avait entouré son enfance de tant d’amour, qui l’avait emportée dans ses bras au Seigneur et l’avait déposée en pleurant dans son sanctuaire, ne reparaît qu’un instant sur la scène, et c’est pour mourir.
Joachim, qui n’était point un artisan comme Joseph, cultivait, suivant toute apparence, le petit héritage de ses aïeux, et jouissait d’une heureuse médiocrité. L’âge et le labeur usèrent ses forces. Le père bien-aimé de Marie tomba gravement malade ; il demanda sa fille : Marie vint. Au moment où le vieillard étendait ses mains bénissantes, une révélation d’un haut lui fit voir tout à coup les glorieuses destinées où le ciel appelait sa fille. La joie des élus se répandit sur sa face vénérable ; il baisa les bras, inclina la tête et mourut. Les dernières larmes que la Vierge répandit sur ce saint patriarche, l’un des auteurs de ses jours, étaient à peine séchées, qu’elle eut à déplorer la perte de l’autre. Sainte Anne rassembla ses forces défaillantes pour bénir sa fille, la recommanda à ses proches et s’endormit du sommeil des justes.
1° On peint souvent saint Joachim offrant un petit agneau à l’autel. La légende raconte que, se présentant au temple un jour de fête, il fut repoussé par le prêtre qui le déclara maudit par Dieu à cause de la stérilité de sa femme et indigne de faire accepter son offrande. Humilié ainsi publiquement, l’infortuné mari se retira dans sa maison de campagne pour éviter le mépris de ceux qui l’avaient vu noter d’infamie. Ce fut alors que Dieu le consola en lui faisant connaître qu’il allait devenir père et que son enfant vaudrait, à lui seul, les plus belles familles dont d’autres pourraient s’enorgueillir ; 2° un ange lui annonce qu’il va devenir père ; 3° il est représenté pensif au milieu d’un paysage où l’on voit paître des moutons, parce qu’il s’était retiré à la campagne après l’insulte qu’il avait reçue à Jérusalem ; 4° il rencontre sainte Anne et l’embrassedevant la Porte-Dorée, sous les murs de Jérusalem . Quelquefois un ange les y accompagne. Saint Joachim est sainte Anne s’étaient imposé un exil séparé après l’opprobre du temple. Un ange apparut à chacun d’eux dans la retraite où ils s’étaient isolés et leur dit de retourner à Jérusalem. Pour preuve que Dieu voulait désormais bénir leur union, ils devaient se rencontrer sous la Porte-Dorée. Quelques monuments de la fin du moyen âge ajoutent même à cette scène un lis qui a sa racine sur les lèvres des deux époux, et parfois la fleur qui couronne la tige porte un buste de la Mère de Dieu. Est-il possible d’exprimer d’une manière plus gracieuse la Conception immaculée de Marie ? 5° Rubens a dépeint saint Joachim tenant dans ses bras la VIERGE encore enfant.
Saint Joachim a été pris pour patron par les anciennes Confréries de l’Immaculée Conception à raison sans doute de cette manière de représenter le premier instant où Notre-Dame reçut la vie. Une de ces Confréries existait à Paris, à la paroisse Saint-Séverin, en l’année 1561.
CULTE ET RELIQUES
Le tombeau de saint Joachim se montre encore aujourd’hui aux pèlerins de la Terre Sainte, dans l’église du Saint-Sépulcre de Notre-Dame, dans la vallée de Josaphat, au côté droit du grand autel, avec celui de son épouse sainte Anne et de saint Joseph, époux de la sainte Vierge. Son corps à depuis été transféré à Jérusalem, et une partie de son chef se conserve précieusement à Cologne, dans l’église des machabées.
Le corps de la bienheureuse Anne, mère de la Vierge Marie, transporté en France par la barque de Provence de la chapelle sépulcrale de Notre-Dame de Josaphat où il reposait près de celui de saint Joachim, fut remis, d’après une antique tradition, à l’église d’Apta Julia, par une faveur insigne de Dieu. Le très-ancien martyrologe d’Apt mentionne cette translation. Trithemius, De laudibus sanctae Annae, Joannes de Montevilla, In itinerario, disent que le corps de sainte Anne fut transporté d’Orient en Occident et déposé dans les Gaules. Plusieurs voyages en Orient, notamment celui du Père Nau, en parlent.
Mais le temps des persécutions s’avançant à grands pas, le bienheureux Auspice, premier évêque d’Apt, le cacha dans une sorte d’armoire pratiquée dans le mur de la crypte la plus basse, qui existe encore aujourd’hui. Il plaça devant les reliques une lampe allumée qui ne s’éteignit qu’en 792, le jour de leur découverte. Le saint évêque ayant ensuite très-diligemment muré la crypte, de manière à la rendre impénétrable, et les confidents du secret, qui avaient connaissance du lieu, étant morts, la crypte resta inconnue aux hommes pendant sept siècles, et les reliques de sainte Anne furent préservées ainsi grâce à la prévoyance de saint Auspice, dans les irruptions des Alains, des Suèves, des Vandales et autres barbares qui ravagèrent la Provence, et les dévastations horribles des Sarrasins, après la défaite totale desquels le glorieux Charlemagne eut le bonheur de les découvrir.
Charlemagne vint séjourner à Apt aux approches de la fête pascale, après avoir pacifié la Provence par la défaite des Sarrasins, dans la plaine qui s’étend entre la montagne de Cordes et la colline de Montmajour. Le souvenir de cette bataille, où la dernière espérance de l’islamisme fut détruite, s’est conservé dans une inscription de l’église de Montmajour-lez-Arles.
Le premier soin de Charlemagne, après son arrivée à Apt, fut de faire reconsacrer par Turpin l’église cathédrale qui avait été polluée par un culte impie. Tandis qu’un concours extraordinaire de grands seigneurs et de peuple assistait à cette solennité, et pendant que la population répandue à l’entour rendait à Dieu, dans son ravissement, des louanges à l’occasion de son sanctuaire restitué, le Seigneur, enveloppant de son amour les vœux pieux de la cité et la foi ardente de Charlemagne, découvrit, par un miracle éclatant et une faveur inespérée, le trésor inconnu des reliques de sainte Anne.
Un jeune homme du nom de Jean, âgé de quatorze ans, aveugle, sourd et muet de naissance, fils du baron de Caseneuve, était présent dans le sanctuaire. Pendant quelque temps, on vit ce jeune homme paraître écouter un certain avertissement céleste. Bientôt il commença, en frappant sur une levée de degrés menant au maître-autel, à faire signe qu’on creusât profondément le sol, afin que, les degrés enlevés, on vit ce qui était peut-être caché dessous. L’office divin était troublé par là, sans qu’il fût au pouvoir des gardes ni des autres officiers de retenir ce jeune homme. Cependant, tous les assistants étant surpris par la nouveauté du fait, le prince, présageant un miracle, donna ordre de se conformer aux vœux si vivement exprimés par l’adolescent.
On enlève à l’heure même les marches de la montée indiquée, et on découvre aussitôt une porte fermée de grosses pierres qui fait présager quelque chose de remarquable. Les ouvriers ayant ouvert cette porte à coups de marteau, on vit une entrée et une descente de degrés qui conduisit dans une grotte souterraine artistement travaillée. C’était la crypte où le bienheureux Auspice, apôtre des Aptésiens, avait coutume de nourrir par la parole sainte et les Sacrements le peuple qui lui était confié.
L’aveugle Jean marchait le premier, indiquant le chemin avec une telle sûreté, que Charlemagne fut obligé de le faire tenir près de lui pour qu’il ne fût pas foulé aux pieds des curieux. Le jeune homme faisait toujours comprendre du geste qu’on creusât plus avant la terre à la partie du mur qu’il signalait. On descendit enfin dans un souterrain long et étroit ; mais là une lumière extraordinaire apparaissant entoura les assistants. La crypte inférieure étant enfin ouverte, tandis que tous, pleins d’admiration, regardent une lampe ardent placée devant une sorte d’armoire murée, le roi lui-même, le clergé et les grands de la cour, accourent tout joyeux vers la mystérieuse clarté, qui s’éteignit aussitôt au contact de l’air.
Chose admirable ! voilà que Jean, ayant tout à coup les yeux ouverts, ainsi que les oreilles, et la langue déliée, s’écrie : " Dans cette ouverture est le corps de sainte Anne, mère de la très-sainte Vierge Marie, Mère de Dieu ".
Tous les spectateurs, remplis d’étonnement, poussent mille acclamations de joie. Cependant le très-pieux roi ordonne d’ouvrir la niche. Aussitôt une odeur semblable à celle du baume se répand et le dépôt sacré, attesté par un si grand miracle, apparaît renfermé dans une caisse de cyprès, enveloppé d’un voile précieux, et certifié par cette inscription : " Ici est le corps de la bienheureuse Anne, mère de la Vierge Marie ". La caisse ouverte, une odeur suave se répandit dans l’une et l’autre crypte pour la confirmation du miracle. L’archevêque Turpin, ayant pris la caisse, la mit entre les bras de Charlemagne pour la lui faire baiser en signe de joie et de consolation.
Le pontife rendit grâces à Dieu, auteur cette miraculeuse invention, qui avait manifesté le corps vénérable de l’aïeule du Christ pour être la protection et le secours de la ville d’Apt.
Charlemagne ordonna de faire consigner dans des écrits le récit de tous les faits, tels qu’ils s’étaient passés, et d’en référer au souverain Pontife, de qui ils furent approuvés par un diplôme qu’il délivra. L’empereur, voulant néanmoins en instruire le premier pape Adrien, lui écrivit une lettre que l’on possède encore.
Pendant la Révolution, les précieuses reliques conservées à Apt ne furent pas profanées. Une partie des dons offerts par les pèlerins échappèrent au bouleversement social et sont aujourd’hui l’ornement et la gloire de cette église.
C’est de la ville d’Apt que sont sorties toutes les reliques de sainte Anne, que l’on peut voir et vénérer maintenant ailleurs.
Le couvent de la Visitation de Chartres a le bonheur de posséder une petite partie du chef de sainte Anne.
Mais nulle part sainte Anne n’est aussi honorée qu’au pèlerinage qui porte son nom près d’Auray, chef-lieu de canton du Morbihan, arrondissement de Lorient. Ce pèlerinage, depuis longtemps oublié, se renouvela en 1624. Sainte Anne, comme il a été constaté par les enquêtes juridiques les plus multipliées et les plus minutieuses, apparut plusieurs fois, en plusieurs endroits, à diverses heures du jour et de la nuit, à Yves Nicolazic, laboureur de la paroisse de Pluneret, près d’Auray, diocèse de Vannes, et du village de Kerauna (mot qui signifie, en breton, la même chose que la ville d’Anne, en français).
Nicolazic devait une réparation à sainte Anne au nom de ses ancêtres. Car ceux-ci, en cultivant la pièce de terre du Bocennu, où il restait encore des vestiges de l’antique chapelle de la Sainte en avaient tiré de temps à autre des pierres de taille qu’ils avaient amassées, et dont le père d’Yves avait bâti, en 1614, une grange où l’on distinguait des pierres qui avaient servi à quelque fenêtre d’église. Tantôt Yves Nicolazic entendait un grand bruit, se trouvait environné d’une grande lumière, au milieu desquels sainte Anne lui apparaissait. Tantôt, il voyait cette Sainte qui, la nuit, marchait devant lui, un flambeau à la main. Quelquefois, il n’apercevait que le flambeau et la main qui le tenait. L’aïeule du Sauveur avait la forme d’une vénérable dame, éblouissante de éblouissante de beauté, avec des vêtements blancs comme neige. Elle lui apprit que, dans le Bocennu, il y avait autrefois une chapelle dédiée à son nom, ruinée depuis neuf cent quatre-vingt-quatre ans et six mois (c’est-à-dire l’an 699). Elle désirait que cette chapelle fût rebâtie. Guillemette le Roux, femme de Nicolazic, se levant du lit le 6 mars, trouva sur sa table, au lieu même où son mari avait vu auparavant une main avec un cierge allumé, douze quarts d’écus, monnaie de France, dont quelques-uns étaient de l’an 1613 et d’autres de date inconnue, marqués à divers coins avec des lettres que personne ne pouvait expliquer. Plus tard, on se disputa ces pièces mystérieuses comme des objets de dévotion. Enfin sainte Anne ordonna à Nicolazic d’aller dans le champs du Bocennu, où il trouverait, à un endroit qui lui serait indiqué, une statue qui la représentait. En effet, il partit avec des témoins, conduit par une lumière que virent ceux de ses compagnons qui étaient en état de grâce, et, à l’endroit où cette lumière s’arrêta, ils trouvèrent, en creusant, une statue en bois représentant sainte Anne. Quelque temps après, la grange dont nous avons parlé, et qui n’était couverte que de paille, fut entièrement consumée par le feu, sans qu’on pût l’éteindre, quelque quantité
d’eau qu’on y jetât. L’incendie ne gâta rien de ce qui était dans la grange, ni des monceaux de gerbes de seigles qui en étaient tout proche, quoique le vent y dût naturellement porter la flamme. Ce fut donc à la fois un châtiment et un bienfait. L’image de sainte Anne attira bientôt une foule innombrable de pèlerins ; avec leurs offrandes, on bâtit une chapelle : elle fut embellie par les religieux de l’Ordre du Carmel, qui s’établirent dans ce sanctuaire le 21 décembre 1627 ; le roi Louis XIII leur donna une relique de saint Anne en 1639. Urbain, par ses bulles datées du 22 septembre 1638, accorda de grandes indulgences aux pèlerins et à la Confrérie de Sainte-Anne d’Auray. Les religieux furent chassés en 1792, leur couvent et leur église vendus, l’image fut brisée et brûlée, un seul morceau de la figure échappa à la destruction ; on le voit encore dans le piédestal de la nouvelle statue. L’église et le couvent, rachetés en 1815, furent confiés aux Pères Jésuites qui y établirent un petit séminaire. Ils en furent expulsés en 1828. Depuis cette époque, la maison de Sainte-Anne n’a pas changé de destination, elle est encore l’école ecclésiastique du diocèse de Vannes, et la dévotion attire toujours dans son église de nombreux pèlerins. Sainte Anne est aussi en grand honneur dans la Lorraine allemande. Dans le diocèse de Nancy, près d’Albestrolf, chef-lieu de canton de la Meurthe, arrondissement de Château-Salins, on remarque une magnifique chapelle romane de date assez récente, mais construite sur l’emplacement d’autres monuments consacrés à sainte Anne. Ce culte envers l’aïeule de Notre-Seigneur Jésus-Christ est d’origine tellement reculée dans cette partie de la Lorraine, qu’on ne peut facilement en assigner la date. Dès le XIIe siècle, nous trouvons, à l’endroit qui nous occupe, une chapelle dédiée à sainte Anne, qui en avait, suivant la tradition, déterminé elle-même l’emplacement. Aujourd’hui ce lieu de pèlerinage est devenu plus important encore depuis qu’il est enrichi d’une insigne et précieuse relique de sainte Anne, provenant d’Apt, en Provence.
Nous nous sommes servi, pour compléter cette biographie, de La vie et le culte de sainte Anne, chez Girard, libraire à Lyon, 1869 ; La Dévotion à sainte Anne, par X. Matthieu ; Notes localesfournies par MM. Armand, curé-archiprêtre d’Apt, Barrier, vicaire-général de Chartres, et Clément, secrétaire de Mgr l’évêque de Nancy. – Cf Les gloires de sainte Anne d’Auray, par l’abbé Bernard ;Vie des Saints du diocèse de Troyes, par l’abbé Defer ; l’Hagiologie Nivernaise, par Mgr Crosnier.
Cette icône contemporaine, peinte dans le style de Novgorod, illustre le don d'amour entre les parents de la Vierge Marie. C'est l'icône de mariage traditionnellement offerte chez les chrétiens orthodoxes. Elle a été peinte par l'artiste iconographe canadien, Heiko C. Schlieper, en 1987.
Sainte Anne appartenait à ce peuple choisi qui, dans les desseins de Dieu, devait donner naissance au Sauveur des hommes. Elle était de la tribu de Juda et de la race de David. Ses parents, recommandables par leur origine, devinrent illustres entre tous leurs concitoyens par l'éclat d'une vie pleine de bonnes oeuvres et de vertus.Dieu, qui avait prédestiné cette enfant à devenir l'aïeule du Sauveur, la combla des grâces les plus admirables.
Après Marie, aucune femme plus que sainte Anne ne fut bénie et privilégiée entre toutes les autres. Toute jeune enfant, elle était douce, humble, modeste, obéissante et ornée des naïves vertus de son âge. Plus tard, comme elle sut bien garder intact le lis de sa virginité! Comme elle dépassait toutes les filles, ses compagnes, par sa piété, par la réserve de sa tenue, son recueillement et la sainteté de toute sa conduite!
Puis, quand il plut à Dieu d'unir son sort à celui deJoachim, combien Anne fut une épouse prévenante, respectueuse, laborieuse, charitable et scrupuleusement fidèle à tous les devoirs de son état, vaquant à propos au travail et à la prière.Dieu lui refusa longtemps de devenir mère; elle se soumit humblement à cette épreuve et l'utilisa pour sa sanctification. Mais à l'épreuve succéda une grande joie, car de Joachim et d'Anne, déjà vieux, naquit miraculeusementCelle qui devait être la Mère du Sauveuret, dans l'ordre de la grâce, la Mère du genre humain. C'est sans doute un grand honneur pour sainte Anne, que d'avoir donné naissance à la Mère de Dieu; mais il lui revient beaucoup plus de gloire d'avoir formé le coeur de Marie à la vertu et à l'innocence!
L'Église célébrera dans tous les âges la piété maternelle de sainte Anne; la gloire de sa Fille rejaillira sur elle de génération en génération.
Le culte de sainte Anne a subi diverses alternatives.
Son corps fut transporté dans lesGaules, au premier siècle de l'ère chrétienne, et enfoui dans un souterrain de l'église d'Apt, en Provence, à l'époque des persécutions romaines.A la fin du VIIIe siècle, il fut miraculeusement découvert et devint l'objet d'un pèlerinage. Mais c'est essentiellement au XVIIe siècle que le culte de sainte Anne acquit la popularité dont il jouit.
De tous les sanctuaires de sainte Anne, le plus célèbre est celui d'Auray, en Bretagne; son origine est due à la miraculeuse découverte d'une vieille statue de la grande Sainte accompagnée des circonstances les plus extraordinaires et suivies de prodiges sans nombre. Sainte-Anne d'Auray est encore aujourd'hui l'objet d'un pèlerinage national.
En breton, sainte Anne est surnommée « Mamm gozh ar Vretoned », c’est-à-dire la grand-mère des Bretons. Des légendes la décrivent comme originaire de Plonévez-Porzay (Gwenc'hlan Le Scouëzec,Guide de la Bretagne(page 457), Coop Breizh, Spézet, 1997).Anatole Le Brazpublie un récit (Magies de la Bretagne, tome 1 -Le Pardon de la mer, page 1088, Robert Laffont, coll. « Bouquins », Paris, 1994) dans laquelle Anne est mariée à un seigneur cruel et jaloux, qui lui interdit d’avoir des enfants. Lorsqu’elle tombe enceinte, il la chasse du château de Moëllien. Son errance avec la petite Marie la conduit à la plage de Tréfuntec où l’attend un ange, près d’une barque. Selon la volonté de Dieu, l'ange l'amène jusqu’enGalilée. Bien des années plus tard, Marie épouse Joseph et devient la mère du Christ. Anne revient en Bretagne pour y finir sa vie dans la prière et distribue ses biens aux pauvres. Toujours selon cette légende, le Christ vient lui rendre visite, accompagné de ses disciplesPierreetJean, et lui demande sa bénédiction, avant de retourner en Terre sainte. Son corps aurait disparu après sa mort, mais des pêcheurs auraient retrouvé une statue à son effigie enbaie de Douardenez. Celle-ci, installée près de l'endroit où Jésus avait fait jaillir une source, est devenue le but du plus ancien pèlerinage consacré à Sainte Anne et a pris le nom deSainte-Anne-la-Palud.
LeGrand Pardonqui, depuis l'antiquité, rassemble des milliers de pèlerins, le dernier week-end d'août de chaque année, est certainement le plus authentique et le plus ancien d'Armorique.
Dans la mythologie du monde celte, une "divine Ana" (di-ana) était déjà réputée pour être la mère de tous les dieux et l'épouse d'un dieu-père jupitérien (un caractère comparable à celui du Jupiter classique). Cette grand-mère, incarnation de la Terre elle-même, était surnommée Matrona, "la Mère divine".
"AppeléeAnaou Dana en Irlande,Annaou Dôn en Galles, elle s'est maintenue comme Ste Anne, la 'Grand-mère de tous les Bretons', en Armorique. [...] "le sol, la terre", [...] une incarnation de la Terre elle-même, ce que confirment son autre appellation fréquente -Ana - 'la Mère, la Nourrice' - sa présentation comme celle qui assure la nourriture des occupants du monde.
En Irlande, "son souvenir s'est perpétué jusqu'à nos jours dans la tradition orale qui situe en effet sa cour féérique - Seanhaile Anann,l'antique Cour d'Ana' - toutes les nuits près deWaterfordenLeinster.
[...] En Armorique, le culte d'Anne, la grand-mère du Christ, ne date, à ce que l'on sait, que du XIIe siècle et son nom n'est attesté plus anciennement que par l'anthroponymie et la toponymie. Le succès de ce culte n'en a pas moins été si important qu'il a valu à Anne le titre de patronne officielle du pays et celui, populaire, deMamm Gozh ar vretoned, la 'Grand-Mère, Ancêtre des Bretons. Connaissant le satut divin éminent d'Ana/Dana en irlande et d'Anna/Dôn au pays de Galles, on ne peut croire que ce ne soit là qu'une 'coïncidence miraculeuse', d'autant plus que déjà l'Antiquité celte, une 'divine Ana', Di-Ana, était déjà réputée comme grande Mère de tous les dieux et épouse du dieu-père identifié à Jupiter..." (Claude STERCKX,La mythologie du Monde celtique, Poche Marabout, Allemagne 2014, p. 218-219)
L'historienne Anne Bernet évoque elle aussi dans son livreClovis et le Baptême de la France, un lien entre Ste Anne et la religion primitive de la Gaule. Elle indique non pas que sainte Anne serait originaire de Bretagne, y aurait vécu avant d'aller en Galilée, puis serait revenue en Bretagne, mais que "le culte d'une déesse-mère chtonienne, maîtresse de la vie et de la mort, associée à l'agriculture, protectrice des troupeaux et des chevaux, parfois identifiée à la lune, aux sources, au feu, et guérisseuse" était répandu en Gaule.
Ce qui est étonnant, c'est que sainte Anne était déjà connue et vénérée chez nous en France, avant l'apparition du christianisme. "Elle est ainsi évoquée, écrit Anne Bernet,selon les lieux et les circonstances, sous le nom d'Eponaou deRigantona...;sous le nom d'Annaou deDana, aïeule des dieux et des hommes...;et parfois sous ceux deBelisima(la 'Très Brillante') ou deRosmerta.
C'est encore sous une autre appellation,la 'Vierge qui enfantera', que la connaissent les druides du collège national de la forêt desCarnutes. Encore très populaire aux premiers temps du christianisme, la déesse a été convertie.
Le sanctuaire de la 'Virgo paritura' correspond à la cathédrale deNotre-Dame de Chartres; tant la croyance des Carnutes en la Vierge-Mère était propre à annoncer le mystère de l'Incarnation. Les sanctuaires d'Annasont devenus ceux de sainte Anne, aïeule elle aussi, mais du vrai Dieu, et que les Bretons nomment toujours'Mamm Goz', grand-mère".
Sources:(1);(2); (3) Claude STERCKX,La mythologie du Monde celtique, Poche Marabout, Allemagne 2014, p. 218-220; (4)Anne Bernet,Clovis et le Baptême de la France, Editions Clovis, 1995, p. 28-30.
Nous n’arrivons pas à avoir d’enfant : quelle prière puis-je dire ?
Une vocation naturelle –
Quand un homme et une femme s’aiment, ils désirent profondément concevoir un enfant. D’une part, que c’est un commandement divin, inscrit dès le Paradis, que de concevoir et d’enfanter, et le désir le plus pur de l’être humain est de faire la volonté de Dieu. D’autre part, l’enfant est la personne grâce à laquelle notre amour, au lieu d’être limité au dialogue de deux personnes, s’ouvre généreusement vers une troisième. Dieu Lui-même, qui peut se suffire à lui-même, est une communion d’amour qui veut que d’autres êtres existent pour les combler de son amour et de sa joie. Nous nous reconnaissons dans nos fils et nos filles, comme le Père céleste se reconnaît dans son Fils bien-aimé, ainsi que nous le révèle le mystère du baptême du Christ au Jourdain.
La prière pour la fécondité
Par la foi nous reconnaissons volontiers que concevoir la vie en synergie avec l’acte divin qui crée une nouvelle personne, relève du miracle et ne dépend pas seulement de notre volonté ou du désir charnel. C’est pourquoi la prière a une place importante, et les époux croyants demandent à Dieu la grâce d’accomplir son commandement de fécondité. Une première prière est celle que nous adressons aux saints ancêtres de Dieu Joachim et Anne qui, attristés par la stérilité, furent réjouis par la fécondité inespérée que leur accorda le Seigneur. Il y a d’autres exemples d’une telle fécondité miraculeuse, pensons à Abraham et Sarah. Le canon des saints Ancêtres se trouve dans le Ménologe (9 septembre). On peut également dire le canon de sainte Anne (25 juillet). Nous proposons, à dire après les offices en question, ou à leur place si le temps manque, une prière appropriée.
Prières pour demander à Dieu la fécondité :
la neuvaine à Sainte Anne
La neuvaine à Sainte Anne peut se faire à tout moment, mais bien sûr plus spécialement du 18 au 26 juillet, le 26 étant la fête liturgique de Sainte Anne. Pour bien accomplir cette Neuvaine, prier avec beaucoup de confiance, recevoir les Sacrements de la Confessio (Aussi appelé "De la Pénitence" ou "De la Réconciliation" et de l’Eucharistie, si possible le 26 juillet même.
Premier jour Glorieuse et bonne Sainte Anne, par la patience avec laquelle vous avez, pendant tant d’années, supporté la peine que vous causait votre stérilité, obtenez-nous une patience inébranlable dans tous les travaux et les maux de cette vie. Amen.
V: Ô Dieu Saint.
R: ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V: Ô Dieu Saint.
R : ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V : Ô Dieu Saint.
R: ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V : Aboun d’bashmayo
R :Nethqadash shmokh, titheh malkouthokh, nehwe sebyonokh, aïkano d-bashmayo of bar'o. Hablan laĥmo d-sounqonan yawmono. Washbouqlan ĥawbaïn waĥtohaïn, aïkano dof ĥnan shbaqan lĥayobaïn. Ou-lo ta'lan l-nesyouno, elo fasolan men bisho, metoul dilokhi † malkoutho Ou-ĥaïlo outeshbouĥto l'olam 'olmin. Amin.
V : Notre Père.
R : Qui êtes aux cieux, que votre nom soit sanctifié, que votre règne arrive, que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donnez-nous aujourd’hui notre pain quotidien (substantiel), pardonnez-nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés, et ne nous laissez pas succomber à la tentation, mais délivrez-nous du mal. † Car à vous appartiennent le règne, la puissance et la gloire, dans les siècles des siècles. Amîn.
R : Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous, vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus le fruit de vos entrailles est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Amîn.
V. Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit †,
R. Et que sa miséricorde et sa grâce abondent en nous, pauvres et pécheurs, dans les deux siècles et jusqu’aux siècles des siècles. Amîn.
Oraison: Seigneur, Vous qui êtes le Dieu de nos Pères, Vous avez donné à Sainte Anne et à Saint Joachim de mettre au monde celle qui deviendrait la Mère de Votre Fils: accordez-nous, à leur commune prière, le Salut que Vous avez promis à Votre Peuple. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous et le Saint Esprit pour les siècles des siècles. Amîn.
Deuxième jour Glorieuse et bénie Sainte Anne, par la fervente et continuelle prière avec laquelle vous demandiez à Dieu la cessation de votre stérilité, obtenez-nous le don d’oraison pour que nos cœurs soient féconds en vertus. Amen.
V: Ô Dieu Saint.
R: ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V: Ô Dieu Saint.
R : ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V : Ô Dieu Saint.
R: ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V : Aboun d’bashmayo
R :Nethqadash shmokh, titheh malkouthokh, nehwe sebyonokh, aïkano d-bashmayo of bar'o. Hablan laĥmo d-sounqonan yawmono. Washbouqlan ĥawbaïn waĥtohaïn, aïkano dof ĥnan shbaqan lĥayobaïn. Ou-lo ta'lan l-nesyouno, elo fasolan men bisho, metoul dilokhi † malkoutho Ou-ĥaïlo outeshbouĥto l'olam 'olmin. Amin.
V : Notre Père.
R : Qui êtes aux cieux, que votre nom soit sanctifié, que votre règne arrive, que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donnez-nous aujourd’hui notre pain quotidien (substantiel), pardonnez-nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés, et ne nous laissez pas succomber à la tentation, mais délivrez-nous du mal. † Car à vous appartiennent le règne, la puissance et la gloire, dans les siècles des siècles. Amîn.
R : Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous, vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus le fruit de vos entrailles est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Amîn.
V. Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit †,
R. Et que sa miséricorde et sa grâce abondent en nous, pauvres et pécheurs, dans les deux siècles et jusqu’aux siècles des siècles. Amîn.
Oraison: Seigneur, Vous qui êtes le Dieu de nos Pères, Vous avez donné à Sainte Anne et à Saint Joachim de mettre au monde celle qui deviendrait la Mère de Votre Fils: accordez-nous, à leur commune prière, le Salut que Vous avez promis à Votre Peuple. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous et le Saint Esprit pour les siècles des siècles. Amîn.
Troisième jour Glorieuse et bénie Sainte Anne, par l’esprit de pénitence dont vous accompagniez vos prières qui les rendait plus puissantes sur le Cœur de Dieu, obtenez-nous la grâce d’unir à l’esprit de prière, l’esprit de mortification pour nous faire acquérir tous les trésors de la Grâce Divine. Amen.
V: Ô Dieu Saint.
R: ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V: Ô Dieu Saint.
R : ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V : Ô Dieu Saint.
R: ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V : Aboun d’bashmayo
R :Nethqadash shmokh, titheh malkouthokh, nehwe sebyonokh, aïkano d-bashmayo of bar'o. Hablan laĥmo d-sounqonan yawmono. Washbouqlan ĥawbaïn waĥtohaïn, aïkano dof ĥnan shbaqan lĥayobaïn. Ou-lo ta'lan l-nesyouno, elo fasolan men bisho, metoul dilokhi † malkoutho Ou-ĥaïlo outeshbouĥto l'olam 'olmin. Amin.
V : Notre Père.
R : Qui êtes aux cieux, que votre nom soit sanctifié, que votre règne arrive, que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donnez-nous aujourd’hui notre pain quotidien (substantiel), pardonnez-nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés, et ne nous laissez pas succomber à la tentation, mais délivrez-nous du mal. † Car à vous appartiennent le règne, la puissance et la gloire, dans les siècles des siècles. Amîn.
R : Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous, vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus le fruit de vos entrailles est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Amîn.
V. Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit †,
R. Et que sa miséricorde et sa grâce abondent en nous, pauvres et pécheurs, dans les deux siècles et jusqu’aux siècles des siècles. Amîn.
Oraison: Seigneur, Vous qui êtes le Dieu de nos Pères, Vous avez donné à Sainte Anne et à Saint Joachim de mettre au monde celle qui deviendrait la Mère de Votre Fils: accordez-nous, à leur commune prière, le Salut que Vous avez promis à Votre Peuple. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous et le Saint Esprit pour les siècles des siècles. Amîn.
Quatrième jour Glorieuse et bénie Sainte Anne, par la douce violence que vous avez faite au Cœur de Dieu en répandant d’abondantes aumônes et en vous livrant à d’autres œuvres de Charité, demandez-Lui, pour nous, une Charité semblable, afin qu’Il soit touché de compassion pour nous et qu’Il nous traite aussi avec Miséricorde. Amen.
V: Ô Dieu Saint.
R: ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V: Ô Dieu Saint.
R : ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V : Ô Dieu Saint.
R: ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V : Aboun d’bashmayo
R :Nethqadash shmokh, titheh malkouthokh, nehwe sebyonokh, aïkano d-bashmayo of bar'o. Hablan laĥmo d-sounqonan yawmono. Washbouqlan ĥawbaïn waĥtohaïn, aïkano dof ĥnan shbaqan lĥayobaïn. Ou-lo ta'lan l-nesyouno, elo fasolan men bisho, metoul dilokhi † malkoutho Ou-ĥaïlo outeshbouĥto l'olam 'olmin. Amin.
V : Notre Père.
R : Qui êtes aux cieux, que votre nom soit sanctifié, que votre règne arrive, que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donnez-nous aujourd’hui notre pain quotidien (substantiel), pardonnez-nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés, et ne nous laissez pas succomber à la tentation, mais délivrez-nous du mal. † Car à vous appartiennent le règne, la puissance et la gloire, dans les siècles des siècles. Amîn.
R : Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous, vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus le fruit de vos entrailles est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Amîn.
V. Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit †,
R. Et que sa miséricorde et sa grâce abondent en nous, pauvres et pécheurs, dans les deux siècles et jusqu’aux siècles des siècles. Amîn.
Oraison: Seigneur, Vous qui êtes le Dieu de nos Pères, Vous avez donné à Sainte Anne et à Saint Joachim de mettre au monde celle qui deviendrait la Mère de Votre Fils: accordez-nous, à leur commune prière, le Salut que Vous avez promis à Votre Peuple. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous et le Saint Esprit pour les siècles des siècles. Amîn.
Cinquième jour Glorieuse et bénie Sainte Anne, par la confiance avec laquelle vous avez espéré voir l’accomplissement de vos désirs, obtenez-nous une ferme confiance, afin que le Ciel nous accorde toutes sortes de faveurs. Amen.
V: Ô Dieu Saint.
R: ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V: Ô Dieu Saint.
R : ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V : Ô Dieu Saint.
R: ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V : Aboun d’bashmayo
R :Nethqadash shmokh, titheh malkouthokh, nehwe sebyonokh, aïkano d-bashmayo of bar'o. Hablan laĥmo d-sounqonan yawmono. Washbouqlan ĥawbaïn waĥtohaïn, aïkano dof ĥnan shbaqan lĥayobaïn. Ou-lo ta'lan l-nesyouno, elo fasolan men bisho, metoul dilokhi † malkoutho Ou-ĥaïlo outeshbouĥto l'olam 'olmin. Amin.
V : Notre Père.
R : Qui êtes aux cieux, que votre nom soit sanctifié, que votre règne arrive, que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donnez-nous aujourd’hui notre pain quotidien (substantiel), pardonnez-nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés, et ne nous laissez pas succomber à la tentation, mais délivrez-nous du mal. † Car à vous appartiennent le règne, la puissance et la gloire, dans les siècles des siècles. Amîn.
R : Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous, vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus le fruit de vos entrailles est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Amîn.
V. Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit †,
R. Et que sa miséricorde et sa grâce abondent en nous, pauvres et pécheurs, dans les deux siècles et jusqu’aux siècles des siècles. Amîn.
Oraison: Seigneur, Vous qui êtes le Dieu de nos Pères, Vous avez donné à Sainte Anne et à Saint Joachim de mettre au monde celle qui deviendrait la Mère de Votre Fils: accordez-nous, à leur commune prière, le Salut que Vous avez promis à Votre Peuple. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous et le Saint Esprit pour les siècles des siècles. Amîn.
Sixième jour Glorieuse et bénie Sainte Anne, par la vive reconnaissance dont vous avez été pénétrée pour Dieu, quand, par un effet de Sa Bonté, vous avez vu cesser votre stérilité, faites que nous soyons toujours reconnaissants envers le Seigneur pour les bienfaits qu’Il nous accorde continuellement et que nous méritions d’en obtenir de nouveaux. Amen.
V: Ô Dieu Saint.
R: ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V: Ô Dieu Saint.
R : ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V : Ô Dieu Saint.
R: ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V : Aboun d’bashmayo
R :Nethqadash shmokh, titheh malkouthokh, nehwe sebyonokh, aïkano d-bashmayo of bar'o. Hablan laĥmo d-sounqonan yawmono. Washbouqlan ĥawbaïn waĥtohaïn, aïkano dof ĥnan shbaqan lĥayobaïn. Ou-lo ta'lan l-nesyouno, elo fasolan men bisho, metoul dilokhi † malkoutho Ou-ĥaïlo outeshbouĥto l'olam 'olmin. Amin.
V : Notre Père.
R : Qui êtes aux cieux, que votre nom soit sanctifié, que votre règne arrive, que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donnez-nous aujourd’hui notre pain quotidien (substantiel), pardonnez-nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés, et ne nous laissez pas succomber à la tentation, mais délivrez-nous du mal. † Car à vous appartiennent le règne, la puissance et la gloire, dans les siècles des siècles. Amîn.
R : Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous, vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus le fruit de vos entrailles est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Amîn.
V. Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit †,
R. Et que sa miséricorde et sa grâce abondent en nous, pauvres et pécheurs, dans les deux siècles et jusqu’aux siècles des siècles. Amîn.
Oraison: Seigneur, Vous qui êtes le Dieu de nos Pères, Vous avez donné à Sainte Anne et à Saint Joachim de mettre au monde celle qui deviendrait la Mère de Votre Fils: accordez-nous, à leur commune prière, le Salut que Vous avez promis à Votre Peuple. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous et le Saint Esprit pour les siècles des siècles. Amîn.
Septième jour Glorieuse et bénie Sainte Anne, par le pur et saint amour que vous avez conçu pour Marie, quand vous avez eu le bonheur de devenir sa mère, obtenez-nous d’aimer toujours cette Vierge, votre auguste Fille et notre Mère, afin d’obtenir Sa Miséricorde. Amen.
V: Ô Dieu Saint.
R: ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V: Ô Dieu Saint.
R : ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V : Ô Dieu Saint.
R: ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V : Aboun d’bashmayo
R :Nethqadash shmokh, titheh malkouthokh, nehwe sebyonokh, aïkano d-bashmayo of bar'o. Hablan laĥmo d-sounqonan yawmono. Washbouqlan ĥawbaïn waĥtohaïn, aïkano dof ĥnan shbaqan lĥayobaïn. Ou-lo ta'lan l-nesyouno, elo fasolan men bisho, metoul dilokhi † malkoutho Ou-ĥaïlo outeshbouĥto l'olam 'olmin. Amin.
V : Notre Père.
R : Qui êtes aux cieux, que votre nom soit sanctifié, que votre règne arrive, que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donnez-nous aujourd’hui notre pain quotidien (substantiel), pardonnez-nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés, et ne nous laissez pas succomber à la tentation, mais délivrez-nous du mal. † Car à vous appartiennent le règne, la puissance et la gloire, dans les siècles des siècles. Amîn.
R : Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous, vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus le fruit de vos entrailles est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Amîn.
V. Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit †,
R. Et que sa miséricorde et sa grâce abondent en nous, pauvres et pécheurs, dans les deux siècles et jusqu’aux siècles des siècles. Amîn.
Oraison: Seigneur, Vous qui êtes le Dieu de nos Pères, Vous avez donné à Sainte Anne et à Saint Joachim de mettre au monde celle qui deviendrait la Mère de Votre Fils: accordez-nous, à leur commune prière, le Salut que Vous avez promis à Votre Peuple. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous et le Saint Esprit pour les siècles des siècles. Amîn.
Huitième jour Glorieuse et bénie Sainte Anne, par le grand sacrifice que vous avez fait en consacrant, dès ses plus tendres années, votre fille bien-aimée au service du Seigneur, intercédez pour nous, afin que nous puissions faire pour le Seigneur, avec un grand courage, tous les sacrifices qu’Il désire de nous, pour obtenir les bienfaits les plus signalés. Amen.
V: Ô Dieu Saint.
R: ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V: Ô Dieu Saint.
R : ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V : Ô Dieu Saint.
R: ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V : Aboun d’bashmayo
R :Nethqadash shmokh, titheh malkouthokh, nehwe sebyonokh, aïkano d-bashmayo of bar'o. Hablan laĥmo d-sounqonan yawmono. Washbouqlan ĥawbaïn waĥtohaïn, aïkano dof ĥnan shbaqan lĥayobaïn. Ou-lo ta'lan l-nesyouno, elo fasolan men bisho, metoul dilokhi † malkoutho Ou-ĥaïlo outeshbouĥto l'olam 'olmin. Amin.
V : Notre Père.
R : Qui êtes aux cieux, que votre nom soit sanctifié, que votre règne arrive, que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donnez-nous aujourd’hui notre pain quotidien (substantiel), pardonnez-nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés, et ne nous laissez pas succomber à la tentation, mais délivrez-nous du mal. † Car à vous appartiennent le règne, la puissance et la gloire, dans les siècles des siècles. Amîn.
R : Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous, vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus le fruit de vos entrailles est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Amîn.
V. Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit †,
R. Et que sa miséricorde et sa grâce abondent en nous, pauvres et pécheurs, dans les deux siècles et jusqu’aux siècles des siècles. Amîn.
Oraison: Seigneur, Vous qui êtes le Dieu de nos Pères, Vous avez donné à Sainte Anne et à Saint Joachim de mettre au monde celle qui deviendrait la Mère de Votre Fils: accordez-nous, à leur commune prière, le Salut que Vous avez promis à Votre Peuple. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous et le Saint Esprit pour les siècles des siècles. Amîn.
Neuvième jour Glorieuse et bénie Sainte Anne, par la Sainteté et la Justice qui ont brillé en vous tous les jours de votre vie, daignez prier le Seigneur de nous accorder la grâce de vivre et de mourir saintement, afin de mériter les récompenses du Ciel qu’Il nous a promises. Amen.
V: Ô Dieu Saint.
R: ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V: Ô Dieu Saint.
R : ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V : Ô Dieu Saint.
R: ô Dieu Saint et Fort; ô Dieu Saint et Immortel, crucifié † (en se signant) pour nous, Ethraham elaïn. (Ayez pitié de nous !)
V : Aboun d’bashmayo
R :Nethqadash shmokh, titheh malkouthokh, nehwe sebyonokh, aïkano d-bashmayo of bar'o. Hablan laĥmo d-sounqonan yawmono. Washbouqlan ĥawbaïn waĥtohaïn, aïkano dof ĥnan shbaqan lĥayobaïn. Ou-lo ta'lan l-nesyouno, elo fasolan men bisho, metoul dilokhi † malkoutho Ou-ĥaïlo outeshbouĥto l'olam 'olmin. Amin.
V : Notre Père.
R : Qui êtes aux cieux, que votre nom soit sanctifié, que votre règne arrive, que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donnez-nous aujourd’hui notre pain quotidien (substantiel), pardonnez-nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés, et ne nous laissez pas succomber à la tentation, mais délivrez-nous du mal. † Car à vous appartiennent le règne, la puissance et la gloire, dans les siècles des siècles. Amîn.
R : Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous, vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus le fruit de vos entrailles est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Amîn.
V. Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit †,
R. Et que sa miséricorde et sa grâce abondent en nous, pauvres et pécheurs, dans les deux siècles et jusqu’aux siècles des siècles. Amîn.
Oraison: Seigneur, Vous qui êtes le Dieu de nos Pères, Vous avez donné à Sainte Anne et à Saint Joachim de mettre au monde celle qui deviendrait la Mère de Votre Fils: accordez-nous, à leur commune prière, le Salut que Vous avez promis à Votre Peuple. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous et le Saint Esprit pour les siècles des siècles. Amîn.
Invocation
Glorieuse sainte Anne, pleine de bonté pour ceux qui vous invoquent, pleine de compassion pour ceux qui souffrent, me trouvant accablé d’inquiétudes et de peines, je me jette à vos pieds en vous suppliant humblement de prendre sous votre protection l’affaire qui m’occupe. Je vous la recommande instamment et vous prie de la présenter à votre Fille et notre Mère la très Sainte Vierge et à la Majesté divine de Jésus-Christ pour m’en obtenir une issue favorable. Ne cessez pas d’intercéder, je vous en supplie, que ma demande me soit accordée par la divine miséricorde. Amen.
Sainte Anne, si propice à tous ceux qui souffrent et qui vous implorent avec confiance, priez pour nous.
Prière d’une Mère pour ses Enfants à Sainte Anne
Ô glorieuse sainte Anne, Patronne des familles chrétiennes, je te présente mes enfants. Je sais que je les ai reçus de Dieu et qu’ils lui appartiennent. Aussi je te prie de m’obtenir la grâce de me soumettre toujours avec eux à la divine Providence. Daigne les bénir, et, en te suppliant de leur obtenir la bénédiction de Dieu, je ne demande en leur faveur ni les honneurs du monde, ni les biens de la terre. Ma prière sera plus chrétienne et plus agréable à tes yeux si je demande avant tout le Royaume de Dieu et sa justice. Je compte, bonne Mère, que tu m’aideras à leur procurer ce qui est nécessaire pour leur assurer une existence digne. Imprime dans le coeur de mes enfants une grande horreur du péché. Éloigne-les du mal. Préserve-les de la corruption du monde. Qu’ils soient toujours animés de sentiments chrétiens. Accorde-leur la simplicité et la droiture du cœur. Apprends-leur à aimer Dieu uniquement, comme tu l’as appris, dès ses plus tendres années, à ta Fille Immaculée, la Bienheureuse Vierge Marie. Ô sainte Anne, tu es le miroir de la patience, obtiens moi la grâce de supporter avec patience et amour toutes les difficultés inséparables de l’éducation de mes enfants. Bénis-nous, mes enfants et moi. Veille sur nous, ô bonne Mère. Fais que nous nous aimions toujours avec Jésus et Marie. Que nous vivions conformément à l’Esprit de Dieu. Afin qu’après cette vie nous ayons le bonheur d’être ensemble, unis à toi, pour toute l’éternité. Amen.
Prière populaire àSainte Anne, Mère de la Sainte Vierge
Glorieuse et Sainte Reine que le ciel admire, que les Saints honorent et que la terre révère ;Dieule Père vous chérit comme la mère de sa Fille bien-aimée ; le Verbe vous aime pour lui avoir donné une mère de laquelle il est né homme et Sauveur des hommes ; le Saint-Esprit vous aime pour lui avoir donné une si belle, si digne et si parfaite épouse ; les anges et les élus vous honorent comme l’arbre sacré qui a produit cette belle fleur qui les récrée, et ce digne fruit qui est leur douce vie ; les justes, les pénitents et les pécheurs vous réclament comme leur puissante avocate auprès deDieu; car, par votre intercession, les justes espèrent l’accroissement des grâces, les pénitents leur justification, et les pécheurs la rémission de leurs crimes. Soyez-nous douce et clémente, et pendant que nous vous honorons et que nous vous invoquons ici-bas, ménagez notre salut dans le Ciel. Usez du crédit que vous y avez en notre faveur, et ne permettez pas que les âmes qui vous vénèrent périssent ; montrez-vous toujours le refuge des pécheurs, l’asile des coupables, la consolation des affligés, et l’assurance de vos fidèles serviteurs ; défendez notre cause maintenant et à l’heure de notre mort : je vous en prie par tout l’amour que vous eûtes sur la terre pour mon Jésus et pour sa mère votre fille, afin que soutenus par vos prières et favorisés de vos mérites, nous puissions jouir un jour la vie éternelle.
Amîn.
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Ou trouver en France un Prêtre exorciste Orthodoxe Oriental ?
"L'avenir est dans la paix, il n'y a pas d'avenir sans paix"
"The future is in peace, there is no future without peace"
"O futuro está em paz, não há futuro sem paz"
(SS Ignatius Aprem II)
Note:
Eglise locale fondée grâce à l'élan missionnaire de l'Eglise Syrienne Orthodoxe des Indes(Malankare), notre Eglise Syro-Orthodoxe- Francophone est une Eglise Orthodoxe-Orientale.
Le Monastère Syriaque est un Centre de Prières pour l'unité des Eglises Apostoliques, l'unanimité du Témoignage Chrétien et la paix du monde.
¤ Permanence pastorale en diverses région de France pour : Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)…
Pour les services pastoraux rendus au Monastère comme l'accueil des fidèles pour de courts séjours ou des retraites spirituelles, nous n'exigeons aucun fixe.
Les offrandes sont libres et nonobligatoires.Touteoffrande fait cependant l'objet d'une déduction de votre revenu imposable à raison de 66°/° de votre revenu). Libeller tous C B à l'ordre suivant " Métropolie E S O F "
Pour l' Aumônerie Syro-Orthodoxe Francophone des Africains vivant en France, contacter les Responsables: Mor Philipose-Mariam (06.48.89.94.89 ), Métropolite et Soeur Marie-Andre M'Bezele, moniale ( 06.17.51.25.73).
Igreja local fundada pelo impulso missionário da Igreja Síria Ortodoxa da Índia (Malankara), nossa Igreja siro-Orthodoxe- Francophone é uma igreja ortodoxa-Leste.
O Mosteiro siríaco é um Centro de oração para a unidade das Igrejas Apostólicas, unanimidade de Christian Witness ea paz mundial.
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Para o serviço pastoral para o Mosteiro como a casa dos fiéis para estadias curtas ou retiros espirituais, não requer qualquer fixo.
As ofertas são livres e nãoobligatoires.Touteoferecendo ainda sido deduzido do seu rendimento tributável à alíquota de 66 ° / ° de sua renda). Denominar todas C B na seguinte ordem "S S M E Metropolis"
Para os sírio-ortodoxos Capelania francófonos africanos que vivem na França, entre em contato com as cabeças: Mor Philipose Mariam (06.48.89.94.89), Metropolitan e irmã Marie-Andre M'Bezele, freira (06.17.51.25.73).
A local church founded on the missionary impulse of the Syrian Orthodox Church of India (Malankare), our Syro-Orthodox-Francophone Church is an Eastern Orthodox Church.
The Syriac Monastery is a Center of Prayer for the unity of the Apostolic Churches, the unanimity of the Christian Testimony and the peace of the world.
¤ Pastoral permanence in various regions of France for: Spiritual accompaniments, Sacraments, Sacramentals (Blessings, Prayers of deliverance or exorcism, prayers of healing) ...
For the pastoral services rendered to the Monastery as the reception of the faithful for short stays or spiritual retreats, we do not require any fixed.
The offerings are free and not obligatory. However, any taxable income is deducted from your taxable income of 66% of your income. Write all C B
CONFIER DES INTENTIONS DE PRIÈRE AU MONASTÈRE , C'EST SIMPLE...
Le Moine ne rompe pas la solidarité profonde qui doit unir entre eux les frères humains… Ils se conforment aux sentiments du Christ Tête de l'Eglise, le "premier né d'une multitude de frères" et à Son amour pour tous les hommes…
A travers les prières monastiques, c’est toute l’Eglise qui prie et intercède pour l’humanité.
Le savez-vous ? Chacun de vous, dans le secret de son existence, participe à cet immense courant de prière souterraine qui irrigue le monde…
Si vous le souhaitez, vous pouvez nous confier une intention de prière en l'envoyant à l'adresse suivante:
--------------------
DÃO AS INTENÇÕES DE ORAÇÃO mosteiro é SIMPLES ...
O monge não quebrar a profunda solidariedade que deve unir-los irmãos humanos ... Eles devem respeitar os sentimentos de Cristo Cabeça da Igreja, o "primogênito entre muitos irmãos" e seu amor por todos os homens ...
Através das orações monásticas é toda a Igreja que reza e intercede pela humanidade.
Você sabia? Cada um de vocês, no segredo da sua existência, participa nesta oração subterrâneo imenso poder que irriga o mundo ...
Se desejar, você pode confiar uma intenção de oração, enviando-o para o seguinte endereço:
---------------------
GIVING INTENTIONS OF PRAYER TO THE MONASTERY IS SIMPLE...
The Monk does not break the deep solidarity that must unite the brothers
Human beings ... They conform to the sentiments of Christ Head of the Church, the
"The firstborn of a multitude of brothers" and His love for all men ...
Through monastic prayers, the whole Church prays and intercedes for
humanity.
Do you know ? Each of you, in the secret of his existence, participates in this
Immense current of underground prayer that irrigates the world ...
If you wish, you can entrust us with an intention of prayer by sending it to the following address:
Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,
Brévilly
61300 CHANDAI.
Tel: 02.33.24.79.58
ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonnées)
Courriel:asstradsyrfr@laposte.net
Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/ maliath taibootho/ full of grace/ moran a'amekh - the Lord is with thee/ mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/ and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ yoldath aloho/ Mother of God/ saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ Amîn Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn